Philippe-Antoine Merlin de Douai

Merlin de Douai Introduction Qui était Merlin de Douai ? Philippe-Antoine Merlin, dit Merlin de Douai pour le distinguer de Merlin de Thionville était un homme politique français, qui exerça son activité pendant la Révolution et l'Empire. Il voit le jour à Arleux, entre Douai et Cambrai, le 30 octobre 1754 et décède le 26 décembre 1838 à Paris. Fils d’un cultivateur, il devint avocat et fut jurisconsulte distingué. Député aux États généraux, il siégea parmi les Montagnards à la Convention,

avait déjà perçu les liens étroits qui existent et persistent entre les domaines coutumier et juridique, presque deux millénaires avant la promulgation du répertoire universel et raisonné de jurisprudence de Merlin de Douai. (2) (a) Juriste mais également homme politique français, Merlin de Douai (+ 1838) est avocat au parlement de Flandre et expert réputé avant la Révolution. On fait appel à son autorité juridique dès son élection comme député aux états généraux de 1789. Il est membre du Comité des

Wikimedia Commons * Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, sur Wikisource Son nom a été donné à un paquebot des Messageries Maritimes: * BERNARDIN DE SAINT PIERRE Précédé par | Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre | Suivi par | Antoine-Louis Séguier | Fauteuil 27 de l’Académie française | 1803-1814 | | Étienne Aignan |  [afficher] v · d · m◀ Composition de l’Académie française au jour de son élection (28 janvier 1803) ▶ | par numéro de fauteuil | * 1. François-Urbain

des élites et des tenants du pouvoir dynastique. Ces lois les condamnaient à la mort civile sans qu’ils aient commis le moindre crime. Elles furent prises sur la base du « Contrat social » de Jean-Jacques Rousseau, par la voix du comte Philippe Antoine Merlin de Douai lors des discussions, contre l’avis du député Cazalès : « Le corps social nous garantit nos droits, nos propriétés, tout ce que nous avons mis en commun ; chaque individu doit la plénitude de ses facultés. Ne pouvoir pas acquitter ce

révolutionnaire Monarchie constitutionnelle Victimes Recherche Top of Form {draw:frame} {draw:frame} Bottom of Form Aide Le Siècle des Lumières et la Révolution. LOUIS XV le Bien-Aimé (1715-1774) 1715 2 septembre Philippe d'Orléans fait annuler le testament de Louis XIV pour s'arroger tous les pouvoirs. 12 septembre Rétablissement du droit de remontrance du Parlement. 15 septembre Création de la Polysynodie remplaçant les ministères et secrétariats d'État.

le Pieux (996 - 1031) Henri Ier (1031 - 1060) Philippe Ier (1060 - 1108) Louis VI le gros (1108 - 1137) Louis VII le Jeune (1137 - 1180) Philippe II Auguste (1180 - 1223) Louis VIII le Lion (1223 - 1226) Louis IX (Saint Louis) (1226 - 1270) Philippe III le Hardi (1270 - 1285) Philippe IV le Bel (1285 - 1314) Louis X le Hutin (1314 - 1316) Philippe V le Long (1316 - 1322) Charles IV le Bel (1322 - 1328) Dynastie des Valois (1328-1589) Roi Philippe VI (1328-1350) Roi Jean II (1350-1364) Roi Charles

les recettes fiscales ordinaires ne s'élèvent qu'à 69 millions de livres, alors que la dette constituée du royaume dépasse les 2 milliards de livres et la dette flottante les 700 millions ! C'est pour éviter la faillite de l'Etat que le régent, Philippe d'Orléans, fait appel en 1716 au financier écossais John Law. Celui-ci préconise de décourager l'épargne stérile et de stimuler l'investissement productif, qui, à terme, doit permettre d'accroître les richesses et d'éteindre la dette publique. Il

Bordeaux Vergniaud, Guadet, Gensonné ou Grangeneuve, leur penseur sera Condorcet . Issus de la moyenne bourgeoisie et relativement modérés, ils devront tenir compte de l'extrême gauche qui regroupe des membres du club des Cordeliers (Basire, Chabot ou Merlin) et des individus isolés comme Couthon ou Carnot. • au centre le Marais (345) regroupe des constitutionnels et des partisans d'une monarchie modérée. Trois figures s'imposent d'emblée, toutes trois représentative de la gauche de l'Assemblée

moins sur un point, à savoir le besoin d'une unification des poids et des mesures. 17th Sep, 1793 La Terreur vote la "Loi des suspects" La « loi » est en fait un décret voté par la Convention nationale sur la proposition de Philippe-Antoine Merlin de Douai et de Jean-Jacques-Régis de Cambacérès2. Avant cette loi, par le décret du 17 novembre 1791, les prêtres réfractaires étaient présumés suspects. Ceux-ci ainsi que les parents d'émigrés furent chassés, emprisonnés et parfois massacrés

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