Personnages Du Monologue Intérieur

drame intérieur qui se joue au cœur d'une scène très tendue. (LECTURE, problématique, plan) Plan : Un incipit dramatisé, personnage en proie au doute. I- Un incipit dramatisé Tout concourt à créer une atmosphère tendue, mystérieuse et angoissante dans cet incipit. Une entrée : Dès le début → lecteur plongé au cœur du drame par 2 verbes d'actions «  tenterait-il ? » ; « frapperait-il ? » (L.1) → Ces 2 verbes nous plongent dans interrogations personnage devant l'action à accomplir. Personnage → connaît

placer la frontière entre la représentation et la réalité ? Je tenterai de montrer en premier lieu cette continuelle transgression entre les deux mondes dans le prologue d`Antigone : Ce prologue transgresse nos habitudes theatrales car il incarne un personnage, comme le realisateur de la piece. Il s`adresse directement aux spectateurs et presente de maniere organnisee les "comediens" qui sont sur scene mais qui paraissent etre encore en coulisse. Il y a ainsi quelque chose d`innocent qui se perd, l`illusion

L'ETRANGER » SUPPORT :EXCIPIT 1/ une monologue tragique A / d'une construction très rigoureuse construite en deux parties bien distinctes, qui s'articulent autour de la présence du prêtre dans la partie 1 la rrévolte est tres présente, discours indirect libre. Champ lexical de la révolte, insultes etc dans la deuxième partie, le calme. Les deux parties donnent le sens de la révolte à la paix deux narrations tres différentes, b/une véritable catharsis 1/roman tragique; qui cadre bcp avec

Dublin dense et débordant de détails qui sont pour la plupart, si ce n'est délibérément faux, du moins discutables mais cela ne servira que de décor à l'action. Dans cette banalité du quotidien de ces deux hommes, Joyce explore le concept du monologue intérieur où les sujets vont de la mort, la vie, le sexe à l'art, la religion ou encore la situation de l'Irlande. S'affranchissant totalement des normes littéraires, le roman se distingue entre autres par l'utilisation de la technique du courant de conscience

deux fils : Pierre et Jean (personnages éponymes). Ils apprennent que Jean va toucher un héritage de Maréchal (un ami de la famille). Au début, Pierre le félicite puis ensuite, après réflexion et discutions, rongé par le doute et la jalousie, commence une enquête pour apprendre pourquoi seul Jean a touché cet héritage de Maréchal. Analyse : Pierre et Jean a d’abord été publié en feuilleton qui passait quotidiennement. * Le point de vue de Pierre : Monologue intérieur, miné par le soupçon de l’adultère

vengera. La scène 1 de l’acte V est constituée par un monologue délibératif d’Hermione qui traduit son conflit intérieur, son dilemme tragique : faire assassiner Pyrrhus pour assouvir son désir de vengeance ou le laisser en vie et continuer ainsi à pouvoir espérer ? Cette scène va être analysée sous l’angle du projet de lecture suivant : nous allons voir comment Racine, par le recours au monologue, montre la confusion profonde du personnage d’Hermione, partagée entre son amour pour Pyrrhus et un

HAMLET Shakespeare - 1600 Biographie de William Shakespeare (1564-1616) Présentation des personnages : Claudius : assassin de son frère pour accéder au trône, épouse la femme de roi (de l’ancien), machiavélique, meurt à la fin. Polonius : au service du roi, dévoué g médiocrité, rat aux yeux d’Hamlet, politicien opportuniste. Horatio : Ami d’Hamlet, intellectuel de la Renaissance, humaniste chrétien, admirateur du stoïcisme antique. Son modèle : Montaigne. Fortinbras : Prince

différents type de discours. I- L'ORGANISATION POLYPHONIQUE DU PASSAGE : Deux voix s'expriment et se combinent dans ce texte : 1- celle du narrateur : Récit à la troisième personne, point de vue omniscient, le narrateur rapporte l'esprit du personnage. " Maintenant les souvenirs affluaient dans l'esprit de Pierre " 2- celle de Pierre : Propos rapportés aux styles direct : " Il murmura : " Il faut savoir. Mon Dieu. Il faut savoir. " ". 3- ces deux voix : Se confondent avec le discours

les personnages, qui permet au spectateur : de connaître les pensées et les sentiments des personnages ; de connaître les informations nécessaires à la compréhension ; de ressentir des émotions. Le texte théâtral se distingue ainsi par une « double énonciation » : les acteurs se parlent entre eux (premier niveau d'énonciation), mais ils s'adressent aussi au public (second niveau d'énonciation). Cette spécificité offre des jeux possibles, si le spectateur en sait davantage qu'un personnage, par

ville, la ramène à Argelouse au milieu de la lande, Thérèse pense à sa vie passée et imagine ce qu’elle va dire à son mari lorsqu’elle va le retrouver, son mari qu’elle a voulu empoisonner. Ainsi les chapitres II à VIII constituent un long monologue intérieur par lequel nous entrons dans l’intimité de la pensée de Thérèse. C’est à la fois un flash-back et une projection sur l’avenir. Thérèse prépare, construit à l’intention de Bernard, son mari, une longue confession, qui n’est pas véritablement