Philippeville

et soutenues à la fois par l'état-major et les politiques, on confie néanmoins cette tâche en particulier à des unités spéciales: les paras de Massu et Bigeard, les DOP, etc. Le général Aussaresses inaugure lors de la répression des émeutes de Philippeville du 20 août 1955, qui feront 12 000 morts, dont quelques 1 200 exécutions sommaires [35], une collaboration étroite avec les services de police, l'armée assumant de plus en plus des tâches de renseignement normalement confiées à la police. L'appellation

Seuls quelques points côtiers sont occupés : Oran, Mostaganem, Bougie et Bône. En 1837, la France traite avec le principal chef militaire, Abd el-Kader et obtient la pacification de l’ouest puis de l’est algérien. De nouvelles villes sont créées : Philippeville tandis que commence la colonisation agricole. Celle-ci provoque l’opposition d’Abd el-Kader avec lequel la France doit entrer en conflit. Les troupes françaises sont sous les ordres du général Bugeaud, officier sorti du rang pendant les campagnes

soutenir les rebelles La coupure entre Algériens musulmans et Algériens d’origine européenne Le 20 août 1955, Zirout Youçef organise l’insurrection générale du Nord constantinois qui marque le grand tournant de la guerre. Les rebelles attaquent Philippeville et massacrent 123 personnes dont 71 européens en attendant un débarquement égyptien. 21 août 1955 l’Armée reprend la ville 1273 morts , 12000 selon le F.L.N. Les colons font la chasse aux arabes (Le fossé est creusé) Page n°2/6 La décolonisation

souverain, démocratique et social dans le cadre des principes islamiques ». Jusqu’en août 1955, le FLN multiplie les attaques sans véritablement embraser l’Algérie. L’Algérie bascule véritablement au moment de l’insurrection des campagnes entourant Philippeville le 20 août 1955. Suite à cette insurrection, l’armée française réprime violemment, faisant environ 12 000 morts et lançant l’Algérie dans la guerre ouverte. Suite à cela, les différents courants politiques algériens (centraliste, UDMA et Ouléma)

n'a, lui, jamais été reconnu, tout comme celui de l'abandon d'un certain nombre de harkis par la France, lors des derniers jours de la guerre. Côté algérien, à l'occasion du cinquantième anniversaire du congrès de la Soummam et des massacres de Philippeville (actuellement Skikda), le président Abdelaziz Bouteflika a reconnu dans un message du 20 août 2006 que « Notre guerre de libération nationale a été menée par des hommes et des femmes, que l'élan libérateur portait le plus souvent à un haut niveau

centre se dirige vers Charleroi par Ham-sur-Heure, Jamioulx et Marcinelle ; enfin, celle de droite traverse Florennes et Gerpinnes pour franchir la Sambre à Châtelet. Les troupes françaises s’étaient rassemblées sur une ligne Maubeuge-Beaumont-Philippeville-Givet. [6] Que l’on peut établir approximativement de 1780 à 1830. [7] Jules Francq (186-1933), grand industriel verrier, n’est-il pas multimillionnaire, libre-penseur, sénateur et bourgmestre socialiste, mais d’abord et surtout général de

l’éblouissement marocain et le charme tunisien, quel champ d’investigations pour l’esprit et de beauté pour les regards offre l’Algérie ! C’est là où, mille ans avant notre ère, débarquèrent les Phéniciens pour y fonder notamment Rusicada, - aujourd’hui Philippeville, - où les Romains ont triomphé durant cinq cent soixante-quinze ans. C’est la terre qui vit ensuite, et durant plus d’un siècle, le passage effrayant des Vandales conduits tout d’abord par le roi Genséric, et dont les ressources inépuisables permirent

lui restaient de l’Ancien Régime. Son influence internationale, mise en place depuis Richelieu et Louis XIV, est réduite à néant. Le territoire national est ramené à une étendue moindre que sous Louis XVI. La Sarre et les villes de Marienbourg, Philippeville et Landau, acquises sous Louis XIV, sont cédées aux coalisés. De plus ce territoire est occupé, et le pays doit payer une lourde indemnité de guerre pour l’entretien des troupes étrangères établies sur son sol. Lorsque Napoléon quitte la France

révolution de 1789 la Révolution française. * LE ROYAUME DE FRANCE EN 1789 En 1789 le territoire de la France était à peu près tel qu'il est aujourd'hui. Il comptait en plus quelques places fortes au nord-est et au nord : Sarrelouis, landau, Philippeville, Marienbourg les trois dernières enclaves en territoire étranger. En revanche ne comportait ni la Savoie et le comté de Nice qui appartenait au roi de Sardaigne ; ni le comtat Venaissin et la principauté d'Avignon, possession du Pape ; ni Montbéliard

harmonie intérieure, que loin des villes, loin de la civilisation et de ses comédies hypocrites.        Batna : retour en février 1901 Alger : mars 1901, j’ai fais la connaissance de Victor BARRUCAND. Marseille : 20 juin 1901, je m’embarque à Philippeville pour Marseille pour rejoindre mon frère Augustin Constantine : juin 1901, expulsée d’Algérie Marseille : juin 1901 mariage avec Slimane HENNI, qui le rejoint en Algérie en tant que femme d’un officier français. Annaba : retour à cette ville