Peut On Vivre Sans Se Soucier De La Vérité

ses actes et porteur de valeurs morales qu’aucune circonstance ne peut excuser. Il doit se conformer à son devoir. A partir du moment où j’ai agi conformément à la morale même si les conséquences de mon acte sont fâcheuses = je ne suis pas responsable du résultat car mon intention était bonne. Ex : Annonce d’1 diagnostic, je ne dois pas mentir à aucune condition, si je mens c’est que je juge autrui indigne de supporter la vérité. La morale ne prête pas attention aux circonstances, alors que l’éthique

lʼinstinct animal manifeste sa nature mécanique ex : les hirondelles qui migrent dès le printemps quʼil réduit à un mécanisme dʼhorlogerie. Descartes établit une barrière entre le comprtement animal purement automatique & la conduite humaine où lʼon peut constater la transcendance de la raison & de la volonté. 3) Distinction entre la communication animale & le langage humain Communication animale : produit de lʼinstinct, contenu fixe & limité, Code de signaux, liste fermée, rapport de ressemblance

déesse n'hésite pas à citer Sophocle : « Moins on a de sagesse, plus on est heureux. » Commence alors une série d'exemples, comme celui de l'enfance : « D'où vient le charme des enfants, sinon de moi, qui leur épargne la raison, et, du même coup, le soucis ? » qui est selon la Folie l'âge où la déraison est reine, tout comme pendant la vieillesse. Ainsi, en faisant l'éloge de la folie, la narratrice oppose cette dernière à la sagesse, qui selon elle nuit aux hommes et les empêche d'être heureux : « Seule

- Institut de RENNES 7, rue du Clos Courtel 35050 RENNES CEDEX 9 > Présentation du programme de philosophie en classe terminale des séries technologiques STG, ST2S et STI Le programme (BO hors série n° 7 du 01/09/05) Présentation du cours La vérité ......................................................................... 5 ................................................................................................................................................ 9 > Introduction

 Vouloir vivre naturellement a t-il un sens pour l'Homme ? __________________________________________________________________________ Grâce à l'éducation que l'Homme a reçu afin d'obtenir l'autonomie intellectuelle, ce dernier s'interroge sur des faits de sociétés. Effectivement, il peut remettre en question certaines pratiques qui ont toujours existé dans le monde humain. Ainsi, ce dernier peut jusqu'à se demander si le monde dans lequel nous vivons n'est pas adapté

« racine du ciel », une sagesse qui soit en conformité avec la conception déterminée d’un « tout » ordonné et divin, qu’il s’agisse de l’art de persuader par la rhétorique brillante mais trompeuse du sophisme, du monde platonicien de la recherche de la vérité qui lui répondra, du monde harmonieusement hiérarchisé d’Aristote, de l’aléa desépicuriens, de l’ataraxie par la méditation des stoïciens. Ces derniers pratiquent une philosophie qui se prolongera sur 3 siècles, dite du Portique (« stoa » en grec)

celle-ci sur notre survie?» J'ai tout d'abord hésité a lui répondre car je savais pertinemment qu'avec lui, les sujets de conversations tels que ceux-ci n'aboutissent jamais, puis je me suis lancé: «Personnellement, j'ai la certitude que la poésie peut aider tout être de notre monde a avoir une vie meilleure. Je m'explique: récemment, j'ai lu Les Contemplations de Victor Hugo et il se trouve que ses poèmes sont remplis d'espoir, comme à la fin du poème Mors, il y a une étincelle d'espoir de sa part

établir une vérité, il faut donc aussi s’interroger dans quelle mesure une vérité est possible. Nous venons de voir en effet qu’il peut y avoir plusieurs axiomatiques et donc des vérités mathématiques relatives à des axiomatiques incompatibles. Cela n’implique-t-il pas que la vérité reste indéductible de notre seule faculté de raisonner qui révèle plusieurs axiomatiques et plusieurs logiques possibles ? Autrement dit la démonstration de type mathématique ne permet pas d’esquisser une vérité absolue

précisément à partir d’une philosophie rigoureusement mécaniste que Thomas Hobbes développe sa conception de la nature humaine. L’homme à l’état de nature est un individu jaloux de sa distinction. La rivalité, la méfiance et la fierté, qui manifestent un souci extrême du profit, de la sécurité et de la réputation personnelles sont les passions nécessaires de tout un chacun. La conduite de l’homme résulte d’un jeu de forces mécaniques et d’une soumission aux passions, lesquelles le tiraillent au point que

conscience d'être un homme, de vivre puis de mourir. Grâce à cette conscience, il s'étonne, interroge, doute, cherche à comprendre. De plus, la conscience dite "psychologique" affirme "j'ai conscience de moi"; l'homme se découvre donc en disant "je" pour la première fois. Le sujet présuppose que la conscience pourrait être un obstacle à la connaissance de soi-même, et serait même une source d'illusions. On en conclut la conscience peut nous tromper. Nous sommes peut-être tout à fait autre que ce que