Philippe Pétain

certaines conditions qu’a imposées l’ennemi. Le gouvernement de Vichy dirigé par le Maréchal Pétain ( vainqueur de Verdun ), mène une politique antisémite. Aujourd’hui encore cette période reste encore douloureuse. Le 22 juin 1940, le maréchal Philippe Pétain accepte l'armistice qui impose à la France des conditions très dures. Le gouvernement s'installe à Vichy, dans la zone libre, et le 10 juillet Pétain se fait donner par le Parlement les pleins pouvoirs. Dès le lendemain, la loi constitutionnelle

igiene , peu de ravitaillement , rarement de relèvent , et la violence était partout . Autant dans les combats que dans les tranchées . Cette bataille opposait les forces françaises aux forces allemandes . Les commandants de cette bataille étaient Philippe Pétain et Robert Nivelle en France et Erich von Falkenhayn et Guillaume de Prusse chez les allemand . Les français possédaient 1140 000 hommes , 1 727 pièces d artillerie , Et les allemands ,eux avaient 1250000 hommes et 2200 pièces d artillerie. Les

V. Le 10 juillet 1940 1. Un contexte de rupture 2. Pourquoi Vichy ? 3. Les pleins pouvoirs 4. La République abandonnée VI. L’« État français » VII. La Révolution nationale 1. Une doctrine et un principe d’action 2. Un syncrétisme idéologique VIII. Pétain et Laval CHAPITRE II - LA S TRATÉGIE DE LA COLLABORATION (1940-1942) I. Les objectifs 1. Atténuer les effets de l’armistice 2. M aintenir le pays hors du conflit 3. Rétablir la souveraineté nationale II. Une demande française III. La politique des

en mai 1940, les troupes allemandes déferlent en Belgique puis, contournant la ligne Maginot, envahissent la France par le Nord, créant un véritable cahot dans l’armée française. Le 18 mai, Albert Lebrun, Président de la République appelle Philippe Pétain, le héros de la Grande Guerre, à la Vice Présidence du Conseil auprès de Paul Raynaud, Président du Conseil. Regroupant ses forces et réorganisant sa logistique, l’armée allemande s’arrête devant Dunkerque les 3 et 4 juin. Une pause, le « miracle

En quoi le général De Gaule et le maréchal Pétain représentent t ils la France de 1939 à 1945 ?   SUJET : "L’ACTION POLITIQUE DU GENERAL DE GAULLE, 1939-1969"     I. La France de 39 à 45 :     En 1939, à la déclaration de guerre, pas d’enthousiasme comme en 1914 La mobilisation se fait dans l’ordre, certes, mais dans un climat de morne résignation.   A. La France vaincue :    1. La drôle de guerre   8 mois de calme plat sur le front. Occidental

l'armée française est en déroute face à l'avancée des troupes allemandes. Le 17 juin, le maréchal Philippe Pétain, héros populaire de la première guerre (1914-1918) est appellé par le gouvernement français pour une reprise en main de la situation. Lors de son discours, il annonce l'arrêt des combats. L'armistice et donc la défaite française est signé le 22 juin. Dans un même temps, il est demandé à Pétain de former un nouveau gouvernement. La démocratie et la république laissent rapidement la place

régime de Vichy, un régime né de la défaite Documents étudiés en classe: doc.4 p. 107, « la France après l'armistice (1940) »;doc.3 p. 107, « discours de Pétain »; doc.1 p. 106, « Philippe Pétain »; doc.6 p. 107, « Affiche célébrant la Révolution Nationale ». Questionnement: -Doc. 3 p. 107: Question du manuel. -Doc. 1 p. 106: Pourquoi Pétain apparaît-il comme un sauveur? -Doc. 4 p. 107: Qu'est-ce que les Allemands imposent aux Français avec l'armistice? -Doc. 6 p. 107: Qu'est-ce qu'oppose

en finir avec une guerre de positions qui dure depuis la bataille de la Marne. Il projette de «saigner l'armée française» par des bombardements intensifs. Les poilus résistent en dépit de la perte du fort de Douaumont. Très vite, le commandant Philippe Pétain organise la riposte. L'assaut allemand est repoussé. La bataille de Verdun prend fin le 15 décembre 1916. Elle aura duré dix mois. L'avantage reste aux Français mais c'est au prix d'une terrible hécatombe. Verdun est le tournant de la Grande Guerre

l'entourage de Philippe Pétain, prônant l'usage des divisions blindées dans la guerre moderne auprès de personnalités politiques. En mai 1940, colonel, il est placé à la tête d'une division blindée et mène plusieurs contre-attaques pendant la bataille de France ; il est promu général de brigade à titre temporaire le 25 mai 1940. Il est nommé sous-secrétaire d'État à la Guerre et à la Défense nationale dans le gouvernement Reynaud, pendant l'exode de 1940. Il rejette l'armistice demandé par Pétain à l'Allemagne

l’effondrement de la IIIème République. Un armistice est signé à Rethondes, le 22 juin. Le maréchal Pétain dirige la « zone libre ». Il reçoit de l’Assemblée nationale les pleins pouvoirs constituants le 10 juillet. « Chef de l’Etat français », Pétain établit une dictature personnelle. Les libertés sont supprimées, les partis politiques et les syndicats dissous. B) La Révolution nationale Pétain veut créer un « ordre nouveau » et régénérer la France par un retour aux valeurs traditionnelles