Peshmerga

dénomination de « Kurdistan » : l'Iran avec sa province du Kurdistan et l'Irak avec sa région autonome du Kurdistan. Depuis l'offensive fulgurante de l'Etat islamique (EI) dans le nord de l'Irak, la question kurde est plus que jamais d'actualité. Les peshmergas (soldats du Kurdistan d'Irak) mais aussi les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), basé en Turquie et Syrie, sont en première ligne face aux djihadistes. Après des revers dans les monts Sinjar et la plaine de Mossoul, les troupes

exister. Car le 15 octobre 2005 par un référendum populaire est adoptée une entité politique autonome du Nord de l'Irak, reconnue par la constitution irakienne appelé le Kurdistan Irakien, à sa tête le PDK et l’UPK, il dispose d’une force armée les Peshmergas. Outre leur revendication en tant que nation, les kurdes sont aussi à l’origine de la lutte contre Daesh. Depuis 2014, les Kurdes d'Irak combattent les djihadistes de Daech dans le Nord du pays.

Shiite, pour que celui-ci utilise son pouvoir politique grandissant et ses forces armées de manière effective, responsable, impartiale et constitutionnelle. Pour l'instant, les groupes politiques du pays (Sunnites et SoI, Sadristes et JAM, Kurdes et Peshmergas) suspendent les hostilités à cause de la perte de popularité de leur mouvement et de la supériorité des forces de l’ordre, qui modifient leurs calculs stratégiques initiales. Toutefois, une fois les troupes américaines retirées, il y aura une faille

Kurdes eux-mêmes sont partagés. Tandis que Mollah Moustapha Barzani continue de rassembler autour de lui des milliers de peshmerga (soldats de l'armée kurde), d'autres chefs kurdes, dont son fils Obeidallah, se désolidarisant de son action, rallient Bagdad. Chacun s'organise administrativement et militairement dans les zones qu'il contrôle. Photographie Peshmerga Un camp de peshmerga, soldats de l'armée kurde, dans le nord de l'Irak.  Crédits: Hulton Getty Consulter Conformément aux accords de 1970

des réserves pétrolières abondantes (villes de Kirkuk et Mossoul). En 1988, Saddam Hussein lance une vaste opération militaire. A Halalija, 5 000 civils kurdes sont exterminés par des gaz toxiques. Cependant, la résistance kurde s’organise. Les peshmergas (combattants kurdes) remportent un certain nombre de victoires, jusqu’à repousser totalement l’armée irakienne. C’est donc un nouvel échec pour le régime de Saddam Hussein. En outre, les relations entre l’Arabie Saoudite, le Koweït et l’Irak s’enveniment

choses qui font froid dans le dos] ajoutent aux trois lieux saints précités au moins les deux suivants : Nadjaf suivi de Kerbala Question 63 Les Gardiens de la Révolution, fer de lance de la République Islamique d’Iran, sont appelés A Hezbollahi B Peshmerga C Talibans D Ansarallah E Pasdaran Question 64 Au début du mois de mai 2015, qui étaient les principaux dirigeants d’une façon ou d’une autre musulmans du Proche et du Moyen Orient, et aussi de l’Anatolie, de l’Afghanistan et du Pakistan ? [le nombre

pour entendre les bombardements et sentir l’odeur des incendies provoqués par les frappes aériennes de la coalition internationale. Il faudrait moins d’un quart d’heure aux djihadistes pour gagner le monastère si les lignes des combattants kurdes peshmergas s’effondraient. C’est néanmoins ici que des dizaines de familles chrétiennes – plus de 300 personnes – ont trouvé refuge après la chute de Mossoul en juin 2014. En quelques jours, ce lieu de pèlerinage et de tourisme, fréquenté en son temps par

irakien. Des accords ont été signés entre représentants des Kurdes et le nouveau gouvernement irakien, le Kurde est ainsi reconnu comme langue officielle au même titre que l’Arabe. La région autonome a son propre gouvernement kurde, une force armée Peshmerga et même une politique extérieure qui lui est propre. Cette région est d’ailleurs la seule qui peut être référée à la notion de Kurdistan. Erbil, la capitale de ce Kurdistan, dispose de son propre aéroport, de ses centres culturels et une des principales

« contractors », ces nouveaux soldats prives qui au nombre de 30.000 hommes représentent la troisième force militaire de la coalition. Les Kurdes (20%) aujourd’hui casematés dan leurs territoires sous la protection d’un armée expérimentée de 80.000 peshmergas (guerriers) . En fin depuis 2004, les Chiites – population majoritaire a 50%), et qui forment l’essentiel de la nouvelle administration, en particulier dans l’armée et la Police qui ont eu plus de 2000 morts. Au final, ce sont plus de 30.000 Iraquiens

Behechti, président de la Cour suprême, qui place ses fidèles aux postes clés du pouvoir. La situation économique s'aggrave tout comme la situation politique, en raison des jugements et des exécutions sommaires et de la guerre au Kurdistan où les peshmerga kurdes s'affrontent à l'armée régulière et aux pasdarans. L'échec de la tentative américaine en vue de libérer les otages (Tabas, 24-25 avr. 1980) renforce la position des intransigeants qui, aux élections législatives d'avril 1980, remportent une