Piano

Franz Schubert Franz Schubert, de son vrai nom Franz Peter Schubert est née le 31 janvier 1787 à Vienne. Son père Franz Theodor lui donne ses premières leçons de violon, et son frère Ignaz lui enseigne le piano. Dès 1808, Schubert est premier sopranode l'église de Lichtental, le neuvième arrondissement de Vienne. En 1808, il est accepté sur concours dans le chœur de la chapelle impériale de Vienne. Il entre à l'orchestre du Konvikt comme second violon, puis progresse jusqu'à devenir chef d'orchestre

environ de 25 min. QUESTIONS City Life est écrit pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux claviers à échantillons, un quatuor à cordes (ensemble musical composé de quatre instruments à cordes) et une contrebasse, deux vibraphones et des percussions. Les sons échantillons comme les klaxons, les bruits de freins. Œuvres principales : Drumming, piano phase,  Music for 18 Musicians, the desert music, Different trains, City life, Three tales Ses influences

l'articulation La courbe mélodique L'instrumentation La structure Nous nous attarderons dans un premier temps sur les nombreuses indications mis pas Haydn au niveau de l'expression. Le Forte au début du thème, le Sforzando à la troisième mesure et le Piano sur le troisième temps de la cinquième mesure. Ce style d'écriture riche en expression, très précis et perfectionniste est typique du compositeur Autrichien. On remarqueras aussi les nombreux Staccato au niveau de l'articulation qui amènent une dynamique

d'autres formes de blues avec des instruments rudimentaires, le diddley bow, une corde fixée sur une planche, le jug, cruchon en terre dans lequel on soufflait. Puis le blues a évolué avec des instruments simples, tels que la guitare acoustique, le piano et l'harmonica. La légende raconte que l'un des guitaristes bluesmen, Robert Johnson, aurait signé un pacte avec le diable ce qui lui aurait permis de devenir un virtuose du blues (blue devils : c'est une musique liée aux forces maléfiques qui était

pour lui une passion importante, mais secondaire. 1833 --> Naissance d'Alexandre, fils naturel d'un prince Géorgien. Il reçoit une excellente éducation scolaire et musicale --< flûte, piano, violoncelle et hautbois. 1847 --> A l'âge de 13 ans, il compose un concerto pour flûte et piano, puis un trio pour 2 violons et violoncelle sur des thèmes de Robert le Diable. page 2 1850 --> Borodine est admis à l'Académie de Médecine de Saint-Pétersbourg, 1858 --> il obtient

= 3 x f1 l3 = l1 / 3 3) les différentes techniques pour exciter une corde sont : de pincer la corde (guitare), frotter la corde (violon), frapper la corde (piano) 4) on remarque que toutes les harmoniques du son du violon ont la même durée alors que celle de la guitare sont décroissant et celle du piano n’ont pas de particularité.

Yoko Ono, et mort assassiné à New York, le 8 décembre 1980) : auteur-compositeur, guitare rythmique, chant, piano, claviers, percussions, harmonica, basse (à l'occasion), fondateur du groupe, membre de 1957 à 1970 ; • Paul McCartney (né James Paul McCartney à Liverpool, le 18 juin 1942, devenu Sir James Paul McCartney par anoblissement en 1997) : auteur-compositeur, basse, chant, piano, claviers, guitares, percussions, batterie (à l'occasion), membre de 1957 à 1970 ; • George Harrison (né à Liverpool

differents. Il commence au piano et aux cordes avec un rythme calme et lent, puis arrive la batterie, les chœurs et la voix plus grave de Matthew Bellamy, le chanteur principal du groupe Muse. À l’arrivée des chœurs, la ressemblance avec les voix et le style de Queen est vraiment frappante. À noter également le surprenant bridge orientalisant, mais on peut aussi reconnaitre les sonorités de Deep Purple et un chant plus rapide et entrainant, soutenu par une ligne de basse et de piano entêtante. Le morceau

histoire d’amour. Musique : La musique de ce filme composé par Yann Tiersen, recomposé par un Prix César, a joué un rôle essentiel dans le film. Yann Tiersen, musicien français, a composé pour ce filme des morceaux pour des instruments comme le piano (« la valse d’Amélie ») et l’accordéon (« la noyée »), il a sut arriver aux sentiments des spectateurs avec des morceaux très simples. En plus, Yann Tiersen c’est donner à connaître grâce à sa bande sonore d’Amélie et il c’est mit à l’auteur d’artiste

américaine et principalement initiateur du Jazz : A la mesure 14, par exemple, on retrouve des accentuations sur "Black, Black, Black" et notamment aux mesures 25 et 26 sur "you" et "I". L'alternance notamment des basses et des accords plaqués au piano, aussi appelée "faire des pompes" est présente dans cette pièce : Aux mesures 10, 14 et 17, par exemple. On voit bien dans chacun de ces cas, l'alternance des basses et des accords plaqués. 2) D'autre part, d'une manière générale, on retrouve encore