Phèdre Jansénisme

1669 adoucit les propos de Tartuffe, qui n’apparaît plus comme homme d’Eglise, mais comme homme du monde, faisant profession de directeur de conscience. Molière se sert du personnage pour faire le portrait d’une Eglise prise entre jansénisme et jésuitisme. Le jansénisme est la doctrine initiée par Jansenius, qui défend les idées de grâce et de prédestination. Ses partisans respectent une morale stricte et austère. Les Jésuites, membres de la compagnie de Jésus fondée en 1534 par Ignace de Loyola,

jean de racine est né a la ferté- Milon le 22 decembre 1639. Il est mort a paris le 21 avril 1699. Jean Racine est un auteur français du XVII siècle, né en 1639 et mort en 1699, qui a écrit de nombreuses oeuvres telles qu'Alexandre le Grand ou Phèdre. Dans cet exposé, nous allons étudier la vie de cet auteur : son enfance proche du milieu janséniste, ses années de gloire, jusqu'à sa mort à l'âge de 60 ans. Dans la deuxième partie de cet exposé, nous parlerons de ses oeuvres les plus importantes

siècle et à l'élaboration du style classique. Leur philosophie est celle du stoïcisme. Les écoles jésuites apportent deux éléments essentiels dans la formation du classicisme : le goût pour les Anciens comme modèle de beauté et la psychologie. °Le jansénisme exerce une influence indirecte. Dieu est la perfection, maître du destin des hommes, omniprésent et l'homme est d'une impuissance totale. Ce qui les oppose aux Jésuites qui laissent à l'homme une certaine liberté d'action. Blaise Pascal, janséniste

« Bajazet » (début 1672), « Mithridate » (fin 1672), « Iphigénie » (1674) et « Phèdre » (1677). Toutes ces pièces furent jouées par la troupe de l'Hôtel de Bourgogne. En 1674 il acquiert la charge de trésorier de France à Moulins qui ne fut pour lui qu’une charge lucrative et anoblissant. Le très grand succès de son chef-d'œuvre « Phèdre », qui triomphe rapidement d'une autre pièce concurrente due à Pradon et nommée « Phèdre et Hippolyte » ne l'empêche pas de sauter sur l'occasion d'une promotion

c’est une satire de la monarchie que fait ici Voltaire. Il utilise souvent pour le décrire des adjectifs comme « impitoyable », « l’imposant ». De plus il veut marier son fils à Mlle de Saint Yves et pour cela enverra l’Ingénu à la Bastille pour jansénisme. Biographie de Voltaire : Un des plus grands écrivains français : dramaturge, polémiste satirique, philosophe, historien et moraliste. François-Marie Arouet est originaire d'un milieu bourgeois, son père était notaire. Il fait de brillantes

beaucoup contre l’autoritarisme de Louis XIV : en politique étrangère il cherche la paix et pour le royaume il met en place la polysynodie, c’est à dire une forme de gouvernement par conseil qui doit empêcher toutes prise de décisions abusives. Le jansénisme représente le christianisme radical, résistance aux absolutismes basés sur la grâce et la prédestination, développé par Cornelius Jansen au XVII siècle. C’est un mouvement religieux et intellectuel animé par ces partisans. Les jésuites sont

blessa gravement à la cuisse et ce fut deux médecins jansénistes qui vinrent le soigner trois mois durant. Blaise Pascal se passionna pour le jansénisme qui est une doctrine théologique qui se développe au XVIIème siècle, principalement en France, dont les valeurs s'opposent à celles de l’Église catholique et à celles de la monarchie absolue. Le jansénisme tient son nom de l'évêque Cornelius Jansen, qui fut à l'origine de ce mouvement, mouvement qui se popularisa surtout à Port-Royal. Cette doctrine

jurisprudence), le clergé quelquefois, les corps constitués assez souvent, qui tous puisent dans l'argumentaire juridique les moyens d'intervenir dans la sphère du religieux et le contraire. Le fonds doctrinal du jansénisme (« ... La controverse religieuse active la tendance calviniste du jansénisme à attribuer au seul Dieu transcendant le terme de « majesté », p. 202) qui n'est donc pas sans parenté avec le protestantisme calvinien refoulé du XVIe siècle, contribue plus que tout autre courant à nourrir

véritable succès est en 1667 avec "Andromaque". Suivent alors d'autres coups de maître, avec notamment et successivement, en 1670, 1673 et 1674, "Bérénice", "Mithridate" et "Iphigénie". En 1677, Jean Racine interrompt ses créations dramatiques avec "Phèdre". Il se consacre dès lors à l'historiographie et se met, avec Boileau, au service de Louis XIV, appuyé par Madame de Montespan, alors maîtresse du roi. Il exerce cette activité durant près de quinze ans, avant d'écrire deux tragédies : "Esther" et

la distraction du roi ce qui le revulse. Sa satisfaction personelle lui est suffisante, il préferait donc exercer sont art loin de Versailles, dans sa cabane, isolé du monde. On distingue ici le contraste avec Marin Marais qui lui, non adepte du Jansénisme, ne rêve que d'une carrière de musiciens à la cour et qui recherche, contrairement à St Colombe la gloire et l'admiration des autres pour sont talents. Les contextes historiques et socials sont respectés et donnent donc bien à l'oeuvre le caractère