Pessimisme D Un Coeur Simple

grandeur. Dans sa pire misère, l’homme est grand en ce qu’il pense. La grandeur vient de la misère : «  La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable ». L’homme aspire au bonheur mais ne peut l’atteindre ; il sait, par la certitude du cœur, ce qu’est la vérité, il ne peut pas ne pas la chercher, mais il ne l’atteindra jamais ; il vit dans un monde d’apparences. L’homme n’est qu’un tissu de contradictions, un mélange indissoluble de bassesse et de grandeur ; il y a contradiction en lui

colonies; le développement rapide; commerce, négotiations, les affaires; confiance à l'avenir LE ROCOCO = entre classicicme et baroque; adapté à la bourgeoisie moyenne (les citoyens) baroque = décoratif, lourd, abondant, exotique classicisme = sobre, simple, clair, rigide, pure, fin, réduit à l'essentiel réconcilie ces deux extrêmes et passe un message peu d'ornaments, moins abondant, une dimension constructive salons littéraires pour les femmes et clubs littéraires pour les hommes (il faut briller

est le bouc émissaire de toutes les souffrances du monde, il est un exemple; c'est la démonstration scientifique de comment rendre un homme triste, mauvais, mal. Ses analyses lui apparaissent tout à fait plausibles, réelles, vraies, elles sont un simple constat, un compte rendu de la réalité, qu'il fait partager au lecteur, c'est le réalisme subjectif à Pierre. Par exemple au début du chapitre IV, nous avons un paragraphe rédigé du point de vue interne à Pierre. « Il se pouvait en effet que […] sa

exagérations, atténuations déconcertantes, mots à valeur négative, périphrases et appellations insolites. ➢ Le ton tragique : Il suscite une émotion née de la conviction intime qu’il n’y a plus d’issue. Il exprime le pessimisme, la marche inéluctable d’un destin fatal qui voue l’homme à la mort. Procédés utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins

l’écriture de ses fables dans un vaste fond culturel de mythes, comtes et fables. Il s’exerce à l’art d’écrire et de varier les styles à partir de la traduction, de l’imitation de la transposition et de la glose. La Fontaine a transformé ce genre simple, quasi rustique de l'apologue ésopique. Dans la fable « La femme noyée », on distingue 3 mouvements principaux : - Les vers 1 à 8 constituent une présentation du fabuliste apparaissant comme un galant homme, puis de la présentation de la femme noyée

Le style de Le Clézio est relativement facile : la majeure partie du texte est écrite au présent. La syntaxe est très simple : très grand nombre de propositions indépendantes, peu de subordination. Souvent les noms sont répétés et non remplacés par des pronoms. Seul le vocabulaire peut présenter des difficultés, mais, d’une part on peut les résoudre en fournissant un glossaire simple ; d’autre part Le Clézio pratique beaucoup le réemploi, ce qui permet la fixation des mots nouveaux. Cet extrait ne

puis nous montrerons, comment les livres nous fournissent des renseignements, de l’instruction et peut ainsi nous aider à prendre conscience de certains mécanismes qui entrent en jeu dans les difficultés vécues par l’ensemble de notre société jusqu’au cœur de l’individu, deux domaines interdépendants. Nous verrons aussi que la volonté des auteurs n’est pas absente dans cet enjeu. Puisqu’il choisit parmi la multitude de genres qu’offre la littérature - roman policier, d’aventure, initiatique, historique

l’action du personnage, en l’occurrence la jeune femme dans le temps de la marche. Le verbe « avancer » est conjugué à l’imparfait. L’imparfait indique la durée, on ne sait pas quand a commencé l’action. Le verbe de la principale est conjugué au passé simple, ce temps (le p.s.) met un terme à la marche, il indique la rupture. L’adverbe « soudain » redouble l’effet de rupture dans le temps, d’autant plus que c’est une balle que reçoit la jeune fille. L’expression de la souffrance est relayée par la

antiphrases, juxtapositions, exagérations, atténuations déconcertantes, mots à valeur négative, périphrases et appellations insolites. Le ton tragique : Il suscite une émotion née de la conviction intime qu’il n’y a plus d’issue. Il exprime le pessimisme, la marche inéluctable d’un destin fatal qui voue l’homme à la mort. Procédés utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins. Le ton

officiers. Il écrit alors une première critique, d'un roman d'André de Richaux, pour la revue parisienne Le Rouge et le Noir à laquelle il collabore jusqu'en 1929. En 1928 est publié aux éditions de la revue, son premier recueil, Les Cloches sur le cœur, rassemblant des poèmes écrits entre 1922 et 1926, dont il détruira la plus grande partie des 153 exemplaires. Il publie également en revues un texte sur la ville d'Uzes en 1928 dans La Cigale uzégeoise et en 1929 un poème ancien dans Le Feu d'Aix-en-Provence