Peur

couleur uniforme du givre », « derniers moments », mais aussi la peur par le champs lexical de la peur, « noir », « nuit », « hirsutes », « menaçants », « tâche de sang », « effet de peur », « sans yeux », « doigts errants », « morts ». La propagande de Vichy cherchait à faire de ces résistants des terroristes. Au contraire Aragon en fait des héros ; par le courage « la mort n'éblouit pas les yeux des partisans » : ils n'ont pas peur de la mort ;que leur combat change le cours de l’histoire, « Et

m'évanouir, ouvrir mes yeux et contempler : ma vie est passée à mourir.Oh ! On est mieux les yeux fermés.Je sais qu'il frappera encore plus fort. Il déverse sa haine par des insultes, des hurlements, des crachats… Je manque d'air mais je me tais, je tais ma peur qui est devenue ma compagne, je lèche mes plaies en silence. Mon cœur a froid, écoeurée de vivre et démolie. J'ai faim, j'ai mal, j'ai plus que ça. Je suis écorchée dans ma vie. Couvert de lui, mon corps blessé, stigmatisé, appelle à l'aide. Appelle

d'exceptionnel dans ma vie, mais j'ai aimé très fort..♥ J'arrive pas a définir ce sentiment, le fait d'aimer quelqu'un, la peur que ce ne soit absolument pas réciproque, l'angoisse pour la moindre petite chose non positive qu'il te dit, l'extase pour le moindre Je t'aime, la peur de lui parler, la peur de ses réactions surtout, la peur qu'il se foute de toi, ou la peur que tu te sois trompé à son sujet, le fait qu'il te parle comme sil avait un petit coup de cœur envers toi & le lendemain qu'il

celui de son journal en se battant en duel c’est donc un héro confronté à la mort que Maupassant nous décrit et nous découvrons un George Duroy aux angoisse duquel nous nous identifions, le texte se présentant comme un récit dramatique traversé par la peur et aboutissant aux délire. Nous étudierons donc I) un récit dramatique II) de la raison à la folie NB : renvoi implicitement au chp 6 a l’annonce de la mort proche de Norbert De Varenne et l’agonie de forestier.

Les personnages Les Villageois (la joie puis la tristesse) Réda R’Guig Hind Aboulass Nouha Hachchane Yousra Boudar Imane Sanba Khadija Miftah Mohamed Ajiba Hatim Kouky Moncef Boudi Achraf Boudala Souhail Ejnaini Yasmine Aqlil Les gens de la forêt (la peur) Kawta Atouat Mejda Sanba Nouha Talibi Ikram Salhami Les habitants de la grotte (la colère) Hassan M’Kaddem Yahya Errhamaoui Ali Alaoui Ayoub Ait Ben Salah Oussama El Mankoud Le gardien du ventilateur (personnage un peu loufoque) Rhaly Mohamed Haytem

scolaire, la peur de quitter la maison. - claustrophobie Peur des endroits clos : ascenseur, avion, métro..Besoin d'accompagnement quasi obligatoirePeur angoissanteLes sujets se sentent souvent ridicule -  nosophobie C'est la peur des maladiesSignes viscérales : affolement, ballonnements, tachycardie.Il faut consulter un médecin rapidement pour que ça se calmeC'est une obsession, le rôle de l'imagination est très importantCette peur peut apparaître à tout moment -  éreutophobie (peur de rougir)- 

paroles, chacun de tes regards. Plus je te connait, plus j'aime tout de toi. C'est vrai au début je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait, je me demandais ce que tu me trouvais. Aujourd’hui, plus rien ne m'importe à par toi. J'ai toujours eu peur d'aimer et de souffrir. Mais l'amour m'est tombé dessus sans que je m'en rende compte. Petit à petit, tu t'immissais dans mes pensées et dans mes rêves. Plus les jours passaient, plus j'avais besoin de ta présence. Dépendre de toi me terrorise !

social : orphelinat, veuves, handicapés blessés de guerre , vole, viole banditisme ... bref il n' y a plus de sécurité et on a peur de tout . - les cultures , les sciences et les arts sont menacés : il trés difficile en période de guerre d'assurer le développement de ces domaines . - la guerre bloque aussi toute forme d'échange nationaux ou internationaux , en effet la peur des citoyens et la destruction de l'infrastructure font que les gens ne peuvent plus faire des échanges en toute sécurité. -

est un chapitre du livre autobiographique " Le feu " d'Henri Barbusse. « Bombardement » nous transporte dans un extrait du parcours du narrateur, un soldat qui nous parrait vivre une explosion magnifique, magique plutôt que pris dans l'horreur, la peur et la souffrance de la guerre. Dès le debut du texte, on est plongé dans l'abstraction que vit le soldat dans les tranchées ou sur les chemins. l.12 « vers les lieux vagues ou nous allons : une fusée. Elle eclaire toute une portion du firmament de

« Sommes-nous tous racistes? Non, mais nous sommes tous exposés à l’hétérophobie. » assure Albert Memmi dans son livre Ce que je crois paru en 1985. Cet écrivain et essayiste franco-tunisien a inventé le concept d' « hétérophobie » qui signifie « la peur de l'autre », le « refus d'autrui au nom de n'importe quelle différence » affirme-t-il. Dans son œuvre, il écrit également «  Le racisme est une misérable machine de mots pour justifier notre hétérophobie et en tirer profit. ». Nous pouvons nous demander