Pioneer 10

11 juillet 1792, en tant que militant renommé du club des jacobins, il pousse l'Assemblée à déclarer la « Patrie en danger ». Le 29 juillet 1792, il demande la déchéance du roi. Nommé représentant de la Commune au lendemain de la prise des Tuileries (10 août 1792), il siège ensuite à la Convention comme élu du peuple parisien.  Mis hors la loi après la chute du régime de la Terreur dont il était l’un de principaux revendicateurs, il refusa de patronner l'insurrection populaire, fut arrêté et guillotiné

ou suffrage universel par exemple. Il est également contre la peine de mort. Pourtant, lorsqu’il prononce son discours du 3 décembre 1792, il affirme clairement que « Louis doit mourir. » A cette époque, le roi était emprisonné. Depuis la nuit du 10 août 1792, la Révolution s’est renforcée, les gardes Suisses du château des Tuileries sont massacrés, la Commune insurrectionnelle de Paris soutient les Montagnards à l’Assemblée, des massacres ont lieu à Paris en septembre et le 20 novembre 1792, on

laquelle il aura trois enfants. Clerc en 1780 à Paris, puis avocat en 1787. Fondateur et orateur très écouté du club des Cordeliers. Il est l’un des organisateurs de la pétition de la manifestation du Champ de Mars. Il a un rôle essentiel dans l’émeute du 10 août 1792 qui renverse la monarchie. Il est élu à la Convention puis nommé au comité du Salut Public où il s’oppose à Robespierre. Il est le président de la Convention en été 1793 où il fait voter la levée en masse. Il est arrêté sur ordre de Robespierre

veulent pas que ça se produise dans leur pays et perdre leur pouvoir). La guerre devient inévitable, mais la France est envahie par les armées prussiennes et autrichiennes. L’assemblée fait alors appel à des volontaires, portés par la Marseillaise. 10 août 1792 : les Sans-culottes (ceux qui sont pour la révolution, ils portent un pantalon) accompagnés du peuple de Paris attaquent le palais des Tuileries et conduisent le roi en prison. C’est la fin de la monarchie constitutionnelle. 20 septembre

lutte contre Bailly, le maire de Paris et contre La Fayette. Il s’insurge en janvier 90 pour soustraire Marat aux poursuites judiciaires. Si Danton ne participe pas directement aux grandes « journées » révolutionnaires – 14 juillet, 6 octobre, 20 juin, 10 août – il les arrange, les prépare. Le 13 juillet, il harangue les troupes cordelières. Début octobre, il rédige l’affiche des Cordeliers qui appelle les Parisiens aux armes. Le 16 juillet 1791 dans l’après-midi, la veille de la fusillade du Champ-de-Mars

par les armées révolutionnaires françaises. La bataille de Valmy, le 20 septembre 1792, qui voit la victoire de armées révolutionnaires, permet à la Révolution de continuer, avec la fin de la monarchie constitutionnelle. La monarchie durera jusqu'au 10 août 1792, lorsque le roi Louis XVI sera emprisonné et suspendu de ses fonctions. La République est proclamée le 22 septembre 1792. Le 21 janvier 1793, après un procès devant la Convention Louis XVI est guillotiné.

14 septembre 1791, devant l’Assemblée nationale constituante. Il n’est plus le roi de France mais devient le roi des Français. Ce changement de titre symbolise le transfert de la souveraineté vers le peuple. Mais l’accalmie est de courte durée. Le 10 août 1792, l’arrestation du roi et de sa famille met fin à la royauté. Le procès du roi s’ouvre le 3 décembre. Malgré trois avocats prestigieux (Desèze, Malesherbes, Tronchain), il est reconnu coupable et est condamné à mort. Il meurt guillotiné sur

royauté française à sonné lors du 10 août 1792. Marcel Reinhard nous la présente par le témoignage de l’un des gardes nationaux, présent lors de cette journée, dans son œuvre La Chute de la Royauté publiée en 1969. Ce témoignage est sous forme de lettre, conservée dans la Riland’s Library à Manchester. Elle est adressée à un dénommé René Leprêtre. On peut penser que « l’an 4 de la liberté» exprime la quatrième année ultérieure à l’année 1789, donc la journée du 10 août 1792. Ce jour est appelé « l’Assaut

la force alors, le 20 avril 1792, la France déclare la guerre a l'Autriche et a la Prusse. Le Roi espère retrouver ses pouvoirs et l'assemblée répandre ses idées révolutionnaires. Mais la plus grande journée révolutionnaires arrive par la suite, le 10 août 1792, c'est l’insurrection des tuileries, siège du pouvoir exécutif, le peuple prend le palais des tuileries en raison du manifeste de Brunswick et le roi est déchu, c'est la fin de la monarchie constitutionnelle française. Apres que la monarchie

contesté, se voit obligée de tolérer l’existence de deux Eglise, dont une seule est conforme à la Constitution. L’intervention du Pape rend officiel ce schisme déjà éprouvé par les prêtres français. Par deux brefs intitulés Quod Aliquantum et Caritas (10 mars et 13 avril 1791), Pie VI condamne la Constitution civile du clergé et demande la rétractation des prêtres ayant prêté serment. Il condamne l’Assemblée nationale pour s’être « attribué la puissance spirituelle ». Le Pape opte pour la Contre-Révolution