Philippe Ier le Beau

recherches médiévales et humanistes Journal of mediev al and humanistic studies 4 | 1997 : Être père à la fin du Moyen Âge Les limites de l'autorité paternelle face aux droits patrimoniaux dans le Gévaudan médiéval (fin XIIIe-fin XVe siècles) PHILIPPE MAURICE Texte intégral 1 Sous l'Ancien Régime, l'autorité du père nous paraît souv ent incontestable, peu éloignée de la patria potestas romaine 1 . Mais les juristes ont décelé une différence bien nette entre ces deux formes du pouv oir paternel

condamne la centralisation des pouvoirs que détient le pape. Philippe Auguste lui même au XIIème siècle prônait que les chanoines des églises cathédrales et les religieux des abbayes soient élus et non nommés par le Pape. Mais l’envie de donner de nouvelles libertés à l’Église du royaume se renforce au cours du XVème siècle lorsque le pape donne des bénéfices ou des prélatures en France à des étrangers ou des partisans des anglais. Charles VII a beau suggérer certaines de ses connaissances, le pape nomme

un avis en faveur des libéraux (regard vers le futur) et des conservateurs (regard vers le passé) à la fois. Il faut prendre ses marques des deux camps opposés. Son point de vue est mesuré entre ces deux tendances.Depuis 1804 jusqu'au 1814 Napoléon Ier au pouvoir1815-1830 :  La Restauration, deux rois (Louis XVIII et Charles X). Charles X était réactionnaire, conservateur, autoritaire, répressif... (pouvoir entre les mains des riches qui ont le droit de voter, la Chambre des députés est entre les

citoyens de Rome. Ces citoyens détiennent seuls le pouvoir de décider en commun des affaires de la collectivité, qu’elles soient politiques, religieuses ou militaires. Sous l’Empire, régime succédant à la République romaine (cinq siècles) à la fin du ier siècle avant J.-C., l’Empereur administre la Res Publica. Selon la formule des juristes, l’Empereur est titulaire d’une charge publique, d’une fonction officielle qui consiste à gérer la chose publique dans l’intérêt commun. L’Empereur n’est que le

livres d’architecture de Vitruve corrigés et traduits nouvellement en français » édité en 1673. 


François Mansard et Claude Perrault, peinture attribuée à Philippe de Champaigne. 

Champaigne le représente à  côté de Mansard, considéré  à son époque comme le Dieu de l'Architecture. 
Mansart effectue une période d'apprentissage auprès de son beau frère, Germain Gaultier, sculpteur, est aussi architecte de la ville de RENNES.
 Bien que Mansard travailla surtout à la reforme ou agrandissement de châteaux

illustration particulièrement saisissante. Sur le cadre original, vingt-six médaillons peints représentent en haut le Christ et quatre anges, puis des saints et des prophètes. Ici CIMADUE, commence par les fonds en Or ou en argent doré car rien n’est assez beau pour Dieu. Cette lumière évoque la lumière divine pour les gens du Moyen Age. Sur le fond on applique de la feuille d’or avant de réaliser le motif: superposition des anges autour de la vierge assise sur un trône. Le peintre est représenté comme un

visage. Époque classique, car faciès est peu marqué, Périclès au casque Inscriptions qui disent que c’est Périclès Prototype d’un visage Démosthène, original en bronze de Polyeuctos, 280 Il était orateur publique célèbre pour avoir combattu Philippe II de Macédoine par les discours enflammés, philippiques Se suicide en 322 et œuvre réalisée 40 ans après sa mort Statue élevée en l’honneur du dernier héros athénien, il est le dernier représentant de la fierté athénienne. Statue-portrait :

dans presque tous les manuels) Elles sont dictées par des nécessités économiques et/ou militaires, elles entérinent (ou prévoient) des hausses démographiques, mais elles sont toujours réalisées sur décision politique Exple1 L'enceinte de Philippe Auguste : construction de 1190 à 1215,  incluant les îles et les deux rives (quelques vestiges épars encore visibles) ; en même temps, première forteresse du Louvre construite à l'extérieur (bases de l'enceinte et du donjon retrouvées lors des travaux

| |XIIe siècle | |Par charte royale en 1176, Louis VII le jeune, père de Philippe Auguste, y autorise la culture et le marais devient le jardin potager | |de Paris. | |

croisés populaires passés en Asie Mineure commencent à massacrer des villages chrétiens[réf. souhaitée]. Si les premières arrivées se passent bien, au fur et à mesure que les troupes croisées arrivent, les incidents se multiplient. L'empereur Alexis Ier Commène cherche à obtenir un serment d'allégeance de la part des chefs croisés, et à rendre à l'empire toutes les terres qui lui appartenaient avant l'invasion turque. La plupart acceptent32. Les croisés assiègent Nicée qui est rendue en juin 1097 aux