Pilastre

basilique Saint- Pierre ont été en parties construites sur les cirques de Caligula et du Néron. 5) La place Saint-Pierre est de forme circulaire. 6) Sur la place Saint- Pierre, qui est bordée de quatre rangs de 284 colonnes, il y a en tout 88 pilastres et 140 statues représentants des saints. Sur la place en elle même, il y a seulement deux grandes fontaines de Maderno et du Bernin qui encadrent un obélisque provenant de l’ancien cirque de Caligula. La place Saint- Pierre 7)Au sous-sol de la

ambassadeurs et dignitaires des cours étrangères. La pièce possède deux portes et deux fenêtres. Mantegna créé une réelle illusion en se servant de l’architecture de la pièce pour créer l’architecture fictive de ses fresques. Les fresques sont entourées de pilastres qui donnent l’illusion de soutenir une voûte. L’effet favorisant le plus cette création d’illusion et le retournement de la position de spectateur est le plafond avec Oculus, fameux trompe-l’œil. C’est le spectateur qui est sujet de l’action et

vestibule éclairé comme un puits par une lucarne au-dessus d'une structure de quatre colonnes à fût lisse sur lesquelles reposent des petits arcs en plein cintre. Dans ce vestibule, on peut admirer le magnifique buste en marbre d'Apollon, soutenu par un pilastre d'où jaillissait l'eau que recueillait une vasque ronde placée sur un pilier[]. De ce vestibule on accède aux diverses parties, toutes parfaitement conservées. Une salle unique, en grande partie occupée par la piscine, faisait fonction soit d'apodyterium

été édifiée en 1811sur la place du château d'eau (l'actuelle place de la république puis transférée en 1869 a la villette et servait d'abreuvoir pour le bétail. ). L'élévation du " château d'eau" est enrichie de bas-reliefs et flanquée de deux pilastres qui servent de piédestaux a des figures de lions d'où l'eau jaillit. La fontaine aux lions de la place Félix Éboué, conçue par Davioud sur des indications du baron Haussmann, sera installée place du Château-d'Eau (actuelle place de la république)

des Murs en brique avec placages de marbre, décors de pierres appareillées, bossages... On utilise couramment berceaux et coupoles; les ordres empruntés à l'Antiquité entrent dans la composition des façades et dans le décor intérieur. Colonnes et pilastres engagés sont remis en honneur. Les façades des palais sont surmontées d'une corniche à frises; les escaliers prennent tout leur développement intérieur. Enfin, fresques ou peintures parent églises et palais, soulignées par les cadres de marbre ou

comprise entre le portail et le choeur d’une église dans le sens longitudinal, où se tiennent les fidèles.     ORATOIRE : lieu destiné à la prière, petite chapelle.     PÉDICULE : petit pilier court supportant des fonts baptismaux, un bénitier.     PILASTRE : pilier engagé, colonne plate engagée dans un mur ou un support et formant une légère saillie.     PORTAIL : le portail d’une église comprend la porte, son embrasement et son appareil architectural.     RAMPANT : incliné, disposé en pente.     RETABLE :

celui de la maison en charpente à plan massé, posée sur un soubassement en moellons avec une couverture à quatre pans fortement inclinés, dite " toiture à la française ". A la fin du XVIIIe siècle, le néoclassicisme. Colonnes toscanes, piliers, pilastres, moulurations, losanges, bandeaux d'attiques. Dans les années 1820 - 1830 les formes architecturales évoluent et apparaît l'un des grands principes architecturaux des maisons créoles traditionnelles, maison dotée d'une façade écran.         Les

épisodes bibliques et évangéliques. Les architectes classiques sont des admirateurs de l'Antiquité gréco-romaine. Ils y empruntent une grande partie de leurs éléments de décoration : le fronton, les colonnes à chapiteaux ioniques ou corinthiens, les pilastres et le dôme. Les bâtiments présentent des lignes droites qui privilégient l'horizontale, les colonnes apportant l'élément vertical conférant la stabilité. L'harmonie est renforcée par la symétrie. La décoration est sobre. Pour rompre la monotonie

de gravure. En réalité, cette opération est superflue car le graveur avait déjà inversé son dessin. La composition en fresque présente, de gauche à droite, la marchande, la maitresse de maison et la suivante. Le décor évoque l’antiquité avec un pilastre dorique, la chaise aux pieds cannelés et un dossier courbé. Les couleurs éteintes, presque pastels et la blancheur des carnations ajoutent à l’effet de sobriété de la composition. Une description de Diderot évoque la délicatesse des personnages par

traverser pour arriver au Paradis. Sur cette peinture on retrouve plusieurs éléments qui viennent de l'antiquité, ce qui est typique pour la Renaissance: voûtes en berceau, plafond à caissons, arc de Triomphe, colonnes, chapiteaux et entablement à pilastres. Ce qui est nouveau c’est la perspective linéaire. Le point de fuite se trouve au pied de la croix ce qui a pour conséquence que le croyant ce sent tout petit. Pour l’observateur contemporain qui est habitué aux œuvres médiévales cette fresque