Phileas Fogg

mystérieuse La maison à vapeur Le village aérien Clovis Dardentor 3 Le tour du monde en 80 jours 4 I Dans lequel Phileas Fogg et Passepartout s’acceptent réciproquement, l’un comme maître, l’autre comme domestique En l’année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens – maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 –, était habitée par Phileas Fogg, esq., l’un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu’il semblât prendre

historiques, découvertes scientifiques, premières photographies etc… ). Il vécut aussi durant une époque pleine de progrès (les machines à vapeur , le téléphone, le télégraphe, les premières photographies et l’éléctricité…)   Résumé : Au 19ème siècle, Phileas Fogg, un honorable gentleman Londonien froid et réservé, parie avec ses collègues du Réform Club (club de Gentlemen)  qu’il peut accomplir le tour du monde en 80 jours , il y mise la moitié de sa fortune, environ 20 000 livres (la monnaie anglaise est la

L’auteur reste encré dans le présent.UN PARI AUDACIEUXCHAPITRE 1 :En l’années 1872, la maison portant le numéro 7 était habitée par Phileas Fogg l’un des membres les plus distingué et les plus remarqué des membres, mais il ne faisait rien pour attirer l’attention c’était un fort galant homme et l’un des plus beau gentlemen de la société Anglaise .Anglais à coup sûr, Phileas Fogg n’étais peut-être pas Londonner .Il n’appartenait enfin à aucune des nombreuse sociétés qui pullulent dans la capital de l’Angleterre

heures et demi, Phileas Fogg, réglé comme une montre Suisse quitte son domicile pour se rendre au Reform-Club. En effet Phileas Fogg est l’un des membres les plus singuliers de cet établissement prestigieux de Londres. Malgré tout, personne ne sait qui est ce personnage si particulier. Un jour, comme à son habitude Phileas Fogg joue au Whist avec quelques autres membres du club. Une discussion sur le vol d’une somme considérable d’argent à la Banque d’Angleterre amène Phileas Fogg à parier 20'000

et il apparaîtrait ici à la dernière minute, que je n’en serais pas autrement surpris. – Et moi, dit Andrew Stuart, qui était, comme toujours, très nerveux, je le verrais, je n’y croirais pas. – En effet, reprit Thomas Flanagan, le projet de Phileas Fogg était insensé. Quelle que fût son exactitude, il ne pouvait empêcher des retards inévitables de se produire, et un retard de deux ou trois jours seulement suffisait à compromettre son voyage. – Vous remarquerez, d’ailleurs, ajouta John Sullivan

Les Indes noires Le chemin de France L’île à hélice 3 Le tour du monde en 80 jours 4 I Dans lequel Phileas Fogg et Passepartout s’acceptent réciproquement, l’un comme maître, l’autre comme domestique En l’année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens – maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 –, était habitée par Phileas Fogg, esq., l’un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu’il semblât prendre

numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens -- maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 --, était habitée par Phileas Fogg, esq., l'un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu'il semblât prendre à tâche de ne rien faire qui pût attirer l'attention. A l'un des plus grands orateurs qui honorent l'Angleterre, succédait donc ce Phileas Fogg, personnage énigmatique, dont on ne savait rien, sinon que c'était un fort galant homme et l'un des plus beaux

Les Indes noires Le chemin de France L’île à hélice 3 Le tour du monde en 80 jours 4 I Dans lequel Phileas Fogg et Passepartout s’acceptent réciproquement, l’un comme maître, l’autre comme domestique En l’année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens – maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 –, était habitée par Phileas Fogg, esq., l’un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu’il semblât prendre

Londres, Philéas Fogg, un riche gentleman londonien précis dans toute ses actions, maniaque de l'heure et membre du Reform-Club à parié la moitié de sa fortune (vingt mille Livres) avec l'ingénieur Andrew Stuart qu'il ferait le tour du monde en quatre-Vingt jours. Pour les autres membres du Reform-Club, ce parie était insensé. Le soir même, Philéas Fogg partait avec sont nouveau domestique, Jean Passepartout. Ils quittent Londres à huit heure quarante cinq au soir à la gare. Quand Fogg et Passepartout

londonien, Phileas Fogg, va parier avec de riches hommes du Reform-Club (un club privé pour hommes aux moyens élevés et appartenant à la haute société) vingt mille livres qu’il fera le tour du monde en 80 jours. Accompagné de son valet de chambre, le dévoué Passepartout, il va quitter Londres pour une course contre la montre. Mais le pari ne sera pas facile à tenir. Un agent nommé Fix va poursuivre Phileas Fogg durant son voyage à travers l’entièreté du globe terrestre croyant M. Fogg coupable