Place Léon-Blum

totalitaire est un état qui contrôle tout (politique, économie, société, culture) et qui utilise la propagande et même la répression. Dès son arrivée au poste de chancelier en Janvier 1933, Hitler s’empare progressivement de tous les pouvoirs. Il met en place une idéologie raciste et surtout antisémite contenue dans le livre « mon combat » : Les Aryens sont une race supérieure et il doivent éliminer tous les parasites que sont les juifs et les communistes. Avec les lois de Nuremberg (1935) il exclue les

grèves en France. En 2008, Nicolas Sarkozy déclarait "désormais, quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit" pour souligner la diminution régulière des conflits du travail observée en France depuis les années 1970 Le nom Grève vient de la place de grève a paris, située au bord de la scène c'était un des principaux point d'accostage des bateaux. Il était facile pour les hommes sans emploi d'y trouver un emploi dans le chargement et le déchargement des bateaux. La grève est une action collective

personne qui exécute un travail manuel ou mécanique moyennant un salaire. Léon BLUM : ( 1872 – 1950 ) Dirigeant de la SFIO ( section française de l'internationale ouvrière ) durant l'entre-deux-guerres. Léon Blum est un socialiste réformiste qui accède à la présidence du conseil grâce à la victoire électorale du Front Populaire de 1936. Son gouvernement mène une politique sociale ambitieuse de 1936 à 1937. Il cède sa place à Daladier. En 1946, il redevient chef d'un gouvernement socialiste. Front

législatives d'avril-mai 1936, le Front populaire remporte la majorité absolue à la chambre des députés. La SFIO obtient le plus de sièges, c'est donc son dirigeant, Leon Blum, qui devient le Président du Conseil.  Il instaure une politique de gauche. Des grèves spontanées sont déclenchées, avec occupation des lieux de travail. Léon Blum organise des négociations entre le patronat et la CGT, le syndicat ouvrier. Ils signent les accords Matignon le 7 juin 1936: augmentation des salaires, liberté syndicale

Le désenchantement ... Porteur d'une grande espérance initiale le Front populaire s'acheva dans la déception générale lorsque, à l'issue d'une interminable agonie, il dut au bout de deux ans céder la place à une coalition axée à droite. Mais c'est le caractère massif des réformes de l'été 1936 et la courte euphorie des premiers temps de l'expérience qui firent du Front populaire un véritable mythe fondateur pour la gauche. L'embellie ... L'un des mythes les plus forts qui restent attachés au

l’antiparlementarisme plus virulent que ce dernier. Celui ci veut mettre fin au parlement et lui substituer un régime plus autoritaire. Léon Blum devient le premier président du conseil socialiste de l’histoire. Le gouvernement est constitué de ministres socialistes et radicaux et pour la première fois de femmes dont Irène Joliot-Curie. C’est le 4 juin 1936, Léon Blum prend réellement ces fonctions. Partie de la base, une vague de grèves avec occupation des usines éclate. Elle traduit l’espérance des

qu’attendaient les activistes de la ‘’divine surprise’’ du 6 février ? ① Le mythe de l’appel au peuple : Les hommes politiques et la presse ne tardent pas dès les premières conférences de Tardieu à insister sur son image antiparlementaire, qu’on place rapidement dans un contexte de renouveau du boulangisme, certains iront même jusqu’à le rapprocher du fascisme, du fait de l’utilisation permanente du mythe de l’appel au peuple. En effet Tardieu veut dans son projet de réforme populaire s’appuyer

dans les années 30 : un régime menacé ? – Proposition de correction Dans les années 30, années difficiles marquées par la crise économique et ses suites, bien des Français sont persuadés que la République est menacée. En effet, le régime mis en place le 4 septembre 1870, victime de nombreux dysfonctionnements internes, est attaqué par des adversaires virulents désireux de mettre à mal la démocratie. Situation qui donne à l’arrivée du Front populaire une valeur particulière avant celle de la France

partisans ou opposants de mouvements comme le communisme, l’antisémitisme ou le révolutionnarisme. 2- Le document 1 « Un élu communiste en 1920 » a été publié à la même année, alors que la séparation des communistes se faisait savoir. En 1920, Blum a surpris tout le gouvernement en refusant l’adhésion à la IIIème Internationale communiste. (A l’époque il n’était que député de la Seine, il n’était pas encore à la tête de l’Etat). Cette année-là on assiste à un soulèvement communiste de la Ruhr

manifestation des ligues en France1935 : lois antisémites de Nuremberg 1936 : lois sociales du Front Populaire 30 septembre 1938 : signature des accords de Munich 1er septembre 1939 : invasion de la Pologne par les nazis. Personnages à connaître- Léon Blum (1872-1950) : De juin 1936 à juin 1937, puis de mars à avril 1938, il est le Président du Conseil du gouvernement du Front populaire. Déporté en Allemagne en 1943, il rentre en France en 1945. - Hitler (1889-1945) : humilié par l'armistice et le