Peter Kürten

« Massenmörder » (« assassins collectifs ») qui ont agité la fin de la République de Weimar dont notamment les affaires Haarmann, Grossmann, Denke et Kürten. Fritz Lang et Thea von Harbou ont accumulé de nombreux articles de presse, photographies de victimes et d’assassins, avis de recherches de meurtriers afin de préparer le scénario. Peter Kürten, un meutrier en série, est arrêté en mai 1930, condamné à mort en avril 1931 – jugé coupable de neuf homicides et deux viols –, et exécuté en juillet

auch drei Museen schützt und so weiter... Berühmte Personen. Es gibt viele Berühmte Personen, die in Düsseldorf geboren sind. Es haben Dichter, Philosophen, Schriftsteller gegeben, und so weiter… Aber sie sind hier nicht sehr bekannt. Und Peter Kürten, der "Vampir von Düsseldorf" genannt ist, ist eine andere Berühmtheitsgenre. Wirklich hat er mehr als 80 Personen in 1929 in Düsseldorf gefoltert und getötet. Sport. Der Fussballklub der Stadt heisst Fortuna Düsseldorf. Er hat die Meisterschaft

Comment Fritz Lang présente son film... « Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, M n’était pas tiré de la vie de l’infâme assassin de Düsseldorf, Peter Kürten. Il se touve qu’il avait juste commencé sa série de meurtres pendant que Thea Von Harbou et moi étions en train d’écrire le scénario. Le script était terminé bien avant qu’il ne soit pris. En fait, la première idée du sujet de M m’est venue en lisant un article dans les journaux en quête d’un point de départ pour une histoire. A

réduite à 1h29. Il s’agit du premier film parlé de Lang. Le premier rôle est tenu Peter Lorre qui incarne le maléfique Frantz Becker, alias « M ». Le titre original est M sou titré « Ein stadt sucht ein morden » (une ville recherche un meurtrier). Pour ce film, Lang s’inspire de faits d’actualités, en effet, entre 1918 et 1930, l’Allemagne est témoin d’un vague de crimes commis par des tueurs en série tels que Haarman et Kurten. Il souhaite alors réaliser son film en se basant sur des comptes rendus de

spectateur, de l'amener à s'identifier tout naturellement au protagoniste meurtrier. Certain de ses grands films s’inspireront directement d'un fait divers réel. On peut voir par exemple que Fritz Lang pour M le maudit (1931), s'inspire de l'affaire Peter Kurten, «le Vampire de Düsseldorf». Ou d'autre, s’inspireront de roman telle le fameux Hannibal Lecter du Silence des agneaux ( personnage d'un roman Dragons Rouge de Thomas Harris porté à l'écran pas Jonathan Demme en 1990 ). Les figures et les profils

prisonnières encore vivantes mais dans un mauvais état. La comtesse fut arrêtée. c) Autres personnages En dehors de Vlad Tsepesch Dracul d'autres personnes ont dans l'histoire commis des crimes qui se rapprochaient du vampirisme.Peter KürtenPeter Kürten aussi connu sous le nom de vampire de Düsseldorf demeure l'un des plus célèbres tueurs en série d'Allemagne. Né dans une famille pauvre de Cologne, troisième d'une fratrie de 13 enfants, il eut une enfance marquée par la délinquance et de fréquentes

Ce sont le « drame du destin » et le thème du Bien et du Mal qui intéressent le cinéaste, auteur d'une réflexion fascinante sur les procédures de jugement : une des scènes les plus fortes du film est en effet le procès du meurtrier, qu'interprète Peter Lorre, par un tribunal constitué par la pègre organisée et dans laquelle certains ont voulu voir une parabole du mouvement nazi. En fait, c'est la pourrissante société de Weimar qui est ici dépeinte. Le pays est pris en étau par le nationalisme montant

Karmakar toume le film L'Homme qui donne la mort (Der Totmacher) qui s' appuie sur le proces verbal des entretiens entre Fritz Haarmann et un psychiatre. 11 nous reste a évoquer le cas de Marie Besnard, la «bonne dame de Loudun» ainsi que celui de Peter Kürten, le «Vampire de Düsseldorf» qui a servi de modele au cinéaste Fritz Lang pour M. Le Maudit. A la me me période, Bruno Lüclke entame la série de ses meurtres sadiques a travers l' Allemagne et le Docteur Marcel Petiot traite ses patients ...

terrorisait les villages du 16ème siècle, à tel point que les autorités le considéraient comme l’un des problèmes sociaux les plus pressants de l’époque. - Parmi les plus célèbres de ces "hommes loups", on connait surtout Gilles Garnier, un Français, et Peter Stubbe, un Allemand. Tous deux s’attaquaient aux enfants, les éventraient et les dévoraient. Stubbe en vint même à mutiler sauvagement son propre fils et à manger son cerveau. - Le mythe du loup-garou est encore populaire de nos jours. On entend toujours