Pierre ou les Ambiguïtés

Lecture analytique numéros 1 : extrait de l'acte 1 scène 2 vers 121-162 Introduction : Pierre Corneille est auteur dramatique français, né en 1606 à Rouen et mort 1684. → qualifie L'illusion comique d' « étrange monstre » → Pour celui qui s'imposera par la suite comme le maître de la tragédie classique la pièce est assez déroutante et ne semble respecter aucune règle, ni de genre ni de vraisemblance. → Premier acte : Pridamant, conduit par Dorante, vient consulter le mage Alcandre

Double-sens possible du mot « air » (air que l'on respire ou air que l'on chante) d'où une contradiction flagrante : un chant dans un nuit sans « chant » ! * Thème de l'enterré vivant : enjambement « Tout vif/ Enterré, là », « froid, sous sa pierre » * Un monde plongé dans l'obscurité : « nuit », « ombre », « sombre ». La lumière est circonscrite à la « lune », une « plaque en métal clair » et à l'œil « de lumière », difficile à apercevoir (« Vois-tu pas son œil de lumière…/ Non »)

considérable que celles-ci prennent à Rome à l’époque, Verres finit proscrit en – 43 sur ordre d’Antoine qui convoitaient certaines de ces œuvres. II- L’art et Rome : une relation totalement ambiguë: L'art romain est caractérisé par une certaine ambiguïté. En effet, la réception de l'art est assez paradoxale. Longtemps l'imaginaire romain préférait croire en leur préférence en l'utile et le nécessaire que le beau ou l'agréable. C'est pourquoi certaines lois (lois somptuaires) mettaient en place un

La première partie du siècle est caractérisée par des romans très longs et très complexes. À l'âge classique ces romans se transforment en nouvelles. . Madame de La Fayette écrit La princesse de Clèves, Ce roman représente d'ailleurs bien les ambiguïtés du classicisme car il s'éloigne des romans sentimentaux par son volume modeste et la sobriété de son écriture. Madame de La Fayette était en effet une grande précieuse et son souci n'était pas de s'opposer en tout à une période qui l'aurait précédée

cet air-là, Suzon? moi qui l'ai toujours protégé." Le lecteur devine très bien, derrière l'apparente réprobation de la timidité du page, la satisfaction d'amour propre ressentie par la Comtesse. L'actrice jouant le rôle s'efforcera de rendre cette ambiguïté par un ton de voix, un jeu de physionomie indiquant la coquetterie. Répliques à la tonalité ambiguë, susceptibles de recevoir plusieurs interprétations selon le choix de l’interprète : Parfois, le ton à donner au texte est plus difficile à déterminer

que par le juge d’instruction ? Quels sont les différents points de vue en présence à propos de cette question ? La travail débutera par une analyse de l’évolution de la position de la Cour strasbourgeoise à travers différents arrêts ainsi que des ambigüités qui subsistent dans son point de vue. Sa position actuelle sera ensuite confrontée à la position adoptée par la Cour de cassation en Belgique. Seront aussi abordées sans ce premier chapitre les difficultés à appliquer les exigences de la Cour européenne

scruter chacun de vos articles sur le sujet qui m’ont apportés une précieuse aide. Merci à vous. Simone MANON dit : 17 octobre 2009 à 18 h 30 min Ce thème sartrien est en effet difficile. Avez-vous lu le commentaire du texte de Hegel dans « ambiguïté de la condition humaine »? Il vous permet de vous approprier les concepts de pour soi et d’en soi et de comprendre que par la conscience l’homme ne cesse de nier ce qu’il est sur le mode du donné pour se faire exister comme il se projette. La conscience

humain : "sourire de givre", "muscles d'acier", "peau patinée" -> personnification, la ville était paraît presque humaine. "beauté" : premier mot qui décrit la ville "ta beauté" -> renvoie à la beauté des femmes new-yorkaise. Apposition : ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" / métonymie : mélioratif "d'or" pour blondes. Champ lexical du froid : "métal bleu", "beauté froide" => le premier abord de la ville est froid, et impressionnant (anaphore

d'abord eu une première lecture par l'Assemblée National puis une lecture par le Sénat. La promulgation de la loi le 10 octobre 1981. Projet de loi N° 310. Enregistré à la Présidence de l'Assemblée Nationale le 29 août 1981.présenté. Au nom de M. PIERRE MAUROY, Premier ministre, et par M. ROBERT BADINTER, Garde des Sceaux, ministre de la Justice. Exposé des motifs : « Un pays épris de libertés ne peut, dans ses lois, conserver la peine de mort. C'est un impératif pour la liberté que de n'accorder

journalistes aux critiques féroces. La presse s'acharne sur ces campagnes. Naissent alors des titres accrocheurs tels "discours sur le discours ou discours manipulateur ?" ou encore " Benetton, par qui le scandale arrive" ; mais aussi des prises de position. Pierre Grosjean** avoue qu’il "ne porte pas des vêtements Benetton" alors qu'il approuve l'audace du photographe. Challenge choisit un titre révélateur et alléchant pour sa couverture "La pub qui tue", le Canard Enchaîné juxtapose deux affiches : l'une présentant