Pieds nus

complément de lieu + ? Comme + Sujet (bucolique) + Verbe + Complément de lieu + ! c) Une beauté naturelle et sauvage L'auteur utilise « décoiffée », « déchaussée » et « pieds nus » pour nous faire comprendre que l'inconnue ne porte aucun artifice si ce n'est ses vêtements. Il n'emploie que des parties nues du corps (pieds nus, cheveux, yeux, lèvres). Cette nudité partielle n'est pas commune au XIXeme siècle. L'aspect sauvage de la scène est montré par l'utilisation de « belle folâtre », « effarée »

2 hémistiches, mettant ainsi l'accent sur les adjectifs négatifs formés du préfixe « dé ». La jeune femme n'est pas coiffée, elle n'est donc surement pas maquillée non plus, ce qui est rare pour une femme du XIX° siècle. Elle est également v2 « pieds nus » et a v16 « ses cheveux dans les yeux ». C'est une jeune femme assez v15 « sauvage », mais d'une immense beauté. Tout au long du poème elle ne prononcera aucun mot, c'est seulement le personnage masculin qui parlera. Le champ lexical du regard présent

Etude de texte n°1  : « Elle était déchaussée », Les Contemplations , Victor Hugo Topos : Image récurrente en poésie Onirique → onus(latin) : rêve locus amoenus  : Lieu qui n’est pas troublé, fait pour l’amour) Thèmes  : Nature, beauté, idéalisation, admiration, sentiments amoureux Le poème « Elle était déchaussée »

| danses pour les filles ainsi que pour les hommes (mais le buste est découvert pour les hommes) et des plumes (pour symboliser les cygnes) sur la tête. Les danseurs étaient pieds nus. L’interprétation du lac des cygnes que nous propose Dada Masilo est on ne peut plus burlesque, tout en conservant une part de drame et de philosophie profonde. En effet, le spectacle débute par une parodie du ballet classique : le narrateur nous

JARDINIER. – Votre famille habitait Argos ? L’ÉTRANGER. – Et je me rappelle aussi beaucoup, beaucoup de pieds nus. Aucun visage, les visages étaient haut dans le – 9 – ciel, mais des pieds nus. J’essayais, entre les franges, de toucher leurs anneaux d’or. Certaines chevilles étaient unies par des chaînes ; c’était les chevilles d’esclaves. Je me rappelle surtout deux pieds tout blancs, les plus nus, les plus blancs. Leur pas était toujours égal, sage, mesuré par une chaîne invisible. J’imagine

l’intimité de ces deux personnages nus qui s’embrassent mélangé à une forme de froideur s’émane du tableau. Francois Gérard Francois Gérard était fasciné par l’art néo-classique de son maitre Jacques-Louis David, duquel il s’est inspiré durant sa carrière. Psyché et l’amour est une oeuvre qu’il a présenté au Salon en 1798. Ce tableau est un épisode réel, il retranscrit en peinture l’histoire de deux amants : Psyché et Eros, aussi appelé Cupidon. Les deux personnages nus se trouvent au premier plan

l’esquisse foncée on peut deviner que la scène se déroule en fin d’après-midi et apriori, durant l’été. Cette scène représente donc deux jeunes hommes, l’un vêtu d’un costume rouge a manches bouffantes, jouant du luth, et l’autre habillé simplement, les pieds nus. Ils sont accompagnés de deux femmes entièrement dévêtues, l’une verse de l’eau dans une fontaine à l’aide d’un vase, et l’autre nous tourne le dos et joue de la flute. A l’arrière-plan, sous un bosquet d’arbres, un berger garde ses moutons. Je vais

Description visuelle : -Description de l’œuvre : Les civils, les victimes, sont clairement séparés des soldats, leurs bourreaux. Il y a un contraste majeur entre les deux groupes est visible : -les civils ne portent pas de vêtements, ils sont nus, dessinés avec des formes rondes et des lignes courbes (des femmes et des enfants seulement). - en totale opposition avec soldats qui sont des hommes, visages cachés, lignes droites et cassantes, casqués, évoquant la destruction, la violence, l'agressivité

Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine, Qu'ils sont doux, tes pas retenus ! Dieux !... tous les dons que je devine Viennent à moi sur ces pieds nus ! Si, de tes lèvres avancées, Tu prépares pour l'apaiser, A l'habitant de mes pensées La nourriture d'un baiser, Ne hâte pas cet acte tendre

état ». Charlotte entendit le bruit d'une porte que l'on ferme violemment, puis un long sanglot glissa en dehors du salon. Elle sortit de sa chambre sur la pointe des pieds, et marcha doucement jusqu'au salon. Elle aimait marcher sur la moquette Charlotte, c'était doux et chaud, et ça lui chatouillait les pieds quand elle était pieds-nus comme maintenant. Maman était dans un coin du salon, recroquevillée sur elle-même et elle pleurait. Pour Charlotte maman, c'était Maman et papa, Papa. Ils n'avaient