Peut On Voir Sans Regarder

Huis clos de Jean Paul Sartre Oral sur texte pages 44-47 En quoi « voir » révèle l’enfer ? Voir c’est l’enfer : Voir ce que les autres voit de nous dans le miroir  cela devient une obsession (Estelle : « je me voyais comme les gens me voyaient, ca me tenait éveillée » p.45) Pour Inès, voir Estelle c’est de la torture car cela lui rappelle de Florence, la femme qu’elle aimait et qui elle aussi était blonde. Voir Estelle ca lui rappelle aussi qu’elle ne pourra jamais l’avoir car Estelle

Annoncer les axes de lecture : Ainsi, le récit met en parallèle les portraits de deux personnages que tout oppose, une femme de l’aristocratie, un homme misérable au point de devoir voler un pain pour manger; l’histoire se résume à un jeu de regards impliquant ces deux personnages et le narrateur; le texte est construit à la manière d’une argumentation qui, s’appuyant d’abord sur un exemple emprunté à la réalité, amène progressivement le lecteur jusqu’à l’idée que l’auteur veut démontrer.

GAIDIOZ Une poésie « tape à l’œil » Méduse pétrifie par son regard, Œdipe se crève les yeux, Orphée se retourne dans les Enfers pour voir son Eurydice, Actéon est coupable d’avoir vu ce qu’il ne devait pas voir. Le thème de l’œil et du regard a beaucoup inspiré les grands mythes. Plus tard, la littérature que ce soit au théâtre, dans les romans, en poésie a repris ce topos. Dans les grandes œuvres, le thème du premier regard a été maintes fois exploité, de Roméo et Juliette au Rouge et le Noir

intéresse ici, le personnage éponyme, se croyant seul, manipule des rubans aux couleurs de Monsieur de Nemours et contemple son portrait. Cependant, Nemours, qui lui-même est surveillé par un domestique de Monsieur de Clèves, la regarde et ses sentiments son décrits. En quoi peut-on dire que ce passage est typique du roman d’analyse ? Dans un premier temps nous expliquerons comment cette scène est romanesque et poétique, et ensuite nous analyserons l’extrait comme une scène d’aveu. Nemours adopte

Un regard éloigné : Montesquieu, Les Lettres persanesExemple de sujet de dissertation D’après votre lecture des Lettres persanes et des autres textes du parcours, en quoi la mise en jeu d’un regard éloigné permet-elle le retour sur soi ? Proposition d’introduction Au XVIIIème siècle, Rousseau, dans le Discours sur l’origine de l’inégalité, s’interroge sur les sociétés qu’il appelle « sauvages » :

 LE TEMPS DESSINÉ L A U R E N T B E A U D O U I N L’architecture se pense avec les mains. La pensée a besoin du recul du dessin pour voir ce qu’elle fait. Le croquis d’architecture est une calligraphie qui est à la fois une figure et un texte. « Ce que j’écris n’est pas à moi » dit Fernando Pessoa, de la même façon, le dessin ne nous appartient pas complètement. C’est une projection souvent hasardeuse et rebelle

masculine La femme a toujours été en position d’infériorité depuis des siècles, même depuis toujours. Son statut de femme au foyer, a été longtemps perçu comme la définition même de la femme. La gente masculine a réussi à avoir une certaine emprise, même voir une manipulation sur la femme, que ce soit au niveau politique (rappelons que la femme a eu le droit de vote en France en 1944), social dans le milieu du travail par exemple, ou même matriarcale, où la femme reste au foyer et que le mari part travailler

pour faire voir aux lecteurs le milieu dans lequel va se dérouler l'intrigue. La maison est présentée par deux observateur successifs : d'abord le narrateur qui présente «une vieille bicoque», en insistant sur sa vieillesse et sa fragilité, en la caractérisant ironiquement de «vénérable édifice», puis de frêle maison». Le deuxième observateur est «un jeune homme» qui se trouve de l'autre coté de la rue. Le narrateur observe alors le jeune homme et décrit la maison en suivant le regard de ce dernier

moment privilégié pour une rencontre, moment social par excellence, où l’on va moins pour danser que pour voir et être vu. --> Le bal est prétexte à une véritable parade : « Mme de Clèves passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer » (l.1). M. de Nemours avait également pris soin de se parer (l.11). --> Le roi et les reines soulignent qu’il y a quelque chose de singulier de les voir danser ensemble sans se connaître (l.17-18). Ainsi, le fait d’être réunis comme malgré eux sans avoir été

1868. Dans cette gravure, on peut voir que le corbeau et le renard sont placés au milieu et qu'ils sont entourés de la forêt. A gauche, on peut voir un gros trop tronc d'arbre avec une branche qui va jusqu'au milieu de l'illustration où le corbeau est placé au milieu de celle-ci, on le voit de face, on remarque qu'il regarde vers le bas en direction du renard qui lui est placé de profil, assis avec les deux pattes avant posées dur un rocher ou une souche, il regarde en l'air, vers le corbeau. Les