Phobie

souhaitent pas prendre de risques dans leur vie. La crainte d'avancer l'heure de la mort en est la principale cause. Ainsi, elles se montrent prudentes et font preuve d'une certaine retenue dans leurs actions. Les religions semblent vouloir parer cette phobie en envisageant une vie après la mort. D'autres personnes considèrent la mort comme imminente à chaque instant. Cependant, ils privilégient le Carpe Diem d'Horace, signifiant « cueille-le-jour », et vivent pleinement leur vie à chaque instant. Ils

véritable fonction du MOI. L’angoisse névrotique est donc rapprochée de l’angoisse devant un danger réel, ou jugé tel par le sujet. Cette conception semble pouvoir être élargie à toutes les catégories de stress et de phobies (environ 252 recensées à ce jour), notamment de type phobie agoraphobique, acrophobie,cancérophobie. Divers états affectifs colorent notre vie et notre existence réelles et fantasmatiques. Les affects sont des réactions psychiques également colorantes : colorations heureuses,

neurochirurgicologiques z Le corps a une forte valeur symbolique z lien émotionnel : parole (les mots ont des valeurs) et émotions z BERNHEIM : voit et constate z FREUD ET BREUER : cherche à soigner z Contenu psychique d’angoisse – phobie ou hystérie / contenu sexuel névrotique mais pas organique : toujours sexuel z LE SENS SYMBOLIQUE : que prend un événement qu’il soit grave ou non z FREUD : 1. Anna (se souvient du symptôme qui disparaît alors) (BREUER transfert d’Anna)

peur non motivée par un danger réel a été très rapidement proposée comme une explication alternative. Freud lui-même reconnaissait que certaines phobies n'étaient pas secondaires à l'état d'angoisse mais, au contraire, qu'elles en constituaient la source chaque fois que l'individu se trouvait exposé, malgré lui, à la situation « phobogène ». Ces phobies seraient l'expression symbolique d'un conflit intrapsychique et apparentées à l'hystérie (d'où le terme d'hystérie d'angoisse, en opposition à celui

cadre de soin. Elle prend grand plaisir à venir au Mescaret et à participer aux ateliers qu'elle a choisi: la relaxation, le cinéma et l'esthétique. Mme D évoque ses première prise d'alcool situées autour de l'âge de 20 ans et sont secondaire à une phobie sociale. La multiplication des situations sociales difficiles a entraîné une augmentation des prises d'alcool jusqu'à entraîner une véritable dépendance. À noter que le père de Mme D souffrait également d'une dépendance alcoolique ancienne. La dépendance

« Structure obsessionnelle » Voici, concernant la structure obsessionnelle, quelques uns des Principes Freudiens à recevoir comme des vérités : * le moteur de toute formation de symptôme est manifestement l’Angoisse du « Moi ». * Dans la phobie, c’est l’angoisse de castration. Dans la Névrose obsessionnelle c’est l’angoisse du « Moi » devant le « Surmoi ». * Dans ce cas le refoulement de la libido est remplacé par deux techniques du « Moi » : annulation rétro-active et isolation.

donc j’effectue la toilette alitée. La personne soignée présente plusieurs pathologies. Elle est dans l’incapacité de marcher du fait d’une composante phobique importante. De plus la luxation récidivante de la rotule gauche de la patiente aggrave sa phobie de la marche. Elle a contracté la maladie de Parkinson en 2005 qui est soignée par du Levodopa 200mg + du Benserazide 50 mg. Elle a une hypothyroïdie soignée par Levothyroxine sodique 50mg et une hypertension artérielle soignée par du Bisoprolol 2

Les conduites d’évitements se situent au-delà du contrôle volontaire. Ils peuvent être accompagnés de conduite de réassurance (le patient va chercher auprès de sa famille une présence pour affronter son angoisse). La phobie est un système de défense. Le patient enferme son angoisse imprécise dans un ou plusieurs objets. c) Troubles obsessionnels compulsifs : T.O.C Définition : Besoin impérieux de recourir à une action afin de soulager sa tension anxieuse. Ce besoin

de ces crises passagères se calment puis l’évolution monotone reprend son cours. Avec l’âge, on observe l’installation d’une espèce de compromis fait d’accalmies prolongées, encadrées par des rituels inamovibles. B. La névrose phobique : Les phobies sont généralement intenses mais rarement d’emblée exprimées comme telles. Ainsi derrière la peur banale de tomber dans la rue peut exister une authentique agoraphobie. Ces peurs contiennent un incontestable appel à l’aide. C. L’hystérie L’hystérie

PM Utilisation de la communication non verbale. Névrose phobique : Théorie : Ces patients souffre de phobie, c'est à dire une peur spécifique, absurde, incontrôlable d'un objet ou d'une situation : l'objet phobogène Si il y a exposition a l'objet cela provoque une angoisse importante. Il adopte donc un comportement d'évitement face a cet objet. Exemple : Agoraphobie Claustrophobie Phobie des animaux Traitement : Psychothérapie : Cognitivo-comportementale : analyser les symptômes et les diminuer