Plage de sable noir

familles et leurs amis dans un grand brouhaha. Notre guide , destine a nous faciliter nos recherches archéologiques dans les ruines de Tipaza, nous attendait au bord du quai. C’était un homme grand , robuste et extrêmement poilu. Il avait d’épais cheveux noir et d’énormes sourcils qui cachaient ses grands yeux verts. Contrairement a son apparence hirsute, il portait un costume blanc, parfaitement coupe qui faisait un contraste particulier avec sa peau mate. Il nous accueillit chaleureusement avec un léger

temps qu’elle s’arrête. Elle n’a pas plus de chair que l’autre année. Ses cheveux courts s’éparpillent en paille raide et bien dorée, qu’elle laisse pousser depuis quatre mois, mais qu’on ne peut ni tresser ni rouler. Elle a les joues et les mains noires de hâle, le cou blanc comme lait sous ses cheveux, le sourire contraint, le rire éclatant, et si elle ferme étroitement, sur une gorge absente, blousons et chandails, elle trousse jupe et culotte pour descendre à l’eau, aussi haut qu’elle peut, avec

deux côtés… Commentaire La blessure de la colombe • Banksy adopte un style assez réaliste : la colombe fait au pochoir n’est pas dans le style bande dessinée (car le conflit, lui, est réel) • Son aile gauche semble gonflée et les traces noires pourraient être du sang (séché). Elle est blessée, tout comme le peuple palestinien, qui récupère des conflits à répétition Commentaire Les techniques de dessin • Ce n’est pas de l’art majestueux comme un Michel-Ange • Les lignes sont rudimentaires

illustrés TITRE AUTEUR ILLUSTRATEUR EDITEUR ANNÉE NOMBRE DE PAGES CATÉGORIE K@O.NC OU LE VRAI VOYAGE DE CLARA Claudine JACQUES Paula BOI (collection « Moustik qui vole ») CDP Nouméa - Grain de sable 2001 84 Roman et récit illustré THEMES Amitié - Monde virtuel - Culture kanak. ILLUSTRATION Dessins réalisés au feutre noir – Univers graphique de Paula BOI. RAPPORT texte/image Illustrations renforçant les moments importants de l’histoire et apportant un complément d’informations. NOTICE Clara a disparu. Neals

DOM JUAN ET LA STATUT DU COMMANDEUR DE FRAGONNARD « GUERNICA » - PICASSO L’huitre et les plaideurs Un jour deux Pèlerins sur le sable rencontrent Une Huître que le flot y venait d'apporter : Ils l'avalent des yeux, du doigt ils se la montrent ; A l'égard de la dent il fallut contester. L'un se baissait déjà pour amasser la proie ; L'autre le pousse, et dit : Il est bon de savoir Qui de nous en aura la joie. Celui qui le premier a pu l'apercevoir En sera le gobeur ; l'autre

barre et fait tombé son ballon à travers bord. Il essaye de le récupéré mais personne ne navigue le bateau, le bateau vire violement à droite lui Mickaël et Stella passent tous les deux à travers bord. CHAP 4 Mickaël avait peur, il faisait tous noir, il était impossible de rejoindre la terre ferme car il était impossible de savoir si il y en avait dans les parages .Il n’y plus la lumière du bateau dans les horizons il pense aux requins il se dit « je suis perdu ». Il retrouve son ballon dédicacé

(Txt littéraire) « Soudain la mer commença s'enfler et tumultuer du bas abîme, les fortes vagues battre les flancs de nos vaisseaux ; le mistral, accompagné d'un cole effréné, de noires gruppades, de terribles sions, de mortelles bourrasques, siffler à travers nos antennes ; le ciel tonner du haut, foudroyer, éclairer, pleuvoir, grêler ; l'air perdre sa transparence, devenir opaque, ténébreux et obscurci, si que autre lumière ne

Qu’il est beau, le navire noir que le vent et cette brise même sur mon visage Amène tout droit en quelques instants du fond de la mer, Quand il laisse tomber son antenne, et tourne, et se couche sur le côté ! Qu’ils sont beaux, les pieds de celui qui à travers l’immense plage de sable éblouissant, Se met en devoir d’atteindre la patrie, Les pieds de celui qui annonce la victoire ! Il vole sur ses pieds ailés, chassant la terre d’un orteil impétueux, Et

le jeune Meursault, employé de bureau à Alger, va l'enterrer sans larmes. Il éprouve sans doute de la peine mais ne fait aucun effort pour manifester sa douleur. Le lendemain il retrouve une ancienne collègue, Marie Cardona. Ils se rendent à la plage puis au cinéma et passent la nuit ensemble. La vie reprend son cours monotone. Meursault rencontre un voisin, Raymond Sintès : celui-ci s’est montré brutal avec sa maîtresse, une Maure, et demande à Meursault de témoigner pour lui lorsqu’il est convoqué

bourgeons éclore, Le printemps naît ce soir ; les vents vont s'embraser ; Et la bergeronnette, en attendant l'aurore, Aux premiers buissons verts commence à se poser. Poète, prends ton luth, et me donne un baiser. LE POÈTE Comme il fait noir dans la vallée ! J'ai cru qu'une forme voilée Flottait là-bas sur la forêt. Elle sortait de la prairie ; Son pied rasait l'herbe fleurie ; C'est une étrange rêverie ; Elle s'efface et disparaît. LA MUSE Poète, prends ton luth ; la nuit