Personnages Le Portrait De Dorian Gray

enfant studieux, manifeste une prétention futile, dérisoire et, pour tout dire, désespérément vaine. À quoi bon, en effet, refaire le travail de la nature une seconde fois ? Ne s’agit-il pas là d’une tâche superflue, voire grotesque : « Il y a des portraits, remarque Hegel, dont on dit, assez spirituellement, qu’ils sont ressemblants jusqu’à la nausée. » De même, ce que nous observons déjà dans nos jardins ou nos campagnes, quoi de plus ridicule, si ce n’est puéril, que de l’admirer à présent sur miniature

intoxiqué par ce breuvage qu’il vient de mettre au point, il subit alors une métamorphose monstrueuse en devenant son infâme alter ego, Mister Edward Hyde, un personnage terrifiant, vicieux et sans pitié. Doctor Jekyll et Mister Hyde sont deux personnalités différentes luttant pour posséder l’âme d’un même homme. Stevenson fait de son personnage principal un être tourmenté, un scientifique dépassé par sa découverte et obsédé par une dualité qui le ronge. Jekyll & Hyde est double mais constitue une

on peut penser aux drames de l’histoire du XXe siècle. L’art explore les dimensions les plus sombres comme les plus extatiques de l’être humain et ce faisant, de l’humanité. Il a pour corollaire les leçons qui en découlent. Macbeth en tant que personnage n'est pas un monstre au-delà de la dimension humaine mais représente quelque chose qui se trouve à l'intérieur de chaque homme. En effet un aspect frappant de cette œuvre relève de l’énormité du combat qui s’y livre et qui pourtant, se passe uniquement

Description du Vampire Le vampire est une créature non-morte. Le mythe du vampire est né de légendes populaires selon lesquelles, il se nourrit du sang des vivants afin d’acquérir sa force vitale. Il se retrouve dans toutes les légendes du monde. Le personnage du vampire fut popularisé en Europe au début du XVIIIe siècle, plus spécifiquement en Europe orientale, dans les Balkans. Le mot Vampire fait son apparition vers 1725 en Serbie. L’œuvre de Bram Stoker remporta un grand succès en 1897, Dracula, qui

certain nombre de qualités propres définissant son identité, celles de l’œuvre comme œuvre et pas comme quelque chose d’autre, source de représentations morales ou sociales par exemple. Ainsi, « Dans un roman, le lecteur peut s’identifier avec les personnages ou aux valeurs d’un auteur implicite, et cette identification peut modifier son point de vue ou son comportement. Mais il est important de séparer ce mode d’influence littéraire (ce côté « vie par procuration » de la littérature) d’un quelconque

de satin ; Paul Valéry (1871-1945), auteur de La Jeune Parque ; Pierre Louÿs (1870-1915), auteur de Aphrodite, mœurs antiques ; Louis-Ferdinand Céline (1894-1961), auteur de Voyage au bout de la nuit ; Oscar Wilde (1854-1900), auteur de Le Portrait de Dorian Gray ; Francis Jammes (1868-1938), auteur de Le Triomphe de la vie ; Maurice Maeterlink (1862-1949), auteur de Pelléas et Mélisande ; François Mauriac (1885-1970), auteur de Nœud de vipères ; Louis Pergaud (1882-1915), auteur de La Guerre des boutons

de l’impossible. __________Enfin, un bon livre selon nous, procède d’une identification du lecteur au personnage : merveilleuse confusion entre la notion de personnage et celle de per‐ sonne ! La détermination de ce qui émeut le lecteur dépend en effet de ce que privi‐ légie l’art du point de vue. Certains ouvrages en particulier  nous permettent de nous plonger totalement dans la peau du personnage. Cette identification percep‐ tive est particulièrement sensible dans le roman policier et le roman

Bernarda Alba combine un système de personnages original à un sujet étonnamment contemporain : d’une part, le drame, qui se noue dans un microcosme rural, propose exclusivement des portraits de femmes, d’autre part, le carcan familial représente, de façon emblématique, un monde de plus en plus stérile et inhumain, où s’affrontent différentes stratégies de survie, face au règne sans partage d’une idéologie autoritariste. Pour nous cette pièce contient des personnages exceptionnels, tantôt attachants

culturellement marqué, à partir d’un exemple : il s’agit de La Cène de Léonard de Vinci. Panofsky montre ainsi qu’il y a 3 niveaux de lecture de cette œuvre : au premier niveau, on appréhende une fresque, où on reconnaît (par notre expérience pratique) 13 personnages. L’un au centre inspire le respect, les autres sont tendus, et l’ambiance générale est à la solennité. Ce premier niveau est celui de la description, de ce que Panofsky appelle le « sujet primaire ou naturel ». Ce niveau de description est le niveau

recueil de poèmes autour de 3axes Spleen et Idéal, Fleurs du Mal, Révolte, Le Vin, La Mort.  Rimbaud -Le Bateau Ivre -Une saison en enfer -Illuminations Paul Verlaine - Poèmes Saturniens Jean Moréas -Manifeste du Oscar Wilde -Le Portrait de Dorian Gray Guillaume Apollinaire - Alcool Alexandre Blok -La Rose et la Croix Auguste de Villiers de L'Isle-Adam -Auguste Jules Laforgue - ComplaintesPeintres :Arnold Böckli, -L'île des morts Odilon Redon - La naissance de Vénus Gustav