Peut On Vivre Sans Principe

Faut-il vivre d’abord et philosopher ensuite ? La Philosophie n’a jamais eu une réelle place dans notre système scolaire contemporain, en effet, on ne sait pas s’il faut la considérer comme une science humaine, comme une matière littéraire ou encore comme une réflexion personnelle basée sur un raisonnement scientifique. De même, dans la société en général, on ne sait pas vraiment quoi penser de la Philosophie, est-ce un exercice réservé à une élite, une activité pleine de raisonnements abstraits

hédoniste qui fait du plaisir le principe du bonheur, pourquoi se contenter de peu alors qu’une lecture naïve de l’hédonisme encouragerait à poursuivre les plaisirs et à les accumuler ? Epicure va d’abord écarter une fausse explication avant de présenter les trois raisons pour lesquelles il faut savoir se contenter de peu. Epicure récuse l’explication selon laquelle il faudrait toujours vivre « de peu », c’est-à-dire avec pas grand-chose. Le philosophe n’encourage pas à vivre dans le dénuement ou la pauvreté

Alexandre Le Grand et les désirs dont parle Freud : pulsion de vie (EROS) et pulsion de mort ( THANATOS) Enfin, on peut poser la question de la valeur du désir. Le désir des uns n’est pas forcément le désir des autres. A cause de cela, les désirs peuvent créer des conflits. Mais, d’un autre côté, que serait une humanité sans désir ? Aurait-elle encore des motivations ? Pour vivre ne faut-il pas en avoir le désir ? On arrive donc à l’idée, le désir c’est la vie et la question de la valeur du désir

les rapports sociaux, ne pouvait passer à côté de ces enjeux majeurs et traditionnels que sont la vie, et la mort. « Tu ne tueras point », ce commandement du Décalogue biblique traduit le droit de chacun à ne pas être tué, et la traduction de ce principe en droit à la vie n'est qu'à un pas ; le droit de mourir, que Chiron a obtenu de Zeus pour abréger ses souffrances, a rencontré plus de difficultés quant à son acceptation dans la société, et aujourd'hui, parler d'un droit à la mort semble moins

Moyen-âge, les rapports politiques sont en fait des relations entre personnes: l’engagement vassalique, le serment de fidélité sont des rapports privés et s’établissent de personne à personne. La vie politique divisée en de diverses seigneuries ne peut avoir de caractère unitaire. L’idée d’Etat n’apparaît alors qu’avec la volonté de distinguer les rapports de gouvernant à gouvernés, des rapports privés de maître à sujets. La notion d’Etat implique l’idée d’un pouvoir qui transcende les volontés particulières

désir dominant qui donne à son objet une valeur absolue ,alors il semble qu'on ne peut avoir plusieurs passions: dès lors , l'homme aux désirs multiples semble être un homme qui vit sans passion. Ceci étant dit que la passion peut nous donner des raisons de vivre et celui qui est privé de toute passion peut-être celui qui donc n'a pas ou n'a plus de raison de vivre ce qui signifie que vivre sans passion c'est vivre comme un animal. Car pour ce dernier, la vie qui est essentiellement biologique

(Liberté, faire ce que l'on veut) MAIS pb peut être assimilé au désir (faire ce qu'il me plaît? ou faire ce qu'il faut. Aspect politique (liberté, individuelle, coll.). Y a-t-il une continuité avec liberté politique? Est-ce que la société ne représente pas une menace pour la liberté? Il faut structure politique pour garantir la liberté . On peut ignorer ceux qui nous incite à agir alors + savoir: cette liberté est en partie illusoire. (Spinoza). Ex: On peut être déterminé par le groupe +valeurs+éducation:

I.Civilité 1.Qu’es ce que c’est ?Quels en sont les principes et les limites ?  Définition La civilité est l’ensembles des bonnes manières en usage social qui est basée en partie sur le respect des règles de vie en commun ou des lois. Cet ensemble de règles induit le respect d’autrui quotidien. Et en cas de perte de civilité une marque d’incivilité apparaît (voir II). Cependant le respect de la civilité n’empêche ni les guerres, ni les conflits d’intérêts mais limites les risques éventuels de frictions

tendances et désirs non conformes à ses principes ? Doit-on par principe considérer tout désir comme source d’irrationalité, et dans ce cas les rejeter tous, ou bien la raison doit-elle se donner pour tâche de procéder à un tri, une sélection et même une hiérarchie des désirs, qui conduiraient à en assouvir certains et à renoncer à d’autres ? Mais alors sur quel fondement une telle activité critique, au sens étymologique de discernement et de distinction, peut-elle se construire ? 1/ L’approche

rapporte à deux contextes : - la distinction individuelle - Un système de principes ou conduite morale partagé au sein d’une communauté culturelle, religieuse, civile ou philosophique. Toutefois dans un monde de contradictions la difficulté majeure se situe dans la signification que les uns et les autres mettent au mot « bien ». Ainsi la morale, à l’articulation de plusieurs concepts, on peut la regrouper en deux catégories ; la morale religieuse et morale laïque. A cet égard