Appel a la peur et influence d'opinion politique
TABLE DES MATIERES
1. Introduction 3
2. Question de départ 4
3. Elaboration théorique du problème 4 3.1. Développement des présupposés 4 3.2. Etat de la question 4 3.2.1. L’appel à la peur 4 3.2.2. La peur 5 3.2.3. La communication 6 3.2.4. La source 6 3.2.5. Le message 7 3.2.6. Le récepteur 7
4. Enoncé de l’hypothèse 8 4.1. Générale 8 4.2. Opérationnelle 8
5. Méthodologie 8
6. Compte rendu des résultats 9
7. L’analyse des résultats 10
8. Bibliographie 15
9. Annexes 16
Introduction
Avec la démocratie directe, le fédéralisme constitue l'un des principes fondamentaux de l'ordre constitutionnel suisse. Il peut se définir comme une forme particulière de décentralisation de l'Etat, qui vise essentiellement à maintenir la diversité dans l'unité et à rapprocher l'Etat du citoyen. En constante mutation, le fédéralisme suisse se trouve confronté aujourd'hui à de nouveaux défis comme la nouvelle péréquation financière, l'intégration européenne ou l'importance croissante des villes et des agglomérations.
La Confédération a entrepris plusieurs réformes pour tenir compte de ces évolutions. La révision de la constitution fédérale de 1999 a mis l'accent sur l'avènement d'un fédéralisme davantage axé sur la participation et la collaboration. Le développement des formes de dialogue entre la Confédération et les cantons témoigne du fait que la coopération entre les différents niveaux de collectivités publiques est désormais aussi importante qu'une claire délimitation des compétences.
En 2003, l’Union Démocratique du Centre, parti de la droite dure, crie victoire en devenant le premier parti suisse. Cette montée de l’extrême droite, certainement due à une mauvaise conjoncture économique, fait froid dans le dos. En effet ce parti a progressé d’environ 53% en 7 ans, c'est-à-dire en une législature.
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