Picon

Colloques », I). Critiques (Les) de notre temps et Camus. Présentation, notes, chronologie et bibliographie de Jacqueline Lévi-Valensi. (Alter, Barthes, Bespaloff, Blanchot, Borel, Castex, Coombs, Doubrovsky, Grenier (Jean), Lévi-Valensi, Onimus, Picon, Quilliot, Robbe-Grillet, Sarocchi, Sarraute, Sartre, Viallaneix). Paris, Editions Garnier Frères, 1970, 189 p. (Collection « Les Critiques de Notre Temps », I). Hommage à Albert Camus. Paris, Gallimard, 1967, 230 p. (Réimpression du numéro spécial

« Colloques », I). Critiques (Les) de notre temps et Camus. Présentation, notes, chronologie et bibliographie de Jacqueline Lévi-Valensi. (Alter, Barthes, Bespaloff, Blanchot, Borel, Castex, Coombs, Doubrovsky, Grenier (Jean), Lévi-Valensi, Onimus, Picon, Quilliot, Robbe-Grillet, Sarocchi, Sarraute, Sartre, Viallaneix). Paris, Editions Garnier Frères, 1970, 189 p. (Collection « Les Critiques de Notre Temps », I). Hommage à Albert Camus. Paris, Gallimard, 1967, 230 p. (Réimpression du numéro spécial

heurte aux conceptions de la culture et des loisirs que se font Malraux et son ministère. Dans son discours d’inauguration de la maison de la Culture d’Amiens, le ministre des Affaires culturelles qualifie le temps libre de “ temps vide ”, et Gaétan Picon, alors directeur des Arts et des Lettres affirme que “ la culture n’est pas un divertissement : elle est ce qui exige de l’esprit la plus forte contention, elle est le sérieux et la noblesse de l’esprit ” 12. tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008

lesquelles étaient de barres de fer peintes de vert. Il semblait que le Soleil fût dans cette grotte et qu’on le vît au travers des barreaux de la porte. » PERRAULT, Charles, Mémoires de ma vie, précédé de « Un moderne paradoxal », essai d’Antoine Picon, Paris, Macula, 1993, p. 208-209. Questionnaire Q ti i a. La devise latine Nec pluribus impar, de traduction controversée, est le plus souvent interprétée ainsi : « sans égal » ou « au-dessus de tous ». Quel est d’après vous le sens de cette

Isabelle POITOU Le 20 décembre 2004 Directeur de thèse : Mr. Le Professeur Alain MOTTE JURY M. Jean-Claude Landry, Ecotoxicologue, directeur de l’environnement. Canton de Genève M. Alain Motte, Professeur, Université Aix-Marseille III M. Bernard Picon, Directeur de recherche au CNRS, rapporteur M. Serge Thibault, Professeur Université de Tours, rapporteur Nardo Vicente, Professeur, Université Aix Marseille III L’Institut d’Aménagement Régional n’entend donner aucune approbation ni improbation

Petitjean et C. Ledoux : Nature 408, 931 (2000) [40] M. Milgrom : Ap. J. 270, 365 (1983) [41] A. Albrecht : astro-ph/9904185 [42] N. Arkani-Hamed et al. : Phys. Rev. Lett. 85, 4434 (2000) LY T PO HN EC UE IQ 389 [43] C. Armendariz-Picon, V. Mukhanov et P. J. Steinhardt : Phys.Rev.Lett. 85, 4438 (2000) ÉC [44] J.D. Barrow et F.J. Tipler The Anthropic Cosmological Principle (Oxford University Press, Oxford, 1988) ; C.J. Hogan : Rev.Mod.Phys. 72, 1149 (2000) ; pour un point de

Lacoste, Paris, 1995. MAUROIS (André) Prométhée ou la vie de Balzac, Paris, Flammarion, 1974, 697 p. MEININGER (Anne-Marie), « Réalisme et réalités », Europe, 1965, MENARD (Maurice), Balzac et le comique dans La Comédie humaine, PUF, Paris, 1983. PICON (Gaëtan) Balzac, Paris, Seuil, 1956. PIERRE (C.)- Dans Balzac. Le Seuil, Paris, 1986. RIEGERT (Guy) Le père Goriot, Hatier, Paris, 2003. SIPRIOT (Pierre) Honoré de Balzac 1799-1850, Paris, l’Archipel, 1999, 460 pages. 472 2. Bibliographie

marques se trouvent souvent des deuxièmes ou troisièmes marques des marques établies, cherchant à couvrir ou à bloquer des tranches de marché annexes à ceux de la marque première. C’est ainsi que Bonbel lança Cousteron et la Vache qui rit, la Vache Picon, marques secondaires protégeant les flancs de leur marché. © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit 73 DE LA STRATÉGIE MARKETING AUX INSTRUCTIONS CRÉATIVES Lancer, entretenir, améliorer, réparer, tels sont les leitmotivs des objectifs

ce voyage. Tant que nous restâmes dans les eaux d’Europe, ça ne s’annonçait pas mal. Les passagers croupissaient, répartis dans l’ombre des entreponts, dans les W.-C., au fumoir, par petits groupes soupçonneux et nasillards. Tout ça, bien imbibé de picons et cancans, du matin au soir. On en rotait, sommeillait et vociférait tour à tour et semblait-il sans jamais regretter rien de l’Europe. Notre navire avait nom : l’Amiral Bragueton. Il ne devait tenir sur ces eaux tièdes que grâce à sa peinture. Tant

ce voyage. Tant que nous restâmes dans les eaux d’Europe, ça ne s’annonçait pas mal. Les passagers croupissaient, répartis dans l’ombre des entreponts, dans les w.-c., au fumoir, par petits groupes soupçonneux et nasillards. Tout ça, bien imbibé de picons et cancans, du matin au soir. On en rotait, sommeillait et vociférait tour à tour et semblait-il sans jamais regretter rien de l’Europe. Notre navire avait nom : l’Amiral Bragueton. Il ne devait tenir sur ces eaux tièdes que grâce à sa peinture. Tant