Phedre Dénouement Commentaire

[seconde préface]), il rejeta avec vigueur les critiques des «censeurs». Intérêt de l’action Cette sombre tragédie qu’est ‘’Britannicus’’ est aux antipodes de la précédente, ‘’Andromaque’’, de sa galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’

gré, alors qu'il était engagé envers Hermione, amoureuse de lui. Pour se venger, Hermione demande à Oreste, infortuné soupirant, de tuer Pyrrhus. L'acte accompli, Hermione désavoue Oreste puis se suicide. L'extrait étudié fait partie du dénouement : Oreste vient d'apprendre cette mort de son ami Pylade et en perd la raison.ProblématiqueComment Oreste sombre-t-il progressivement dans la folie ?I. Oreste ou le paroxysme de la souffrance (v. 1613-1624)· Oreste s'adresse directement aux Dieux

noces II, 8 / pied bot II, 11 / l’opéra II, 15 / l’agonie III, 8 Cette linéarité et ces repères font penser à une tragédie (comme Phèdre). 3 actes : 9, 15 et 11 chapitres 5 actes : l'exposition I = le mariage II = le noeud, la frustration conjugale III = les péripéties : l’adultère IV = la catastrophe : la chute, les échecs et la ruine V = le dénouement : la mort (l’épilogue) Linéarité et structure tragique sous-jacente ne suffisant pas à décrire la structure : il existe d’autres éléments

trouve à travers ses actes (le nom donné par les parents n’a pas de sens puisqu’ils l’ont renié). L’oubli progressif de son nom traduit justement la transformation du personnage en autre chose, à savoir un « héros » sanglant. Les noms attribués au dénouement, Goliath, Samson achèvent la transformation du personnage qui devient héros. Les autres personnages ne sont pas nommés car il n’ont pas de vraie vie : archétypes avant tout, ils ne sont que des ombres, des miroirs déformants, voire des images fabriquées

trouve à travers ses actes (le nom donné par les parents n’a pas de sens puisqu’ils l’ont renié). L’oubli progressif de son nom traduit justement la transformation du personnage en autre chose, à savoir un « héros » sanglant. Les noms attribués au dénouement, Goliath, Samson achèvent la transformation du personnage qui devient héros. Les autres personnages ne sont pas nommés car il n’ont pas de vraie vie : archétypes avant tout, ils ne sont que des ombres, des miroirs déformants, voire des images fabriquées

d’une scénographie relativement lourde et spectaculaire en dépit du sens. L’apparition du personnage de Voltaire comme un dernier acte didactique pose également problème, en effet, le texte doit pouvoir se suffir à lui-même sans qu’on ait besoin de commentaire supplémentaire. La séance théâtrale dans son ensemble demeure malgré des tentatives audacieuses pour casser le regard frontal reste sous les vœux de Voltaire. Certains dramaturges ont tenté de replacer le spectateur éduqué depuis un siècle

parle d’un « ver de terre amoureux d’une étoile […] / Et qui se meurt en bas quand vous brillez en haut » (v. 800). Le jeu des antithèses souligne l’opposition sociale des futurs amants. III. Une héroïne tragique a. Comme l’héroïne racinienne Phèdre, Marie de Neubourg est incapable de maîtriser ses sentiments. Montrez que la reine est victime de ses passions, qu’elle ne peut contrôler son amour. La reine n’est pas maîtresse de ses sentiments. Elle ne peut « fuir » sa pensée (v. 753-754), son

initiale v2 b 8 v3 a 4+6 II Nœud du récit (propositions II à V) Le monologue tient lieu de déclencheur et d'action v4 b 8 v5 c 8 III Discours direct Premier monologue v6 c 6+6 IV v7 d 8 V v8 d 8 v9 e 6+6 v10 f 6+6 VII Narration Dénouement découlant de la réaction du corbeau. v11 e 8 VIII v12 f 6+6 v13 g 6+6 IX Discours direct Second monologue Situation finale, inverse de l'initiale et se prêtant à une évaluation par chacun des protagonistes. v14 g 7 v15 h 4+6

d’autres esprits absents, mais rendus présents par la citation et le commentaire. C’est presque toujours un discours délibératif où il convient * de repérer les positions propres à l’auteur, celles qui l’ont conduit à entreprendre la rédaction de l’œuvre, en étant attentif aux marques de l’énonciation7 et à la modalisation, aux discours rapportés et aux diverses formes de citation (citation directe, références, allusion, commentaire…), * d’identifier les concessions aux thèses adverses, *

|v7 |d |8 |V | | | |v8 |d |8 | | | | |v9 |e |6+6 | | | | |v10 |f |6+6 |VII |Narration |Dénouement | | | | | | |découlant de la | | | | | | |réaction du | | | | | | |corbeau. | |v11 |e |8 |VIII |