Phénix Et Franc Maçonnerie

ET GEOGRAPHIQUES Poursuivant la tradition chrétienne primitive et le style carolingienne, l’art roman, formé au IXe s. dans les Etats-nations ayant connu les invasions germaniques, se développe dans les pays non touchés par l’influence byzantine : France, nord de l’Espagne, Saint Empire romain germanique (Allemagne et nord de l’Italie), sud de l’Angleterre et Pays-Bas. Supplanté par le style gothique entre le milieu du XIIe et le début du XIIIe s, il laisse une tradition tenace le « gothicisme »,

2. 2. L’espace de l’originel. 132 2. 2. 1. Le paradis de l'enfance 132 2. 2. 1. 1. L’Ile-de-France de Gérard de Nerval 133 2. 2. 1. 2. « Je n’ai pas oublié… » 133 2. 2. 2. Le mythe des origines

Quand notre grand lavage du matin s’achève, quand les seaux d’eau de mer, lancés à tour de bras, ont fini d’inonder toutes choses, le Redoutable reprend sa vitesse (sa vitesse moyenne de onze nœuds et demi, qu’il avait gardée depuis son départ de France). Et, pendant que les matelots s’empressent à faire reluire ses aciers et ses cuivres, il recommence de tracer son profond sillage sur la mer tranquille. Dans les fumées de l’horizon, les objets se démêlent et se précisent ; on distingue, sous les

et que ses applications sont pratiquement infinies. De la Cabbale, la Science des Nombres a passé dans la FrancMaçonnerie et c'est avec raison que le F... CLAVEL dans son Histoire pittoresque de la Franc-Maçonnerie met dans la bouche du Vénérable les paroles suivantes : « Il y a dans la Franc-Maçonnerie un point de similitude avec les doctrines des initiations de l'antiquité : c'est l'emploi des nombres mystiques ». Le Martinisme particulièrement, a conservé une grande partie de la tradition, sur

patriciat, dans le sens absolu du mot. Pas de féodalité plus illustre, plus terrible et plus vivace. Disons-le, cette féodalité a été utile à ses heures. C’est en Angleterre que ce phénomène, la Seigneurie, veut être étudié, de même que c’est en France qu’il faut étudier ce phénomène, la Royauté. Le vrai titre de ce livre serait l’Aristocratie. Un autre livre, qui suivra, pourra être intitulé la Monarchie. Et ces deux livres, s’il est donné à l’auteur d’achever ce travail, en précéderont et

patriciat dans le sens absolu du mot. Pas de féodalité plus illustre, plus terrible et plus vivace. Disons−le, cette féodalité a été utile à ses heures. C'est en Angleterre que ce phénomène, la Seigneurie, veut être étudié, de même que c'est en France qu'il faut étudier ce phénomène, la Royauté. Le vrai titre de ce livre serait l'Aristocratie. Un autre livre, qui suivra, pourra être intitulé la Monarchie. Et ces deux livres, s'il est donné à l'auteur d'achever ce travail, en précéderont et en

patriciat dans le sens absolu du mot. Pas de féodalité plus illustre, plus terrible et plus vivace. Disons−le, cette féodalité a été utile à ses heures. C'est en Angleterre que ce phénomène, la Seigneurie, veut être étudié, de même que c'est en France qu'il faut étudier ce phénomène, la Royauté. Le vrai titre de ce livre serait l'Aristocratie. Un autre livre, qui suivra, pourra être intitulé la Monarchie. Et ces deux livres, s'il est donné à l'auteur d'achever ce travail, en précéderont et en

qu’elle ait jamais comparu en cour d’assises ; mais, il y a de cela sept ou huit ans, elle s’est séparée de M. Corneuil. Cette affaire fit quelque bruit ; voici l’histoire, autant qu’il m’en souvient : « M. Corneuil était jadis consul général de 9 France à Alexandrie. Il passait pour un bon agent, à qui l’on reprochait seulement d’avoir l’humeur un peu brusque. C’est un péché véniel. Dans le pays du courbache, il faut savoir dans l’occasion brusquer les hommes et les choses. Quand un Oriental n’est

domestiques dont le sens ne se retrouvera jamais. Tantôt un protestant y a signé sa foi, tantôt un ligueur y a maudit Henri IV. Quelque bourgeois y a gravé les insignes de sa _noblesse de cloches_, la gloire de son échevinage oublié. L'Histoire de France est là tout entière. A côté de la tremblante maison à pans hourdés où l'artisan a déifié son rabot, s'élève l'hôtel d'un gentilhomme où sur le plein-cintre de la porte en pierre se voient encore quelques vestiges de ses armes, brisées par les diverses

hiéroglyphes domestiques dont le sens ne se retrouvera jamais. Tantôt un protestant y a signé sa foi, tantôt un ligueur y a maudit Henri IV. Quelque bourgeois y a gravé les insignes de sa noblesse de cloches, la gloire de son échevinage oublié. L’Histoire de France est là tout entière. A côté de la tremblante maison à pans hourdés où l’artisan a déifié son rabot, s’élève l’hôtel d’un gentilhomme où sur le plein-cintre de la porte en pierre se voient encore quelques vestiges de ses armes, brisées par les diverses