Pierre Bergé

L’étang est un biotope artificiel créé par l’homme, utilisé depuis toujours pour sa production piscicole. L’eau y est stockée grâce à sa digue. Un trop-plein, appelé déversoir, permet d’évacuer l’eau excédentaire durant les longues périodes de pluie. La zone la plus profonde correspond au vannage qui rend possible de vider l’étang afin de prélever les poissons présents ou tout simplement de les recenser. C’est en automne que les pêches d’étang se réalisent. La manipulation des poissons est facilitée

pale est dans l’eau -Chaque binôme -Il n’y a plus d’erreur sur décide lui-même le sens de la pale quand il veut alterner -Le kayak se déplace 30’ -Remontée la rivière Consigne d’aller d’une berge à l’autre - Alterner les deux berges en avançant -Avoir un repère fixe à chaque fois sur la berge -Regard sur l’objectif -Atteindre le repère à chaque fois (à 1mètre près) -L’animateur donne les repères -Etre capable d’avancer vers un objectif -Jeu de l’épervier : Tous les joueurs sont

qualité de la lumière. 3) Lépine représente une scène de la vie populaire parisienne. Sur la berge, on distingue un tas sombre. Il s’agit peut être de charbon que les charrettes viennent emporter. Cette scène permet au peintre d’illustrer une activité commerciale avec quelques personnages au travail. 4) La moitié droite du premier plan se trouve largement découverte. Lépine a mis en évidence la berge sur le côté de la Seine ainsi que le quai orné d’arbres. On retrouve le pont Marie en second plan


De la lointaine Shalott. Son large front clair rayonnant sous le soleil,
Sur ses sabots brillants son cheval avançait ; 
De dessous son casque fleurissaient 
Ses boucles noires alors qu'il chevauchait
Alors qu'il chevauchait vers Camelot.
De la berge et de la rivière
Il entra comme un éclair dans le miroir de cristal,
« Tirra Lirra » près de la rivière
Chanta Messire Lancelot. Elle laissa son tissu, elle laissa son métier à tisser,
Elle fit trois pas à travers la pièce,
Elle vit la fleur de nénuphar

sauver à la nage; puis aussitôt cette idée me fit frissonner d'épouvante. Je me vis, perdu, allant à l'aventure dans cette brume épaisse, me débattant au milieu des herbes et des roseaux que je ne pourrais éviter, râlant de peur, ne voyant pas la berge, ne retrouvant plus mon bateau, et il me semblait que je me sentirais tiré par les pieds tout au fond de cette eau noire … J'essayais de me raisonner : je me sentais la volonté bien ferme de ne point avoir peur, mais il y avait en moi autre chose

Edmond et Jules de GONCOURT, Manette Salomon (1867), Paris, Gallimard, 1996, p. 182-183. 5 10 15 20 25 30 35 On goûtait la journée, la fatigue, la vitesse, le plein air libre et vibrant, la réverbération de l’eau, le soleil dardant sur la tête, la flamme miroitante de tout ce qui étourdit et éblouit dans ces promenades coulantes, cette ivresse presque animale de vivre que fait un grand fleuve fumant, aveuglé de lumière et de beau temps. Des paresses, par instants, prenaient le canot qui s'abandonnait

grand domaine vital, de 5 à 40 km de cours d'eau (jusqu'à 80 km pour un mâle) et de 2 à 4 km sur les côtes marrines et jusqu'à 1 300 m d'altitude dans les marais set éventuellement près des côtes. Elle emprunte régulièrement les même passages sur la berge pour se mettre à l'eau : les « coulées ». Lorsqu'elle sort de l'eau, elle se roule dans l'herbe pour essuyer se fourrure, sur des zones reconnaissables à l(herbe couchée et appelées « places de ressui ». Elle fait sa tanoère (qu'on appelle une « catiche »)

monsieur G. Monville 20 26, Route d’Yvetôt Commune de Hautot-le-vatois (76) Clémentine Ledé – Ombline Lebon – Louise Milliard – Lucile Carcenac (2nd 3) Thème : Mares, Verger, Prairies I- La mare De forme rectangulaire, bétonné sur la berge pour nettoyer et refroidir les chevaux après le travail, aussi pour abreuver les chevaux et les bovins et pour éviter l’érosion* des berges car elle arrivait au pied du bâtiment. Autrefois plusieurs mares, une au milieu de la cours à côté de la maison

1 : Le projet implique des travaux conduisant à modifier le profil en long sur plus de 600m et de modifier le profil en travers, en faisant passer la section de 7.8m2 en moyenne à 20 à 45m2 en moyenne. • 3.1.1.0 : La pose de micro-seuils en pierre et de batardeaux à certains points du cours d’eau entraîne une différence de niveau qui sera susceptible de créer un obstacle à la continuité écologique, bien que celles-ci soit compensée par l’implantation de rampes piscicoles. • 2.1.1.0 :

Œuvre éphémère Dates de vie de l’artiste : Technique/ procédé : boue, précipités de sel, roches , enroulement en spirale dans la grand lac salé Utah, USA Genre : Land’Art Description sommaire : très grande spirale de roches et de sel partant d’une berge du lac salé œuvre évolutive Composition : en spirale Couleur : l’artiste jour sur la polychromie du site Lumière: les images prises d’hélicoptère par Smithson couleurs des matières elles-mêmes en fonction de la donnent quelquefois l’illusion d’un développement