Pierre-Narcisse Guérin

source d'inspiration. En 1808, la mère du jeune Théodore meurt, elle lui laisse un héritage qui lui permet d'entrer dans l'atelier de Carle Vernet, spécialisé dans l'étude des chevaux et des scènes de chasse. En 1810, il rejoint l'atelier de Pierre-Narcisse Guérin, peintre néo-classique qui initiera aussi d'autres romantiques tels que Delacroix, Scheffer ou encore Léon Cognet. L'année suivante, le peintre s'inscrit à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris puis entreprend une liaison amoureuse avec Alexandrine

| | | |CASALIS Pascale | |( 0147931978 0686927530 | |Non | | |4 rue Pierre Durand | | | | | |Pas dispo pas le mercredi pas vacances scolaire | | |

normande, décident en 1796 de s’installer à Paris où Théodore fait ses études au Lycée impérial, comme Eugène Delacroix qui se lie d’une forte amitié. La 5 février 1811, il rentre à l’école des Beaux-Arts de Paris et est formé par Carle Vernet et Pierre-Narcisse Guérin. Il a été inspiré par Antoine-jean Gros. D’avril 1820 à novembre 1821 il quitte Paris pour l’Angleterre où il y découvre de grands paysagistes anglais comme Turner. C’est là-bas qu’il y découvre aussi les courses de chevaux c’est ce qui l’a

un brevet de sous-lieutenant au régiment de Navarre à 17 ans, sous les ordres de son frère Jean-Baptiste (lequel le présentera à la Cour), puis est fait capitaine à 19 ans. Il vient à Paris en 1788, où il se lie avec Jean-François de La Harpe, Jean-Pierre Louis de Fontanes et autres écrivains de l'époque, et fait ses débuts littéraires en écrivant des vers pour l'Almanach des Muses. Il est alors nourri de Corneille et marqué par Rousseau. Il se marie en 1792 avec Céleste de La Vigne-Buisson (Céleste

G. Friedrich Le cauchemar, de Fussli La mort d’Ophélie, de Delacroix Le colosse ou la panique, de F. Goya La liberté guidant le peuple, de Delacroix La mort de Sardanapale, de Delacroix Lecture de l’image 1 Boutin-Lucien Alexis Jenoudet Pierre-Maximilien DOSSIER ART : LE ROMANTISME 2NDE4 LE PROMENEUR AU-DESSUS DE LA MER DE NUAGES Caspar David Friedrich 2 Introduction : On a vu que dans la littérature le romantisme fut un renouveau avec de nouvelles techniques d’écriture. Nous

Identifier les lieux dans le récit : la place des servantes, les salles communes, le rôle de l’ombre. • Retrouver le plan d’un palais athénien. Identifier la place de la lumière et de l’ombre. Activité 2 : lecture de l’image. • Phèdre et Hippolyte, Pierre-Narcisse Guérin (Paris, 1774 - Rome, 1833). Huile sur toile (46 cm x 33 cm), vers 1802. Paris, Musée du Louvre. • La mort d'Hippolyte, Peter Paul Rubens (Siegen, 1577 - Anvers, 1640). Huile sur cuivre (50,2 x 70,8 cm) vers 1611. Londres, The National Gallery

Gegenwart / dir. Maria Moog-Grünewald. Stuttgart, J. B. Metzler, 2008. IX-749 p. (Der neue Pauly. Supplemente ; 5) Salle F – Art – [030.701 1 PAUL sup 5] Mythes grecs au figuré : de l'Antiquité au Baroque / sous la dir. de Stella Georgoudi et Jean-Pierre Vernant. [Paris], Gallimard, 1996. 234 p. (Le temps des images) Salle J – Religion – [292.081 3 GEOR m] Répertoires et manuels de mythologie classique Belfiore, Jean-Claude Dictionnaire de mythologie grecque et romaine. Paris, Larousse, 2003

un brevet de sous-lieutenant au régiment de Navarre à 17 ans, sous les ordres de son frère Jean-Baptiste (lequel le présentera à la Cour), puis est fait capitaine à 19 ans. Il vient à Paris en 1788, où il se lie avec Jean-François de La Harpe, Jean-Pierre Louis de Fontanes et autres écrivains de l'époque, et fait ses débuts littéraires en écrivant des vers pour l'Almanach des Muses. Il est alors nourri de Corneille et marqué par Rousseau. Il se marie en 1792 avec Céleste de La Vigne-Buisson (Céleste

Autoportrait au gilet vert (1837) | | | | Naissance | 26 avril 1798 Charenton-Saint-Maurice, République française | Décès | 13 août 1863 Paris, Empire français | Nationalité | Français | Activité(s) | Peintre | Maître | Pierre-Narcisse Guérin | Mouvement artistique | Romantisme | Œuvres réputées | La Mort de Sardanapale, La Barque de Dante, La Liberté guidant le peuple, Femmes d'Alger dans leur appartement, Scène des massacres de Scio | Influencé par | Géricault, Antoine-Jean

à 17 ans, sous les ordres de son frère Jean-Baptiste (lequel le présentera à la Cour pour qui il ressent « un dégoût invincible »), puis est fait capitaine à dix-neuf ans. Il vient à Paris en 1788, où il se lie avec Jean-François de La Harpe, Jean-Pierre Louis de Fontanes et autres écrivains de l'époque, et fait ses débuts littéraires en écrivant des vers pour l'Almanach des Muses. Il est alors nourri de Corneille et marqué par Rousseau. En janvier 1789, il participe aux États de Bretagne, en juillet