Peut On Vivre Selon La Nature

que nous sommes éternels » Spinoza L'idée que nous pouvons nous faire de la mort est à première vue est purement négative : biologiquement, la mort est l'état définitif d'un organisme qui a cessé de vivre ; pour l'individu, c'est la fin de son existence physique. Pour certains philosophes, la mort peut être quelque chose de positif, une sorte de libération. Nous ne connaissons pas la mort, personne n’en a jamais fait l’expérience, la mort est donc au cœur des grandes questions de ce monde et les philosophes

environnement, parce qu’il est condamné à l’être de par sa nature ? Sont-ce au contraire, la sociabilité et la culture de l’homme qui le rendent dangereux ? Ne s’est-il pas fait, au contraire, lui-même dangereux ? S’il n’est pas déterminé, prédestiné, à être dangereux, peut-il alors effectuer un travail sur lui-même afin d’éviter d’être nuisible à son entourage ? A travers toutes ces interrogations se dessine la problématique suivante : L’homme peut-il se défaire de sa dangerosité ? Nous nous demanderons

Structure générale du cours La Bruyère a écrit : « Tout notre mal vient de ne pouvoir être seuls ». Telle est la question qui nous guidera tout au long de ce parcours historique autour de la notion d’autrui : les êtres humains que nous sommes peuvent-ils vivre sans autrui ? Nous adopterons une démarche chronologique en étudiant à tour de rôle la pensée de quatre auteurs appartenant chacun à une époque différente de l’histoire de la philosophie : Aristote pour l’Antiquité, Hobbes pour la Modernité, Levinas

C’est précisément à partir d’une philosophie rigoureusement mécaniste que Thomas Hobbes développe sa conception de la nature humaine. L’homme à l’état de nature est un individu jaloux de sa distinction. La rivalité, la méfiance et la fierté, qui manifestent un souci extrême du profit, de la sécurité et de la réputation personnelles sont les passions nécessaires de tout un chacun. La conduite de l’homme résulte d’un jeu de forces mécaniques et d’une soumission aux passions, lesquelles le tiraillent

j’améliore dans une dynamique infinie à l’instar de Robinson, alors je décide réellement de mon existence et donne du sens à ma vie que j’assume et accomplis parfaitement. Si par contre, quelque chose comme la mère Nature (notons que l’on peut considérer que Robinson fut frappé par cette mère Nature) ou bien quelqu'un comme Dieu décide pour moi de ma destinée, alors je suis misérablement réduit à l’état de pion telle une pierre spinoziste ou bien pour reprendre la métaphore des stoïciens, un organe dans

grande discrimination est présente sur la nationalité et la race qui aggrave le phénomène. Pour être capable d’arrêter les immigrés sans papier, les autorités utilise le profilage racial. Les jeunes hommes noirs sont très souvent touchés par cela. Peut importe leur situation, qu’il possède carte de crédit, papier valide, carte de résident, ils sont renvoyé de force en Haïti car les autorités disent que les papiers sont faux. « Quand vous êtes noir, que vous ayez ou non une carte d’identité ou un

« bonheur » quand tous les désirs (passion) de l’individu sont comblés, et cela de manière continue dans le temps. C’est ainsi que l’on distingue « être heureux », qui n’est que furtif, du « bonheur » qui sous-entend une continuité dans le temps.  I) La nature du bonheur Le bonheur semble être une aspiration universelle parmi les hommes. En particulier, Aristote en fait le « Souverain Bien », c'est-à-dire la fin dernière de toutes les actions humaines. Chaque activité poursuit un but : la santé pour la

Doit-on respecter la nature ? Introduction Doit on respecter la nature ? Au premier abord, il nous est impossible de considérer que la nature, comme toute chose, ne devrait être respectée. Il est important d’avoir une certaine morale vis-à-vis de cet élément qui assure notre survie et sur lequel nous nous trouvons ; ne pas respecter la nature, c’est comme ne pas respecter n’être humain car elle permet à celui-ci d’exister. Cependant, le respect n’existe-t-il pas qu’envers les êtres pensants

« La diversité des cultures contredit-elle l'idée d'une humanité ? » Selon la biologie, une espèce est l’ensemble de tous les individus ayant en commun des caractères qui les distinguent au sein d’un même genre et capables d’engendrer des individus féconds. Deux conditions sont donc nécessaires : l’existence d’une nature commune de l’espèce et la transmission de cette nature dans la reproduction. Ces deux conditions sont réalisées par le programme génétique qui transmet et fixe les caractères communs

toujours sur le cadre de vie du criminel, les personnes qu’il a rencontrées, la société enfin dans laquelle il a vécue ou à laquelle il a été confrontée, et l’influence qu’elle a pu avoir sur la prise de décision de son acte. Peut-on alors dire que la société pervertit notre nature humaine, qu’elle nous corrompt ? Le philosophe allemand Tönnies définit la société comme un ensemble d’individus, organisé par des institutions et réglé par des mœurs. Elle ne saurait se confondre avec la communauté. La