Pierre et Jean

------------------------------------------------- Yves Bonnefoy ------------------------------------------------- PAR JEAN PIERRE RICHARD ------------------------------------------------- Onze études sur la poésie moderne ------------------------------------------------- Augmenté de notes à partir de L’Arrière-pays - Univers poétique de Bonnefoy s’amorce par la voie mauvaise, voie maléfique, et enchanteresse du concept. Utilise notions primitives dont l’opacité se meut peu à peu en transparence ;

Rapport de M. Jean Pierre Sueur sénateur du Loiret Il s’agit là d’un rapport fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universelle, du Règlement et d’administration générale sur la proposition de loi adoptée par l’Assemblée nationale le 22 décembre 2011, ce texte propose de punir d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende les personnes qui contestent ou minimisent de façon outrancière publiquement l’existence d’un ou plusieurs crimes de génocide

Travail d’écriture Après avoir lu « Un secret » de Philippe Grimbert et « Pierre et Jean » de Maupassant, nous pouvons constater plusieurs ressemblances du point de vue du thème, de la construction de l’œuvre et des personnages concernant ces deux œuvres. Voyons tout d’abord le thème principal de ces deux œuvres, il s’agirait d’un secret de famille ne voulant pas être révélé mais étant soupçonné par le personnage principal. Ces deux romans réalistes expriment en sous thème l’adultère, la jalousie

Pierre et Jean (Maupassant) Chapitre V(p122) Hypothèse : Pierre est en train de vérifier que ses soupçons sont justifiés, que la famille unie repose sur un odieux mensonge qui est la relation adultérine de Mme Roland et du fils naît de cette union. Le portrait joue ici un rôle de révélateur. Pierre est double, paradoxal : il veut découvrir la vérité et la cacher. Il y a un geste significatif de Pierre, son départ annonce le dénouement du récit  mise en abyme. C’est un moment clef qui clarifie

Commentaire littérairePierre et Jean En quoi cet incipit traditionnel correspond-il bien à un début de roman réaliste ? Pierre et Jean est un roman naturaliste écrit par Guy de Maupassant publié en 1888. Cet œuvre est célèbre pour son incipit, où il nous donne sa conception du roman réaliste. Le roman raconte l’histoire de la famille Roland, de l’éclatement de cette famille en apparence unie, par l’annonce de l’héritage d’un seul des deux fils. Il dresse dès le départ le décor d’une histoire de jalousie

Pierre ne donna aucune nouvelle de lui pendant un mois. Personne ne savait s’il allait bien, comment se passait son voyage sur le paquebot, si ce qu’il faisait lui plaisait, on ne savait rien... Madame Roland attendait chaque jour que quelqu’un ou quelque chose lui dise que Pierre allait bien. Après l’annonce du mariage de Jean et madame Rosémilly à monsieur Roland, tout se passa très vite. La mère ne voulait pas que le mariage se fasse dans un an, alors c’est elle-même qui avait tout organisé

dans le but d’éviter aussi une déception de la part du père, qui pour lui, le nombre de poissons est très important. Ensuite, lorsque Mr Roland demande à ses fils, Jean et pierre combien de poisson ont-ils péchés, tous deux, par des mensonges, lui réponde «  oh ! Pas grand chose, trois ou quatre ! » (l46) ou encore « à peu près comme Pierre, quatre ou cinq » (l51) de façon à ce que le Père de famille ne soit pas trop déçut. Il y aurait Une certaine complicité Entre les deux personnages éponymes (l15

Maupassant, Préface à Pierre et Jean. Problématique : Quels sont les moyens retenus par l’auteur pour rendre accessible sa réflexion critique sur l’écriture réaliste ? Plan : 1) Un contenu argumentatif dense et ordonné 2) Des moyens de persuasion pédagogiques et efficaces 1) Un contenu argumentatif dense et ordonné a) Aller à l’encontre d’une définition simple et sommaire Maupassant part de l’opinion générale, cette préface consiste à définir le réalisme par ce qu’il n’est pas

PIERRE ET JEAN chapitre 6 | Jean maintenant ne trouvait rien, mais il la suivait pas à pas, la frôlait, se penchait sur elle, simulait un grand désespoir de sa maladresse, voulait apprendre. « Oh ! montrez-moi, disait-il, montrez-moi ! » Puis, comme leurs deux visages se reflétaient, l'un contre l'autre, dans l'eau si claire dont les plantes noires du fond faisaient une glace limpide, Jean souriait à cette tête voisine qui le regardait d'en bas, et parfois, du bout des doigts, lui jetait un baiser

Les nouvelles organisations du travail Jean-Pierre DURAND, LA CHAINE INVISIBLE. Travailler aujourd’hui : flux tendu et servitude volontaire Editions du Seuil, Paris, Janvier 2004 A l’origine de cet ouvrage, se trouvent les différents travaux de recherches réalisés par l’auteur, notamment dans l’industrie automobile mondiale et les services. A travers cet essai, il nous fait découvrir comment le nouveau