Phytoremédiation

biologiques. 4.3.1 – La phytoremédiation. L’étymologie provient du grec « phyton » = plante, et du latin « remedium » = rétablissement de l'équilibre, remédiation. La phytoremédiation n'est pas un concept nouveau puisqu'il y a 3000 ans les hommes utilisaient déjà les capacités épuratoires des plantes pour le traitement de l'eau. Depuis les années 1970 cette pratique a trouvé un regain d'intérêt notamment pour le traitement des pesticides et des métaux. La phytoremédiation est un ensemble de technologies

_ {draw:frame} _ Constructed wetlands or phytoremediation: This is a technology for treating stormwater or wastewater. A constructed wetland consists of a gravel bed on which suitable wetland plants are grown. As water passes through the substrate, it is purified through the activity of bacteria attached to the gravel, plant roots, soil and other particles. Quelles sont les limites de l’assainissement de l’eau des piscines naturelles par les plantes ? L’eau est purifiée par les racines

de molécules utiles pour le futur et pensent qu'elle est intéressante dans le domaine de la bioremédiation. Ils pensent que les champignons peuvent aussi jouer un rôle très important dans le domaine de la dépollution ; en accompagnement de la phytoremédiation ou de l'utilisation de divers micro-organismes ; utilisés seuls ou en association épuratrice, etc. Certaines espèces s'avèrent en effet capables de remarquablement bien bioconcentrer les métaux ou radionucléides du sol. Selon eux, la mycoremédiation

mais aussi les métaux lourds. D’ailleurs une des utilisations la plus connue pour laquelle le bambou est exploité est pour ses caractéristiques de phytoremédiation, ce qui veut dire la dépollution des sols, car le bambou est capable d’absorber le plomb. Les métaux ont des effets toxiques sur les plantes, ce sont des contaminants. La phytoremédiation combine l’utilisation des plantes avec des microorganismes pour réduire les niveaux de contaminent. Le bambou étant une des rares plantes capable de

micro-organisme transforme le deuxième composé toxique en dioxyde de carbone et en eau qui sont tout deux innofensifs pour l’homme et l’environnement. 2) Phytoremédiation Il existe plusieurs techniques : la rhizofiltration, la phytostabilisation, la phytoimmobilisation, phytovolatilisation, la phytodégradation, phytoextraction. Les atouts de la phytoremédiation sont : son faible coût, sa technique douce, sa valorisation de la biomasse et surtout c’est le seul moyen d’extraire les métaux du sol. Ces contraintes

tolérer ou même à accumuler des métaux a permis d’ouvrir de nouvelles voies de recherche sur le traitement des sols : on parle de phytoremédiation. 1. Phytoremédiation : 1. Principe de la technique de phytoremédiation : Connue sous le nom de phytoremédiation « phyto » = plante et « remedium » = rétablissement de l’équilibre, remédiation, la phytoremédiation est définie comme l’utilisation de plantes pour extraire ou transformer les polluants organiques et aussi inorganiques (plus particulièrement

ensuite les hommes qui les mangent. Pour dépolluer le site, on peut planter sur le lieu contaminé des végétaux qui ont la capacité de fixer dans leurs racines certains polluants. Les plantes sont ensuite arrachées et incinérées. (C’est la phytoremédiation) On peut également pomper la nappe phréatique qui est ensuite traitée par des voies biologiques. Cette solution est très coûteuse (environ 3 415 000 €) et oblige à pomper énormément d’eau pendant plusieurs années. Schéma

Remarque : évaporation des bassins. Pour 250m² : 36l/heure (=26kw de perte par heure) Avec des nageurs, cela monte à 100 l/h. Pour une moyenne de 60l/h, cela fait 1030 m3 par an chez nous (500m²). ( Cas de la ville de Beygle : « bassin de phytoremédiation » (plantes qui se nourrissent du chlore) mais usage que technique autorisé de l’eau (arrosage par la mairie, projet d’arrosage du stade). ANIMATION : Pro Urba « Aire de jeux d’eau » à la place de la pataugeoire Dalle de béton, tous automatisé

d’autres méthodes sont également sollicitées. En effet, la phytoremédiation est un concept nouveau qui tend à se démocratiser. Le Parc du Chemin de l’Ile à Nanterre (Hauts-de-Seine) depuis 2006 en est témoin et voit son ancien site industriel remplacé par un parcours ludique autour d’un bassin filtré par des plantes aquatiques spécifiques. Celles-ci luttent contre la pollution de l’eau et le phénomène d’eutrophisation. Le processus de phytoremédiation est ainsi mis en œuvre au cœur d’un milieu industriel

pour transformer le Geramyl Geramyl Pyro Phosphate en βcarotènes qui est le précurseur de la vitamine A. On ajoute aussi des protéines pour fixer le fer. Fabrication de vaccins à base de plantes : Contre le choléra, l’hépatite B. La phytoremédiation Détoxification des sols pollués : les bactéries poussent sur des sols chargés en mercure et transforment le mercure Hg2 toxique en Hg0 non toxique. On a introduit la bactérie dans des peupliers que l’on met à pousser sur les sols pollués