Pie bavarde

minutes, une jeune fille entrait, achetait pour quelques sous de marchandise. Thérèse servait les clientes avec des paroles toujours semblables, avec un sourire qui montait mécaniquement à ses lèvres. Madame 45 Raquin se montrait plus souple, plus bavarde, et, à vrai dire, c’était elle qui attirait et retenait la clientèle. Pendant trois ans, les jours se suivirent et se ressemblèrent. Camille ne s’absenta pas une seule fois de son bureau ; sa mère et sa femme sortirent à peine de la boutique. Thérèse

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cinq minutes, une jeune fille entrait, achetait pour quelques sous de marchandise. Thérèse servait les clientes avec des paroles toujours semblables, avec un sourire qui montait mécaniquement à ses lèvres. Mme Raquin se montrait plus souple, plus bavarde, et, à vrai dire, c’était elle qui attirait et retenait la clientèle. Pendant trois ans, les jours se suivirent et se ressemblèrent. Camille ne s’absenta pas une seule fois de son bureau ; sa mère et sa femme sortirent à peine de la boutique. Thérèse

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cinq minutes, une jeune fille entrait, achetait pour quelques sous de marchandise. Thérèse servait les clientes avec des paroles toujours semblables, avec un sourire qui montait mécaniquement à ses lèvres. Mme Raquin se montrait plus souple, plus bavarde, et, à vrai dire, c'était elle qui attirait et retenait sa clientèle. Pendant trois ans, les jours se suivirent et se ressemblèrent. Camille ne s'absenta pas une seule fois de son bureau; sa mère et sa femme sortirent à peine de la boutique. Thérèse

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**** je dormais profondément, et comme un bébé dans la chaleur de mon plaid, ma tête enfoncée dans un oreiller moelleux. C'est lentement mais sûrement que je me réveillais, de bonne humeur et en forme contrairement a la veille. Les cheveux en nid de pie je me redressais en sentant ma bouche pateuse et ma gorge sèche me démanger. Je voyais autour de moi tout les autres encore endormis... Violette sur le canapé recroquevillée sur elle même en train de tenir sa peluche dans ses bras et a moitié caché

; elle est trop attentive à ses petites réussites ; il lui manque « l’oubli de soi » (page 615). S’il y a de plus en plus de femmes créatrices, celles-ci ont souvent une attitude négative : elles ne s’attachent pas assez au réel, ont une écriture bavarde, ne prennent pas la création au sérieux. Elles confondent charme et talent, se concentrent sur l’expérience de leur moi, n’aiment pas la critique. Peu d’entre elles persévèrent. Beauvoir constate avec tristesse que les hommes restent les plus doués

des soucoupes (volante / volantes) ……………………………………………………… 3 Dans chaque groupe nominal, souligne le ou les adjectifs. un élève absent – une bonne tarte sucrée – une belle plante verte – une journée ensoleillée – un plat appétissant – une voisine bavarde – une amie fi dèle – un vieux pantalon vert 4 Recopie les groupes nominaux dans la colonne du tableau correspondante. des enfants joyeux – un vent glacial – des avions rapides – un vase fragile – une chaise longue – des feux rouges Groupe nominal