Peut On Utilisé La Violence Pour Defendre Ces Idee

Megan Pollak TD du vendredi 12/13h Claire Evesque Devoir maison : Explication de texte (texte n°51, Antigone, Jean Anouilh) La violence au théâtre Le théâtre de l'entre-deux-guerres s'emploie à la réécriture des mythes grecs. Mythes et tragédie sont envisagés avec un nouveau visage, celui de la violence 1. Les dramaturges puisent leur inspiration dans les mythes gréco-romains, afin de les transposer dans leur époque moderne. La réécriture leur permet d'exprimer leurs interrogations profondes dans

que ce dernier reste au trône alors que Maxime, voulant la liberté de Rome, lui préconise de quitter le pouvoir. Dans cette scène, est mis en place l’histoire ancienne, où du moins des évocations historiques que Cinna et Maxime font, afin de défendre leur idée. Au vers 664, Cinna fait référence à Sylla. En effet, après avoir évoqué aux vers 661-662, «  Vengeons nos citoyens, et que sa peine étonne // Quiconque après sa mort aspire à la couronne »à travers un enjambement, que personne ainsi n’aura

sélection des races et l’adapter à l’espèce humaine c’est la science de L’anthropologie sociale. Ainsi Chamberlain va défendre se darwiniste social et défendre les races supérieurs qui est selon lui la race aryenne. Certain vont reprendre cette idée tel Drumont qui sera très virulent lors de l’Affaire Dreyfus Selon l’E-D, appartenir à la nation se fait par le sang, ils vont donc défendre l’idée d’une communauté de sang ce qui va à l’encontre de la définition de citoyen dans notre république, un citoyen

Pourquoi la guerre ?? 2 points de vue: -> guerre = inévitable car trop de rivalité entre les pays -> guerre = aléatoire, mystérieux : rien ne peut l’expliquer 2 éléments sont sures : - Europe connaissait une situation belligène MAIS la guerre n’était pas inévitable EX : Guerre Froide situation belligène MAIS pas de guerre - On peut expliquer le lien entre l’attentat de Sarajevo et une guerre généralisée mais l’évènement est plus fort que ces origines. Personne n’avait envisagé ni

LES POUVOIRS DE LA PAROLEINTRODUCTION GENERALE : Que peut la parole ? +Neutre-« Esprit critique » Critique de la raison pure E. K CritiquerPlaton Sens courant Complimenter (Faire éloge) CommuniquerManipuler Soulager d’une émotion VanterFlatter Encourager S’opposer Agresser Expliquer Influencer Blâmer Un juge JugerSens courant Décrire/ExposerSermonner Réconforter Susciter une émotion Blesser Séduire (cf : III pouvoirs de la parole)Transmettre

d'où il vient et que leur monde n'est qu'une lune. » Pour cela il se retrouve condamné à l'eau, condamnation réservée aux athées. Alors que Dyrcona tente de se defendre, un inconnu traverse la foule et prend sa défense d'une maniere éloquente. Lecture A partir de cet extrait, nous nous demanderons en quoi les procédés rhétoriques utilisés font de cette intervention un véritable plaidoyer? Axes de lectures -un plaidoyer concert -un plaidoyer abstrait I)« Juste écoutez moi » narrateur

nuit du 29 au 30 septembre : la Michelade de Nîmes, massacre autour duquel les protestants vont massacrer des catholiques et notamment des ecclésiastiques. Ce qui va marquer l’esprit : on va jeter les corps dans un puit qu’on va muré marque avec la violence des protestants. Pour mettre la pression au pv royal, ils vont assiéger Paris avec pour but de mettre en place à un rapport de force. Cela aboutit à la paix de Longjumeau en mars 1568. Dès 68, les chefs protestants c’est Condé, Coligny et Jeanne

liberté de la presse, c’est la base de toutes les autres libertés, c’est par là qu’on s’éclaire mutuellement. Chaque citoyen peut parler par écrit à la nation, et chaque lecteur examine à loisir, et sans passion, ce que ce compatriote lui dit par la voie de la presse. Nos cercles peuvent quelquefois être tumultueux : ce n’est que dans le recueillement du cabinet qu’on peut bien juger. C’est par là que la nation anglaise est devenue une nation véritablement libre. Elle ne le serait pas si elle n’était

peuples comme le cite GRIMM-GOBAT sur son site internet, www.largeur.com, (2010). Son confrère BONIFACE le rejoint sur cette idée dans la revue, le monde diplomatique (2004), notamment lorsqu’il explique que ces Jeux Olympiques ouvrent une fenêtre sur le monde et sur les autres peuples. GRIMM-GOBAT parle aussi de paix, on faisant référence à l’Afrique du Sud où Nelson Mandela utilise la coupe du monde de rugby pour rassembler la nation divisé par des années d’affrontements entre noirs et blancs. Dans

elle ne lutte pas contre son amour mais contre l’objet de son amour. La violence de la séparation mise en valeur par la métaphore de la séparation : « sein et bras paternels » précédée par un verbe violent « arrachèrent », indique clairement l’erreur de Phèdre. En effet, bannit-elle Hippolyte des bras de son père ou de son esprit ? Bien que le spectateur ne puisse pas douter de la réalité de la souffrance de Phèdre, il peut tout de même se demander si Phèdre, paradoxalement, ne combat pas son amour