Personnages Debout Les Morts

des rimes originale. titre : pas d’article, Crépuscule c’est précis en soit, mot jouli mais ici contexte vague Sujet retardé le plus possible. Frôlé imperceptible, indéfini, on sait pas qui l’effectue. Les boules. Lien avec les ombres + des morts. Grosses boules. Dimension inquiétante. Pluralité/singulier de frôler. Renforce la menace. Dimension sensuelle du toucher ? pas là. Paradoxe. Perception par les sens, pas la vue. Ombres renforce dimension nocturne. Paraître. Incertain. Herbe : défini

de naturaliste, ils sont soigneusement représentés : les pattes, les poils, la posture, les ombres... C'est une illustration parfaite d'action d'animaux, le corbeau est perché comme un corbeau pourrait l'être réellement, le renard est assis et non debout, il se comporte comme tel, on pourrait même croire sans avoir lu la fable qu'il attend le corbeau et non le fromage par lequel il est attiré, c'est une scène typique qui peut se passer dans une forêt encore aujourd'hui. C'est donc une image illustrative

Le paléolithique : L’homme est d’origine africaine. Né de la séparation depuis un ancêtre commun avec le singe. ▪ Les Australopithèques apparaissent ( entre 10 et 4 M d’années ▪ Homo habilis ( premiers outils taillés, station debout, alimentation plus omnivore. C’est l’invention technique qui fait l’Homme, action sur la matière répétée, organisée et transmise. Accroissement de la panoplie des outils = développement du cerveau, du langage et de l’organisation sociale.

  - Repérer les nombreuses indications qui tendent à rendre le récit le plus vraisemblable.   - Repérer les marques du narrateur qui parle à la première personne en les distinguant bien des celles des autres personnages.   - Repérer les indications qui révèlent l’évolution du personnage ( notamment la montée progressive de la tension dans le récit) .   - Définir qui voit la scène et comment elle est vue . objectifs * Ecriture / Oral :   - Amener l’élève à rendre compte de ce qu’il a observé

fanfaron, Les Ménechmes, L'Aulularia (La Comédie de la Marmite). Molière a repris également Amphitryon. * Térence : Publius Terentius Afer (v.191 av. J.-C. - 159 av. J.-C.), poète comique latin, né à Carthage. Ses comédies font s'affronter des personnages décrits avec une grande finesse psychologique et animés de bons sentiments :L'Andrienne, L'homme qui se punit lui-même, L'Hécyre, L'Eunuque, Les Adelphes, Phormion (dont s'inspira Molière dans Les Fourberies de Scapin). -------------------------------------------------

écureuil. O mon enfance, gelées de coings, de bougies roses, journaux illustrés du jeudi, ours en peluche, convalescences chéries, anniversaires, lettres du Nouvel An sur du papier à dentelures, dindes de Noël, fables de La Fontaine idiotement récitées debout sur la table, bonbons à fleurettes, attentes des vacances, cerceaux, diabolos, petites mains sales, genoux écorchés et j’arrachais la croûte toujours trop tôt, balançoires des foires, cirque Alexandre où elle me menait une fois par an et auquel je

une interrogative « Plier, plier toujours, n'est-ce pas déjà trop, le pli de l'humaine nature ? », il remet ici en cause la vérité de la morale de La Fontaine. Anouilh énonce dès les premiers vers de sa fable sa volonté de la transformer. Les personnages ne sont pas changés, mais Anouilh les transforme. Dans son œuvre, La Fontaine place le lecteur du côté du roseau. Au contraire, Jean Anouilh essaie de placer le lecteur du côté du chêne. Les parenthèses telles que : « (Il ne se fût jamais permis

Fred Vargas Debout les morts Édition Viviane Hamy, 1995 Ce texte est la première page du roman. Un arbre dans le jardin – Pierre, il y a quelque chose qui déraille dans le jardin, dit Sophia. Elle ouvrit la fenêtre et examina ce bout de terrain qu’elle connaissait Herbe par herbe. Ce qu’elle voyait lui faisait froid dans le dos. Pierre lisait le journal au petit déjeuner. C’était peut-être pour ça que Sophia regardait si souvent par la fenêtre. Voir le temps qu’il faisait. C’est quelque

là… où coule la Seine… Le lieu et atmosphère de l’histoire : Paris, la nuit L’ombre d’un homme assis La collection, l’auteur, le titre, le genre et l’éditeur en bas de la photographie Ligne de force de l’image qui sépare le personnage en deux : rôle de ce personnage ? Un sol pavé Symbole : la verticalité, la chute vers l’enfer, la misère et les bas-fonds L’ombre d’une rambarde Des escaliers métalliques « descendants » L’ombre d’un homme recroquevillé en bas des marches Illustration de Baudoin

et de longueur variables (vers libres, dialogue, prose, chanson) Problématique proposée : Dans quelle mesure ce texte est-il un poème ? I. Une apparence d’article de presse A. Description d’un événement mondain - Anaphore permet énumération de personnages, non désignés par leur nom mais par leurs attributs, leurs activités, leurs opinions => effet de défilé mondain, comme un journaliste à la porte d’un grand événement - Peu d’indications spatio-temporelles sinon « l’Elysée » = palais présidentiel