Phobie spécifique

« Structure obsessionnelle » Voici, concernant la structure obsessionnelle, quelques uns des Principes Freudiens à recevoir comme des vérités : * le moteur de toute formation de symptôme est manifestement l’Angoisse du « Moi ». * Dans la phobie, c’est l’angoisse de castration. Dans la Névrose obsessionnelle c’est l’angoisse du « Moi » devant le « Surmoi ». * Dans ce cas le refoulement de la libido est remplacé par deux techniques du « Moi » : annulation rétro-active et isolation.

Pour lui, la « psychasthénie » (âme – a – force) est « l’état d’une personne ressentant un manque d’énergie mentale se caractérisant par une diminution de la fonction du réel ». La psychasthénie est la base commune aux obsessions et aux phobies donc à l’ensemble de la pathologie névrotique mais n’intègre pas l’hystérie qui, elle, dérive d’idées fixes subconscientes. JANET donne une description claire et cohérente des obsessions et des compulsions. Il propose une thérapeutique psychologique

vie mentale du sujet (sidération, stupeur) = lutter contre la décharge de la réalité pulsionnelle qui fait violence au sujet. (Déf avec répress, forclus, inhib) destins de l'affect : *déplacement : autres pensées : n obsess par ex *extérieur : phobie par ex *conversion (corps) *4e de Mc Dougall : étranglement de l'affect : le sujet se retrouve coupé d'une partie de lui : il perd une partie de sa subjectivité sa psyché : état de privation face à un trop plein. Le vide correspond à un excès

Action de sensibilisation au métier d’aide à domicile auprès des personnes âgées Docteur Roland KAUFFMANN Etude de quelques manifestations pathologiques du vieillissement Principe de base : tout intervenant auprès d’une personne âgée doit s’adapter à son rythme 1. Troubles locomoteurs Troubles de la marche Chutes et malaises 2. Troubles sensoriels Vue Audition Communication 3.Troubles du comportement Trouble cognitif (surtout maladie d’Alzheimer ) Trouble de l’humeur

généraliser à l’ensemble des animaux. SC (souris) –> RC (l’enfant pleure)   Watson voit dans cette expérience un moyen d’expliquer la naissance des phobies. En effet, à partir d’une expérience traumatique associant un stimulus neutre à un stimulus angoissant, le sujet va associer ce stimulus à la peur et développer une phobie. Par la suite, la phobie va se généraliser à l’ensemble des stimuli qui ressemblent au stimulus d’origine (il aura peur des souris puis de tous les animaux). A cette première

Connaître des synonymes du mot peur Parmi ces noms exprimant la peur, choisissez ceux qui correspondent aux définitions proposées. Noms              Affolement angoisse anxiété appréhension crainte effroi émoi frayeur hantise panique phobie terreur trac Définitions •Peur irraisonnée devant certains objets ou situations •terreur extrême, soudaine, et généralement collective •grande frayeur, intense, glaçante et mêlée d'horreur •peur que l'on ressent avant d'affronter un public •inquiétude

d’inspirer des poètes aux sensibilités diverses et variées. Si elle est toujours vécue d’une façon unique et propre à l’individu qui en est victime, les symptômes sont souvent les mêmes. Peur, crainte, frayeur, effroi ne sont pas insurmontable. La phobie en tant que pathologie de la peur par sa permanence et son côté morbide peut même se soigner et la peur peut même être motrice dans certains cas. Mais, avec la terreur, on sort de ce cadre et on rentre dans un état de l’âme où la raison n’a plus aucune

frénétique à la Salpétrière mais il se séparait de l'hypothèse organiciste de son gourmet pour privilégier une étiologie psychotraumatique. l'étude du cas Emma illustre bien le faire faire passer par freud à l'époque. cette jeune légitime subir d'une « phobie fou » des pavillonnerie où elle ne être susceptible de se rendre seule. freud l'amène à associer et lui reparler un souvenir de l'adolescence où, alors qu'elle causer des marche dans un magasin, elle vit deux jouvenceau corps - elle se se ressouvenir

scolaire peut être apparenté comme un handicap. En effet, il se manifeste par des expressions somatiques (troubles du sommeil, nausées...). Le jeune sait que tant que durera la « maladie », on ne lui parlera pas de l'école. Pierre MANNONI évoque la phobie scolaire comme un symptôme encore plus grave. Elle se présente comme un refus de la classe ou de l'école qui peut être vécu avec anxiété. « Son apparition est favorisée par une structure familiale particulière : un père absent, malade ou dévalorisé;

animaux. Cependant le fait que cette nourrice anglaise soit congédiée n’a pas eu d’influence directe sur le caractère du petit garçon. Vers l’âge de 5 ans, un second changement se produisit : l’enfant présenta des symptômes d’angoisses et de phobies dont la peur d’être dévoré par un loup. Sa sœur en effet possédait un « livre d’images où était représenté un loup qui se tenait debout et marchait à grands pas ». Cette peur se déplaça également sur l’ensemble des autres animaux, grands et petits