Place Léon-Blum

gouvernementale des partis de gauche (socialiste : SFIO avec son chef Léon Blum, communiste : PCF fondé au congrès de Tours en 1920 avec son dirigeant Maurice Thorez, radicaux avec Edouard Daladier) mise en place pour les élections législatives de 1936. Cette alliance se crée le lendemain du 6 février 1934 pour lutter contre le mouvement d'extrême droite. Les mots d'ordre sont "le pain, la paix, la liberté", le Front-Populaire. Léon Blum y devient le chef du gouvernement français : président du conseil

législatives est lancé par Léon Blum, directeur politique du journal et aussi président de la SFIO, et Paul Faure le secrétaire général du parti de Blum. Le document que nous avons ici est donc l’appel rédigé par ses deux hommes politiques qui encouragent les électeurs à voter pour la SFIO. Le journal parait le 5 avril 1936, soit trois semaines avant le premier tour des élections. Dans cette lettre ouverte, dans cet appel, la SFIO, aux noms de Paul Faure et de Léon Blum, appelle donc les électeurs

pompe » économique. -La réforme de la Banque de France. C'est ce programme ainsi que l'établissement d'une stratégie électorale commune pour les législatives du printemps 1936, qui portent le Front Populaire au pouvoir le 3 mai 1936. Le gouvernement Léon Blum, constitué le 4 mai, comporte un nombre égal de socialistes et de radicaux. Pour la première fois en France des femmes entrent dans le gouvernement. Avant même la formation de ce nouveau gouvernement, des grèves éclatent accompagnées d'occupation

antifascistes se forment, comprenant des socialistes, des radicaux et des représentants de divers groupes de gauche, mais jamais de communistes. Les clivages idéologiques persistent. Le 9 février, le PCF et la CGTU organisent un grand rassemblement6 place de la République, contre le fascisme et les ambiguïtés du gouvernement. De son côté, la SFIO préfère relayer par une manifestation l'appel de la CGT à la grève générale pour le 12 février. Le PCF décide de se joindre à la manifestation, espérant toujours

antifascistes se forment, comprenant des socialistes, des radicaux et des représentants de divers groupes de gauche, mais jamais de communistes. Les clivages idéologiques persistent. Le 9 février, le PCF et la CGTU organisent un grand rassemblement6 place de la République, contre le fascisme et les ambiguïtés du gouvernement. De son côté, la SFIO préfère relayer par une manifestation l'appel de la CGT à la grève générale pour le 12 février. Le PCF décide de se joindre à la manifestation, espérant toujours

volte-face du Parti communiste 1.3 Le ralliement des radicaux 1.4 La manifestation du 14 juillet 1935 1.5 Un programme électoral modéré et ambigu 2 La victoire électorale et la mise en place du gouvernement de Front populaire 2.1 Victoire et rapports de forces internes au Front populaire 2.2 Le gouvernement Blum 3 Le mouvement de grève de mai-juin 1936 4 Action du gouvernement 4.1 Politique économique et sociale 4.2 Politique coloniale 4.3 Éducation, sports et loisirs 4.4 Politique étrangère

La fin de la première guerre mondiale laisse place à une phase de reconstruction qu’on appelle les « années folles » en France. Cette essor économique des années 20 repose sur les principes du capitalisme et du libéralisme économique mais prend fin brutalement avec le krach boursier d'Octobre 1929 aux États-Unis. La crise d'abord économique et étasunienne devient mondiale et à des répercussions politiques et sociales durant toutes les années 30. Si la crise française est plus tardive que

antifascistes se forment, comprenant des socialistes, des radicaux et des représentants de divers groupes de gauche, mais jamais de communistes. Les clivages idéologiques persistent. Le 9 février, le PCF et la CGTU organisent un grand rassemblement6 place de la République, contre le fascisme et les ambiguïtés du gouvernement. De son côté, la SFIO préfère relayer par une manifestation l'appel de la CGT à la grève générale pour le 12 février. Le PCF décide de se joindre à la manifestation, espérant toujours

populaire français de Jacques Doriot). Confronté à la guerre civile espagnole après le putsch de franco,Léon blum,sous la pression de la droite et des Anglais,choisit une pltq de non-intervention.Cela suscite de fortes tensions au sein du FP (opposi° des communistes et de la gauche du FP) et un mvment en faveur de L’Espagne républicaine (brigades internationales). S/ le plan écoq et social,Léon Blum veut faire une pltq favorable aux salariés en comptant sur la bonne volonté du patronat.Il se heurte

de diffusion : 01 mai 1936 Source : Gaumont Personnalité(s) : Maurice Thorez / Léon Blum Thèmes : •Economie et société > Période (Economie et société) > 3 - Le Front populaire •Economie et société > Travail > Mouvement social > Grève •Vie politique française > Période (politique française) > 1870-1940 : IIIe République > Présidence Lebrun : Gouvernement Blum Lieux : •Europe > France > Ile-de-France > Paris •Europe > France > Nord-Pas de Calais > Nord