Petite lèvre

WINNIE : Ah, oui, si seulement je pouvais supporter d’être seule, je veux dire d’y aller de mon babil sans âme qui vive qui entende. (Un temps.) Non pas que je me fasse des illusions, tu n’entends pas grand’chose, Willie, à Dieu ne plaise. (Un temps.) Des jours peut- être où tu n’entends rien. (Un temps.) Mais d’autres où tu réponds. (Un temps.) De sorte que je peux me dire à chaque moment, même lorsque tu ne réponds pas et n’entends peut-être rien, Winnie, il est des moments où tu te fais entendre

c’était un singulier contraste que le front chaste et ce sourire voluptueux. Il avait l’œil petit et le regard grand. Eblouie de découvrir tant de beauté d’un seul coup, son regard dévia de son inconnu et c’est là qu’elle découvrit qu’il vivait dans la plus grande des misères. Sa chambre se résumait à une simple paillasse, une table bancale et quatre murs délabrés qui n’avaient aucune ouverture, seulement ce petit trou qui avait attiré la demoiselle. Que faisait t’il de ses temps libres, que faisait

------------------------------------------------- A la lumière des théories étudiées vous montrerez comment l’affectivité de l’enfant se construit durant la première année de vie. Toute expérience vécue par l’enfant, dès sa venue au monde, va influer sur son développement et se traduire sur le plan psychologique en effets positifs ou négatifs qui seront autant de bons ou de mauvais points. Ces facteurs points vont contribuer à l’élaboration de la personnalité de l’enfant en faisant pencher la balance

Exercice n°1) Portez constamment un sourire naturel, autant que vous pouvez vous en rappeler. Souriez soit avec vos lèvres fermées soit en montrant vos dents. Exercice n°2) Mettez-vous face au miroir et essayez de toucher votre nez avec votre lèvre supérieure en la poussant en avant. En faisant ce mouvement, élevez les coins de vos lèvres et contractez vos joues vers vos yeux. Gardez cette position pendant 10 secondes et détendez-vous. Répétez ces mouvements 5 fois. Exercice n°3) Souriez de

langues étrangères ! Anglais, espagnol, italien. Et elle aimerait tester le chinois. Les choses dont elle ne peut se passer ? Son iPhone, son iTouch, son stylo bic bleu de l'Université d'Oxford, son agenda Ben© et un carnet noir où elle recueille ses petits bonheurs quotidiens. Maintenant vous allez me dire : mais qu'est-ce qu'elle fait au milieu de cette foule, à attendre que le Virgin ouvre ? Alors, Ladies and Gentlemen, accrochez-vous bien à vos sièges, car elle est ici pour rencontrer son dernier

lui. Du moins, les quelques-uns, pas tant que ça en fait, qui se sont intéressés à moi d’assez près. Ca, il n’y en a pas eu des dizaines, c’est clair. Allez, je le dis : moi, j’en eu quatre dans ma vie. Quand je dis quatre, c’est sans compter les petits flirts de bahut avec, comme expérience ultime de la sensualité débridée, un échange furtif de bisous mouillés derrière la remise du parking à vélos. C’est vrai que je ne suis pas un canon mais, des comme ça j’en ai eu, disons, trois de plus. Trois

« Il arrive un moment dans la vie où on se questionne, où on se cherche et où on aimerait se découvrir. On rêve d'une vie plus féérique, plus belle, plus excitante. Puis on se rend compte que le bonheur peut se trouver dans les moments les plus inattendus, et on se dit que c'est ça être heureux, savoir prendre la vie comme elle vient, sans réfléchir. » « J'ai cru comprendre que tu étais un joueur, alors jouons à un jeu. On se parlera tout le temps, on se souhaitera une bonne journée et une bonne

Œuvre de propagande, affiche du juif éternel : C’est une affiche antisémite, en rapport avec la politique d’Hilter, réalisé en novembre 1937 et son auteur est inconnu. Contenu visuel : Au premier plan, se trouve un homme juif, avec des traits physiques exagérés : lèvres et sourcils épais, grands yeux globuleux, nez crochu, cheveux noirs épais et crépus, épaules larges et mains épaisses. Cet homme porte une longue tunique noire recouvrant une chemise blanche qui donne l'impression d'être sale

» Quand même le chameau, tendant son col d’autruche, La cavale, dans l’auge enfonçant ses naseaux, Et la vierge noyant les flancs blonds de sa cruche, Puiseraient à la fois au saphir de ses eaux ! » Et le Bédouin, ravi, voulant tremper sa lèvre Dans le cristal salé de la coupe des mers : « C’était trop beau, dit-il ; d’un tel bien Dieu nous sèvre, Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes

Dans ma cabine, alors que j'étais sur le point de me reposer, j’entendis l'équipage s'agiter.Je me levais, puis Colomb m'attrapa par le bras pour me mener vers le pont. Je m'étonnais de son tel comportement quand il me dit «  Regarde Stanley ! Regarde vers l'horizon il y a une Terre encore inconnue ! ». Ébahi de cette découverte, je me retrouvais bouché bée les yeux tout émerveillés, je n'avais qu'une hâte c'est de pouvoir poser mes pieds sur cette nouvelle découverte.Une demi heure plus tard, nous