Pib Par Habitant Limites Et Avantages

La limite Nord-Sud est-elle la seule frontière entre pauvres et riches ? Nous verrons donc, à différentes échelles, les inégalités de développement créées par la mondialisation. Nous commencerons à l’échelle mondiale, puis nationale et enfin, nous aborderons comment il est possible de lutter contre les inégalités dues à la mondialisation en créant des alliances. A l’échelle du monde, plusieurs indicateurs nous permettent de le scinder en deux. Cette frontière imaginaire appelée limite Nord-Sud

économique et sociale. Un constat important de ce rapport est qu'en ce qui concerne les revenus régionaux l’élargissement de l’Union à vingt-cinq ou vingt-sept Etats membres s’accompagnera d’une chute importante du Produit Intérieur Brut (PIB) moyen par habitant et d’un accroissement sans précédent des disparités régionales et territoriales. Dans une Union à vingt-cinq Etats membres c'est à dire sans deux pays candidats, la Roumanie et la Bulgarie, qui, semble-t-il, ne deviendront pas membres de l’Union

cout transport maritime divisé 2 *** Cout aérien baissé de 85 % *** Cout communication tel baissé de 99 % --- Tout ça accroit degré ouverture des économies les unes aux autres * on le mesure à travers le ratio d’ouverture : Imports + exports / PIB * chaque écos devient de plus en plus dépendantes des autres ( imports , exports ) --- Ratios à l’échelle du monde en 70 à 20 % - En 2007 = 51 % - Accélération phénomène mondialisation - Asie de l’Est : ratio d’ouverture de 75 % (

balance des paiements a fortement diminué en pourcentage du PIB et ne représentait que 1,4% en 2000. Le Maroc a même enregistré un compte courant excédentaire de 4,9% du PIB en 2001, grâce au dynamisme du secteur touristique et des transferts des MRE. Cette évolution a favorisé une progression notable des réserves de change et l’allègement de la dette extérieure. Le poids de la dette extérieure a été ramené de 69% en 1995 à 43% du PIB en 2001. Ce repli est imputable au respect du calendrier des

Synthèse Chapitre 1 : Quelles sont les sources de la croissance économique ? Indications complémentaires : En s’appuyant sur le programme de première, on s’interrogera sur l’intérêt et les limites du PIB. L’étude de séries longues permettra de procéder à des comparaisons internationales. À partir d’une présentation simple de la fonction de production, on exposera la manière dont la théorie économique analyse le processus de croissance. On fera le lien entre la productivité globale des facteurs

ET PROGRES TECHNIQUE I. SOURCES ET LIMITES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE A. LA MESURE DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE 1. La notion de croissance • La croissance est une notion quanti tative plus large que celle d’expans ion • La croissance s’apprécie à travers les variations des principaux agrégats le PIB Notamment • L’augmentation du PIB s’apprécie en volume ( en € cons tants , en réel ) autrement di t en éliminant la hausse des prix . • La comparaison des PIB se fai t à taux de change PPA (parité

l’Allemagne. Le premier est la part des dépenses de protection sociale dans le PIB et le second compare le taux de croissance du PIB à celui des dépenses en prestation de protection sociale. a) Comment a évolué la part du PIB consacrée aux dépenses de protection sociale ? Le poids des dépenses de prestation de protection sociale dans le PIB est relativement important, il est environ compris entre 25% et 30% du PIB. On n’observe pas de changement brusque mis a part entre 2008 et 2009 ou le taux

• solde de la balance commerciale : X – M • taux de couverture des importations : (X / M) * 100 • propension d’un pays à importer : (M / PIB) * 100 • propension d’un pays à exporter : (X / PIB) * 100 • degré d’ouverture : (((X + M) / 2) / PIB) * 100 • Dépendance aux importation : (taux croissance des M / taux croissance PIB) * 100 2/ Définissez la Compétitivité nationale ainsi que les indicateurs permettant de l’évaluer. (4 points) Dans les années 90, WEF définit

Plovdiv, Varna, Bourgas c) Données économiques : PIB (2010) : 36 033 millions d’euros (source : Institut Statistique de la Bulgarie) ; PIB par habitant (2010) : 4 787 euros – le pays le plus pauvre dans l’UE (source : Institut Statistique de la Bulgarie) ; Dette publique en % du PIB (2010) : 16,3% (source : Banque Mondiale) contre 82,3% - France (2010) Dette extérieure (novembre 2011) : 35 543,1 millions d’euros (élevée) - 90,2% du PIB, qui est de 1499,2 millions d’euros moins qu'à par rapport

la population. L’âge moyen de la population est de 39,7ans, soit 38,2 ans pour les hommes et 41ans pour les femmes. Le taux d’alphabétisation est de 97,9%. Le taux de natalité est de 8,33 naissances pour 1 000 habitants, alors que le taux de mortalité est de 6,5 décès pour 1 000 habitants pour un taux de croissance de la population de 0,18%. L’espérance de vie moyenne est de 79,55 ans et le taux de fécondité est de 1,24 enfant par femme2. Au niveau de la religion, elle occupe une importante dans