Philippeville

ripostent en multipliant les meurtres de notables musulmans favorables à la présence française. Mais n'arrivant pas à retourner la population musulmane en leur faveur, ils changent de tactique et s'en prennent aux Européens. Ce sont les massacres de Philippeville (20 août 1955), véritable tournant de la guerre. Dès le 23 août 1955,  le gouvernement décide le rappel du demi-contingent libéré en avril et le maintien sous les drapeaux du premier contingent de 1954. Les«opérations de maintien de l'ordre»(on

1954: la Toussaint Rouge . -« ton devoir »: Le FLN va s’appuyer sur toutes les populations algériennes pour mener a bien ses actions terrorismes. Les Algériens sont dans les espaces ruraux en 1954/ Dans les villes en 1955( attentat de Philippeville) / En 1956: attentats directement à Alger pour viser les civils européens. - « alliés naturels » ( l‘Egypte) : solidarité entre les anciennes colonies. L’Algérie bénéficie du soutient du Tiers-Monde( essentiellement du monde arabe) . L’Egypte

les colonies qui lui restaient de l’Ancien Régime. Son influence internationale, mise en place depuis Richelieu et Louis XIV, est réduite à néant. Il est plus petit territorialement que sous Louis XVI. Même la Sarre et les villes de Marienbourg, Philippeville et Landau, acquises sous Louis XIV, sont cédées aux coalisés. Il est également occupé, et doit, en outre, payer une lourde indemnité de guerre pour l’entretien des troupes étrangères établies sur son territoire. Lorsque Napoléon quitte la France

Jacques Soustelle, nouveau gouverneur général (en janvier 1955), est envoyé pour négocier des réformes avec les modérés algériens. Le 20 août 1955, des insurgés de la zone II tuent 123 colons (dont des femmes et des enfants) dans un faubourg de Philippeville (aujourd’hui appelé Skikda). En réponse à ces massacres, les Français tuent près de 12 000 Algériens dans la région de la zone II. Les réformateurs algériens, et Jacques Soustelle lui-même, renoncent alors aux négociations. En avril 1955, l’état

de Château-fermes à cour en L en brique rouge tuile noire/grise/rouge (issus de riches propriétaires) Production : - Betteraves sucrières - Plantes oléagineuses (huile) - Blanc Bleu Belge (race bovine) 6. La Fagne-Famenne 6.1. Fagne (Chimay, Philippeville, Couvin…) Paysage : - Basse-Fagne relief faible, collines rondes, plateaux limoneux faiblement vallonnés - Village sur le versant sud le mieux exposé - Village de haut de versant : étirement parallèle aux courbes de niveaux Espace-rue : - Maisons

d’Istamboul. Au Maghreb le réseau ferroviaire reste aussi d’importance inégale. C’est en Algérie qu’il se développe le plus rapidement. La première ligne Alger-Blida, commencée en 1850, est suivie de très près de celle d’Alger-Oran et de celle de Philippeville-Constantine en 1860. En 1872, on compte 1.100 km de voies et de tronçons épars. Moins d’une vingtaine d’années plus tard la longueur du réseau triple presque quoique ce réseau manque toujours de cohésion. En Tunisie, à la même époque, on reste

retrouvera sa place initiale. Cet espace permettra l’organisation d’événements culturels et populaires. Projet 4 - Structures végétalisées d’entrée de Ville : des portiques végétaux marqueront distinctement ce passage, route de Mons et chaussée de Philippeville par exemple, à la manière des portes de villes médiévales. Projet 5  - Aménagement des Quais de Sambre : l’idée est de rendre leur rivière aux carolos et de briser une barrière presque naturelle depuis le milieu du 20ème siècle. La gare et le

peinture. C’est en ce sens que ce type de récit est aussi polyphonique : des voix diverses interfèrent, celles de personnes rencontrées dans des lieux propres au voyage, tels les auberges, les diligences, les bateaux. Dans la voiture qui le mène de Philippeville (actuelle Skikda) à Constantine, Flaubert note : « La voiture craque et gargouille comme un ventre trop plein. Ces animaux, derrière moi, puent et gueulent ; le Provençal veut blaguer le spahi, qui rit en arabe ; les Maltais hurlent ; tout cela

d’Algérie commence véritablement. II/ La guerre ouverte 1) Le Soulèvement du 20 août 1955 Le 20 août 1955, des milliers de paysans algériens se soulèvent et se ruent à l’assaut de villes du Nord-Constantinois, dans le quadrilatère Collo-Philippeville-Constantine-Guelma. L’initiative de cette action de grande ampleur revient à Zighoud Youcef, successeur de Didouche Mourad à la tête de la zone du Nord-Constantinois du FLN, et à son adjoint, Lakhdar Ben Tobbal. Ce jour-là, les responsables du

bataille de Waterloo leur permit d’imposer à la France un traité encore plus sévère que celui de 1814. Le second traité de Paris, signé en novembre 1815, enleva à la France la Savoie et la Sarre, ainsi que plusieurs villes au nord du pays (Landau, Philippeville, et Mariembourg.). Par ailleurs, et contrairement à 1814, une occupation de la France fut décidée par les puissances européennes. Les Français devaient payer 700 millions de francs d’indemnités et subvenir aux besoins d’une force d’occupation