Philippe V le Long

efficacité pour servir ses objectifs matériels. » Philippe Suel, Réflexions sur le « Tartuffe » de Molière, 2011. Qui ne voudrait pas ressembler à l’héro d’un film ou d’une pièce de théâtre ? Leurs bravoures, leurs courages, leurs honnêtetés mais surtout leurs sincérités sont si judicieusement joués ! Et pourtant, le Tartuffe de Molière est plutôt un zéro qu’autre chose. Ce personnage ne recule devant rien pour acquérir ce qu’il désire. Philippe Suel, le prouve en disant : « Pour Tartuffe, le sacré

2) Le personnel 3) Les différents projets 1 Le Projet éducatif 1) La place du projet éducatif 2) Les outils 3) La participation du jeune, de la famille et des partenaires V. Mon implication, fonction et rôle 1) Mon implication 2) Mon intervention auprès des jeunes 3) Création d’activités sportives et musicales 4) Référence d’un jeune VI. Conclusion

pas les refouler. Les invasions barbares ou germanique (III-Ve siècle ap JC) : Première vague : deuxieme moitié du troisieme siècle ap JC : alimenté par les francs. Seconde vague : seconde moitié du quatrième siecle s’étirant tout au long du cinquième siecle. V e s. : Les germains franchissent le limes et envahissent l'empire et s'implantent dedans et dans la Gaulle. Dès la fin du IV e s ap JC, l’église réaffirme le principe dualiste( temporel et spirituel). En 410, Rome, dans ce mvmt Germanique

qui se trouvent redistribuées aux colons. Cela conduit Rome à des temps prospères, et on en vient même à faire des distributions gratuites d’or et d’argent dans les rues, ce qui par la même occasion calme le peuple. Cette expansion se stabilise le long des frontières naturelles, et Carthage, durant la troisième guerre punique, est complètement détruite (146 av JC) A cette époque, Tiberius Gracus, homme politique romain, propose une loi de réforme agraire visant à redistribuer les terres entre les

| |Mai 2010 | INTODUCTION : J’ai choisi le livre « Moniteur éducateur : un professionnel du quotidien » de Philippe GABERAN et Patrick PERRARD, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, avant mon entrée en formation, j’ai fais des recherches sur les différences entre moniteur-éducateur et éducateur spécialisé. Bien évidement la seule réponse que j’ai eu sur différent

voit un poète contrarié, déchiré par ses souhaits, son aspiration et sa vie. Entre son envie de sincérité et sa vie de courtisan. III) L’expression des sentiments du poète. _ Poème écrit dans le registre lyrique. Le poète se plaint car hyperbole (v.14) avec tournure superlative (« le plus »). On voit clairement que Du Bellay s’adresse au lecteur, son destinataire. _ On a aussi beaucoup de verbes de sentiments (ex : aimer, adorer) Le poète écrit d’abord pour raconter une exp. perso. désastreuse

percevant pas systématiquement comme des envahisseurs. Rome cherche à convertir ses guerrier barbare en soldat qui intègrerait l’armée romaine (certain obtienne alors des grades très élevé dans l’armée romaine) Rome prend l’habitude d’installer le long des frontières de l’empire des familles, des tribus entières de peuple barbare afin de garder la frontière contre les terres ou s’installer. Il arrive même que Rome négocie avec un peuple entier. Ex : Les Wisigoths obtiennent le statut de fédéré

Dans la pièce d’Alfred Musset, Lorenzaccio, il y a un grand nombre de personnages. La plupart sont masculins mais il ya aussi, quatre féminins : la Marquise Cibo, Louise Strozzi, Marie Soderini et Catherine Ginori. Elles apparaissent tout au long de la pièce et elles ont des rôles particuliers et significatifs dans le déroulement de l’histoire. On remarque aussi que les femmes et la féminisation de quelques éléments (Lorenzo, la ville de Florence…) sont présentes. Alors, quel est le rôle des personnages

auteurs ont ainsi analysé le droit coutumier, 16e siècle : Charles Dumoulin, Bertrand d’Argentré, Guy Coquille ou Antoine Loisel Au 17e siècle : Julien Brodeau 18e siècle : Joseph Pothier et au 19e siècle, Henri Klimrath. Code Justinien : Livre 8 « Du long usage » Coutume  usage, né de la répétition, créée un précédent. Si l'usage découle de la contrainte, on parlera de mauvaise coutume. Le non-usage met fin à la coutume. On dit que la coutume tombe en désuétude. 1057 : Lettres d’Henry 1 Le Roi peut

laquelle l'Évêché de Paris autorise la Collégiale Sainte-Opportune de mette en culture les marécages qu'elle possède jusqu'à la fin du XVIe siècle, on observe peu de modifications. Les courtilles et cultures situées à l'intérieur de l'enceinte de Charles V à la fin du XIVe sont les premières touchées par l'urbanisation (Fig 1)3. Comme les propriétaires des terrains cédés pour la construction des villes nouvelle à notre époque, les propriétaires, bailleurs trouvent plus avantageux de céder leurs parcelles