Plage de sable noir

parler de soi simplement. N’oubliez pas, PAS DE GENERALITES, que des foutaises ! Exemples : “J’aime pas quand mes pieds dépassent de la couverture !” “Le matin, j’aime bien être réveillé par l’odeur du café” “A la plage, j’aime me tenir debout et enfoncer mes pieds dans le sable” “J’aime l’odeur de la peinture fraîche, de l’essence…et aussi des pétards pendant la fête du 14 juillet ! Par contre je déteste le bruit de la craie sur le tableau !” 1) ____________________________________________________________

Junior. Beaucoup, beaucoup de chance d’être parmi nous. Tu peux pas savoir le veinard que t’es. Ailleurs, on t’aurait pas fait de cadeau. — J’sais. — Penses-tu ! Ach écarte délicatement son protégé, ensuite, d’un geste grandiloquent, il lui montre la plage, les dunes qui n’en finissent pas de s’encorder, le dépotoir que couvent d’incroyables nuées de volatiles puis, telle une patrie, le terrain vague hérissé de carcasses de voitures, de monceaux de gravats et de ferraille tordue. — C’est ici ton bled

L’opération 5G188 se localise à environ 495 mètres au nord du quai est sur la rive est de l’Îleaux-Noix (figure 3). Cette opération correspond à un important établissement paléohistorique retrouvé à proximité du rebord de talus en érosion et sur la plage sablonneuse avoisinante à une altitude se situant entre 29,5 et 30 mètres NMM et à moins d’un mètre du niveau actuel de la rivière Richelieu. (photos 14 et 15). La topographie est relativement uniforme avec une légère déclinaison vers l’est. L’aire

apparemment déserte. J’étais trop fatigué pour faire quoi que ce soit et je m’effondrai de fatigue sur le sable fin de la plage ou j’étais arrivé. 2ème jour : A mon réveil je vis que je n’étais pas seul il y avait 9 autres rescapés tous endormis sur cette plage. A leur réveil je vis qu’ils étaient tous en état de choc et que j’étais pour le moment le seul apte à diriger ce petit groupe. Sur cette plage il y avait des caisses rejetées par la mer, avec l’aide des autres je les ouvris et y trouvai de la

le voici en train de se border dans les profondeurs du monde marin, comme Papa nous fait chaque soir après nous avoir raconté une histoire. Il faisait encore chaud, un vent doux et tiède venait me caresser de temps à autres. La grande étendue de sable était déserte, il ne restait plus que nous. Papa et Maman avaient construit une sorte de château de pierre pour se protéger du vent. Julie, Vincent, Tiphaine, Marie, Sarah et moi, on jouait à la balle aux prisonniers. Mais moi, j’ai toujours peur

l'homme est l'absence car il occasionne le doute qui lui est influencé par la croyance collective qui est le mal. Que somme nous si ce n'est que présence? Sans amour nous sommes le mal sans lumière nous avons peur donc les personnes ayant peur dans le noir sont elles faibles ou il est question d'autre choses? Sommes nous faibles devant autrui? Devons nous nous soumettre a la conformité pour vivre ce que les autre crois qu'il faut être! Devrions nous nous soumettre a ce qui est juste ou a ce que

donner deux extraits :   (Vendredi ou les Limbes du Pacifique) "Une vague déferla, courut sur la grève humide et lécha les pieds de Robinson qui gisait face contre sable. A demi inconscient encore, il se ramassa sur lui-même et rampa de quelques mètres vers la plage. Puis il se laissa rouler sur le dos. Des mouettes noires et blanches tournoyaient en gémissant dans le ciel céruléen ou une trame blanchâtre qui s'effilochait vers le levant était tout ce qui restait de la tempête de la veille

mère sur la plage, il fallait que je me brûle les pieds sur le sable noir. Je vivais avec la mer. Mes premières émotions sont bleues. Je m’appelle Petit Blue. Tout est bleu. Le choix d’une anthologie de la mer était tout tracé. De mes petites empreintes qui fuient les vagues jusqu’aux plongées en mer, cet inoubliable contact avec les yeux avec un dauphin qui me conduisit vers les profondeurs. La mer depuis le ciel, lancé comme une bombe, attiré par la terre et sa fine bordure de plage qui s’élargit

cas de danger, il se gonfle d'air et devient rond comme une boule, et, comme tout cet air est accumulé dans son ventre, il flotte alors sur le dos, sans paraître gêné par cette posture. En remuant avec un bâton l'un de ces poissons échoués sur le sable, Robinson avait remarqué que tout ce qui entrait en contact avec son ventre prenait une couleur rouge tenace et voyante qui pourrait lui tenir lieu d'encre. Il se hâta de tailler une plume de vautour, et il put sans attendre tracer ses premiers mots

petites ailes qui vibraient très vite à la base du cou et rien en dessous. Leurs trajectoires étaient maladroites. Elles rebondissaient de mur en mur. »10 3. « On sent du vide. On pourrait imaginer aussi se remplir de sable. En le mangeant. Ça ferait ciment, avec un peu d’eau. Le sable se tasserait au fond. »11 Ces trois extraits choisis au hasard (j’aurais pu choisir un extrait pour chaque nouvelle, soit 19 au total), nous montrent l’originalité de l’univers de Salzmann. Elle met en œuvre toute