Petit-gris

« Jaillissent vers le firmament comme des pas dans une église » : ce vers évoque à la fois la mort, le souvenir ému des êtres chers et le sacré * « peut-être sont-ils morts déjà » : angoisse d'A. qui est dans l'incertitude * « Derain aux yeux gris comme l'aube » : comparaison qui repose sur la couleur grise = tristesse, deuil Le poème s'ouvre et se ferme sur l'image de fleurs : « lèvres fleuries »/ « fleur guerrière » = en haut symbole de l'amour et de la paix, en bas de la mort et de la

allongé. Les lignes horizontales donnent une impression de calme. C’est un tombeau. L’homme allongé à les traits du père d’Otto Dix. Ce sont les soldats mort à cause de la guerre. Couleurs : Les trois couleurs principales de ce tableau sont : le gris, le rouge, le marron. Mais les couleurs sont très contrastées (chaudes, froides, sombres…) Profondeur : L’illusion de profondeur est donnée par des superpositions de couleurs, de formes, de jeux d’ombres et de lumière, le rapetissement des formes

un masque de calque pour supprimer l’image indésirable et mettez l’Opacité du calque à 45%. 11 Ajustez la section cou Sur la section cou du calque, ajustez le niveau [Ctrl] + [L]. Dans la boîte de dialogue : mettez le Point noir à 10, le Point gris à 0.50, le Point blanc à 255 (Black Point, Gray Point, White point). Dupliquez le calque et redéformez pour remplir la zone vide du cou. 09 Copiez les calques Toujours sur le même calque, faites [Ctrl] + [J] pour le dupliquer et commencez par

clair, la pupille se ferme pour "réguler" le flux de lumière reçue. Dans l'obscurité, la pupille s'ouvre plus. Conséquence immédiate: la même couleur sera perçue plus foncée sur un fond clair que sur un fond sombre. Le carré central semble d'un gris plus foncé à droite qu'à gauche. Contraste de saturation C'est un autre facteur jouant sur notre perception des couleurs. Par une action d'opposition, nous évaluons la vivacité d'une couleur en fonction de la scène environnante. Une même couleur

démontre que le désir sexuel est omniprésent dans une liaison romantique. Dans le texte, les références à la « chaleur » précisent le lien charnel de l’amour. Dans l’antithèse « La peinture grise du plancher cuit sous le soleil jaune », la froideur du gris fait ressortir la chaleur du « soleil jaune », celle-ci représentant la concupiscence et le plaisir de chair. Plus que par la sexualité, la simple quiétude peut suffire pour vivre une relation passionnée. Dans la comparaison « L’amour qui rebondit

logo 1.Le logo doit être lisible pour tout type de personne 2.N’utilisez pas de clipart…et évitez les stéréotypes ou les logotypes populaires (ex.: une planète pour internet) 3.Le logo doit être lisible en noir & blanc (différent du dégradé de gris) 4.Le logo doit être lisible peu importe sa dimension 5.Le logo doit être intemporel 6.Le logo doit être lisible sur un fond blanc, noir ou de couleur 7.Le logo doit être visible de loin 8.Le logo doit avoir une personnalité, refléter des valeurs

auparavant été diffusé sous un autre angle. Ce qui signifie la temporalité déjà passée du nouveau message avec la même idée en fond de campagne. 6. Le contexte spatial : Dans cette publicité de PeTA, l’espace est divisé en deux : le fond en gris qui est à priori de la broussaille et des fleurs sauvages, et l’espace où le renard se tient avec une ombre portée vers le bas au niveau de ses pattes. Le fond révèle l’appartenance du renard à la nature, qui semble-t-il devrait être le vécu normal

quelques cadres que j’ai pu observer durant le bref instant où j’étais à la bibliothèque était tous des cadres réaliste qui montraient soit le portrait d’une personne ou bien des paysages. J’ai observé des couleurs plutôt neutres comme le noir, le gris et le brun. Beaucoup de tables, de chaises et de bureaux de travail étaient placés un peu partout dans la bibliothèque. On observe que c’est vraiment un endroit pour travailler dans le silence et la paix. La température se situait aux alentours

membre de la Gestapo, vêtu du classique long manteau de cuir noir. Quant à son page, il a revêtu l’uniforme traditionnel d’un officier SS afin d’accentuer la figure oppressante qu’est Créon. En choisissant une thématique de couleurs froides (bleu et gris dominants), Nicolas Briançon facilite l’identification des personnages. Ainsi, Antigone (Barbara Schulz), vêtue d’une longue chemise de nuit grise est fortement différenciée de sa sœur Ismène, présentée de rouge. Les seuls personnages à ne pas mourir

quotidienne Cartier-Bresson illustre la spécificité du médium photographique, à savoir le fameux « instant décisif ». Ce dont il s’agit d’abord ici c’est d’un décor : les abords de la gare Saint-Lazare à Paris. Un paysage urbain plutôt triste. Le ciel est gris, le sol est inondé, sans doute à la suite d’une lourde averse. La chaussée est encombrée de détritus : amas de pierres, tas de boue, échelle, poutres, tuyaux, brouette… Sans doute l’endroit est-il en travaux. Et puis il y a cette grille qui barre l’image