Phase IV

Commentaire de la déclaration d’Henri IV du 7 janvier 1599 « Paris vaut bien une messe », voici résumé en une expression, qui lui est d’ailleurs attribuée lors de son sacre à Chartres, la position d’Henri IV, face au contestataires qui lui refusent la reconnaissance de son accession au trône de France. S’il faut pour accéder à Paris, avoir la religion catholique, qu’il en soit ainsi. Il entre à Paris le 22 mars 1594, et décide d’entreprendre une mission de pacification en France, pour apaiser

Bellay écrit l’olive en 1550 qui est un recueil de sonnets il montrait la façon dont il envisage d’illustrer la langue française, Pontus de Tyard publie les amoureuses en 1549, Ronsard écrit les amours en 1552, Baïf écrira les amours de Méline. IV- Héritage légué par les membres de la pléiade Les acteurs de la pléiade nous ont laissés un riche bagage intellectuel. En effet, grâce à eux, le français est devenu une langue avec un riche vocabulaire, les écrivains désormais ont une grande liberté

Henry IV Henri IV, né Henri de Bourbon le 13 décembre 15533 à Pau et assassiné le 14 mai 1610 à Paris, fut roi de Navarre (Henri III de Navarre, 1572-1610) puis roi de France (1589-1610), premier souverain français de la branche dite de Bourbon de la dynastie capétienne. Il était le fils de Jeanne III, de son nom patronymique Jeanne d'Albret, reine de Navarre, et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon, descendant du roi Louis IX et premier prince du sang4. En vertu de la « loi salique »

mais cette fois du point de vue comportemental. B. Le massacre … Les guerres de religions ne sont que le reflet de l'antagonisme de plusieurs conceptions de l'État : - Celle de la royauté absolue Avec Henri de Navarre qui deviendra Henri IV, les derniers Valois et Catherine de Médicis - Celles de la ligue une seule religion imposée et le roi est élu par les États généraux - Celle des huguenots La notion de protecteur remplace celle de roi. Sa place est fondée sur la filiation («prince

a utilisé une toile spécial qui nous laisse nous interroger sur l'illusion et la réalité. Cette oeuvre a subis beaucoup d'analyse afin d'en savoir un peu plus sur la composition de la toile. Ce tableau représente une pièce du palais du roi Philippe IV d'Espagne, l'Alcazar à Madrid. Marguerite-Thérèse, l'enfant du roi , est entourée de demoiselles d'honneur, d'un chaperon, d'un grand garde du corps, d'une naine, d'un nain et d'un chien. En arrière plan, nous pouvons voir Vélazquez réalisant une

totalement les symboles grecs lorsqu’ils sont représentés sur des sculptures ou des bas reliefs, mais pas sur les pièces de monnaies où ils continuent à porter le diadème. Les exemples les plus frappants sont les différentes sculptures des Ptolémées III, IV et V qui ne portent que le némès sur leur tête. On a de nouveau un bas-relief inspiré de celui des dieux Adelphes, cette fois le symbole est beaucoup plus compliqué à voir, il s’agit du diadème gréco-macédonien qui entoure le pschent. Alors qu’au

camps, dont le point d'orgue sera le massacre de la Saint-Barthélémy. Charles IX, roi fantasque, d'une méfiance maladive, et perpétuellement sous l'influence de sa mère, finit par se prendre réellement d'amitié pour son beau-frère Henri (le futur Henri IV), au grand dam de Catherine de Médicis. Après bien des événements tragiques, Charles IX succombe à un mystérieux empoisonnement et meurt sans pouvoir assurer le trône à Henri de Navarre. C'est donc le duc d'Anjou, qui entre temps a été sacré roi de

intransigeant, il soutint sans relâche le parti protestant, se mettant souvent en froid avec le roi Henri de Navarre, dont il fut l'un des principaux compagnons d'armes. Après la conversion de celui-ci, il rédigea des textes qui avaient pour but d'accuser Henri IV de trahison envers l'Église. Chef de guerre, il s'illustra par ses exploits militaires et son caractère emporté et belliqueux. Ennemi acharné de l'Église romaine, ennemi de la cour de France et souvent indisposé à l'égard des princes, il s'illustra

et 1450 il travaillera sur une fresque importante durant la rénovation du couvent de San Marco de Florence , fresque destinée à figurer au couvent , il réalisera aussi le grand retable de l’église de San Marco. Selon Vasari , en 1445 , le pape Eugène IV aurait proposé au peintre la fonction d’archevêque , mais il refusa. Fra Angelico poursuis ensuite sa carrière artistique à Orvieto puis au Vatican. Il retourne au couvent de Fiesole pour occuper la charge de prieur de 1450 à 1452. Il revient à Rome

maire de Bordeaux entretint des relations amicales avec le maréchal de Matignon, lieutenant général du roi de Navarre et par ses qualités de négociation et de diplomatie, tenta de rapprocher Henri III et son beau-frère Henri de Navarre, futur Henri IV. Ce dernier vint même trouver Montaigne chez lui à deux reprises, à la recherche des sages conseils qu’il ne manquait pas de lui donner. Le maître des lieux mettait alors à la disposition du futur roi et de sa suite le gîte et le couvert, et pour