Peste de Marseille

premiers connus opposent les Grecs et les Étrusques. Ces derniers, menacés par la poussée phocéenne – d'une cité grecque d'Asie Mineure sur la côte de la mer Égée (→ Phocée) –, s'allient à Carthage. Après avoir détruit la flotte de Massalia (actuelle Marseille) à Alalia (en Corse, vers 540-535 avant J.-C.), les Étrusques laissent les Carthaginois (ou Puniques, comme on les appelle aussi) contrôler la Sicile et la Sardaigne, tandis qu'eux-mêmes s'installent en Corse et font de l'Italie leur chasse gardée

la première moitié du xx e siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin de

première moitié du xx e  siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin

première moitié du xx e  siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin

premier roi barbare converti au christianisme et baptisé à Reims par Saint-Rémy en 496, les 5ème et 6ème siècles marquent l'explosion monastique occidentale. Nombreux sont ceux qui se retirent du monde et fondent des communautés: Jean CASSIEN à Marseille, HONORAT aux îles de Lérins, et surtout Benoît de NURCIA (480547) devenu Saint-Benoît, qui, en rédigeant « sa Règle » au monastère de Monte-Cassino qu'il avait fondé prés de Rome en 529, donne au monde monastique une référence toujours utilisée aujourd'hui

libraires vont être désignés par une litote soit les articles philosophiques. Ces ouvrages sont imprimés par des sociétés typographiques. Ces ouvrages sont introduits en France par la contrebande. Ces livres arrivent souvent par la mer, souvent Marseille et l’on fait remonter ce livre par les fleuves jusqu’à la seine. On met en place un véritable réseau clandestin, pour plus de sécurité, on découpe ce livre en plusieurs parties, on dit qu’il voyage en feuilles puis ils sont remis à plusieurs personnes

florissants. Pour remplir cet emploi sinistre, Du fond du noir Tartare avancent à pas lents La fièvre, la goutte et la guerre. C’étaient trois sujets excellents ; Tout l’enfer et toute la terre Rendaient justice à leurs talents. La mort leur fit accueil. La peste vint ensuite. On ne pouvait nier qu’elle n’eût du mérite, Nul n’osait lui rien disputer ; Lorsque d’un médecin arriva la visite, Et l’on ne sut alors qui devait l’emporter. La mort même était en balance : Mais, les vices étant venus, Dès ce moment

spéculations boursières compliquées qui se révélèrent catastrophiques au bout de quelque temps, mettant ce noble personnage dans une situation pécuniaire périlleuse. Alors Manolda se souvint de son vieil ami le Pr Destilliano à Lisbonne. On se rencontra à Marseille, on eut une conversation serrée et l'on s'en retourna au bout de deux jours avec la certitude d'être indissolublement liés pour la vie. A compter de ce jour, le financier-consul Manolda parut améliorer sensiblement sa situation. Seulement, ses exportations

commerce et fondent des villes commerciales (ex : Carthage). Les grecs vont également, grâce à la monnaie, développer l’activité commerciale. Ils vont fonder des ports le long de la méditerranée qui vont servir à l’échange avec les terres étrangères. Marseille = port fondé par les grecs, par les phocéens. Lorsque l’on bascule de la période de l’antiquité grecque à l’antiquité romaine, lorsque la puissance dominante devient Rome et non plus Athènes, les choses changent. Rome connait la monnaie, mais Rome

deux est publié à l’extérieur du royaume. Ces livres appelés libel, pamphlet, méchant livre, livre interdit. Pour les libraires, on parle d’articles philosophiques. Pour parvenir à Paris ou Lyon, le livre clandestin arrive souvent par la mer à Marseille ou Rouen. Puis il est remonté à bateau par la Seine jusqu’à Paris. On remarquera un véritable réseau d’importation clandestine. Découpage des livres en plusieurs parties. Le livre voyage en feuille. Ensuite les colporteurs seront les diffuseurs