Plaidoyer Britannicus

Exercice 1 1) Moyenne de Fatima = (7+14+13+9+11+15) ÷ 6 = 11,5 Moyenne de Benjamin = (14+11+10+9+13+12) ÷ 6 = 11,5 2) L’écart type est égal à la racine de la variance. Pour la série de notes de Fatima la variance est : V1 = [(7-11,5)²+(14-11,5)²+(13-11,5)²+(9-11,5)²+(11-11,5)²+(15-11,5)²] ÷ 6 = 7,92 Donc l’écart type de la première série est = 2,81 Pour la série de notes de Benjamin la variance est : V2 = [(14-11,5)²+(11-11,5)²+(10-11,5)²+(9-11,5)²+(13-11,5)²+(12-11,5)²] ÷ 6 = 2,92 Donc l’écart

Conseils de travail pour le sujet d'invention page 174. Pour ce récit de la nuit du rapt telle que l'a vécue Junie, vous insisterez sur les sensations qui animent la jeune femme : il faut se souvenir qu'elle est extrêmement jeune, fiancée de Britannicus donc future princesse. La scène sera décrite du point de vue de celle qui subit sans comprendre, sans savoir. L'incompréhensio redouble sa peur : comment peut-elle imaginer qu'on l'emmène devant l'empereur, Néron, qui est le demi-frère de son fiancé 

écrites par Racine, Britannicus au XVIIème siècle, et par Anouilh, Antigone XXème siècle, mettent en scène des personnages appartenant à l’histoire romaine ou à la méthodologie. Dans quelle mesure ces pièces peuvent-elles intéresser es jeunes gens du troisième millénaire ? Racine et Anouilh, ces auteurs, l’un du XVIIème siècle, l’autre de XXème siècle, nous offrent deux pièces célèbres pour leur art de présenter l’histoire et la psychologie d’être hors du commun : Britannicus, personnage éponyme

l’Antiquité, fut source de multiples conflits capables d’animer une famille entière. C’est sans doute pour cette raison qu’il constitue le domaine favori de Racine, comme le montrent Andromaque, Bérénice ou encore Phèdre. Une tirade extraite de Britannicus nous fait part des conséquences des sentiments qu’éprouve l’empereur Néron envers Junie. Dans cette tirade, Racine fait le portrait de Néron qui met en valeur une peinture de l’amour. I. Portrait de Néron. C’est un personnage complexe et

s'exprime sa cruauté : amour et violence sont toujours chez Racine intimement liés. BRITANNICUS – résumé de l'œuvre 1) Le contexte historique. 11) Action et intrigue de Britannicus. 111) Les principaux personnages. IV) Rome sous l'Empire de Néron. PREMIERE PARTIE: Le contexte historique A- L'organisation de la société. C'est à l'époque de la Rome impériale que se situe l'action de Britannicus. Le Sénat ( institution romaine conservée par Auguste et ses successeurs du même nom )

Claude tombe amoureux d'une jeune femme, Lollia Paulina, la mère de Murena, délaissant ainsi son épouse, Aggripine qui est la mère de Néron. Cette dernière veut à tout prix faire de Néron le nouvel empereur aux dépens du fils légitime de Claude, Britannicus. Histoire d'Agrippine A la mort de Caligula en 41, Claude devient empereur. En 48, à la mort de sa femme Messaline, il cherche à se remarier. Plusieurs candidates s'affrontent, Aelia Paetina soutenue par Narcisse, Lollia Paulina soutenue

du personnage-titre, Britannicus, dont l'héroïsme l'affirme face à son adversaire, Néron. Mais Néron n'accepte pas la faiblesse de Britannicus, ce qui va achever de transformer définitivement le « monstre Néron » : C'est une dimension tragique de la scène. Tout dans cette scène fonctionne par antiphrases : les compliments sont tournés en critique. Cela donne lieu à une ironie tragique, qui pourrait prêter à rire dans un autre cas. I/- La nouvelle fermeté de Britannicus, loin de son affolement

I/- La théâtralité de la scène Britannicus s'interroge. Même sa joie, il la présente sous forme interrogative. Ses questions commencent dès le début de sa réplique. Elles continuent par la suite : « Vous ne me dites rien ? »v707. La scène est d'emblée faussé : les retrouvailles vont devenir une rupture. Le rendez-vous amoureux est théâtral : Britannicus est lyrique : v717/718 : « amour/toujours ». Il s 'exprime avec exaltation, et son discours est marqué par la ponctuation : 24 points d'interrogation

Britannicus est une tragédie au titre éponyme écrite par Racine en 1669. Dès la scène II de l’acte IV, Néron subit les ordres (longues tirades) de sa mère Agrippine auxquels il ne semble pas résister, (peut de dialogue de la part de Néron). Dans la scène suivante III, c’est Burrhus, son gouverneur qui tente de le convaincre de ne pas tuer Britannicus, Burrhus souhaite donc le bien pour la famille impériale, il veut raisonner Néron par le champ lexical de la paix (« paix v1305, « vie »v1320, « bonheur »

Néron, il y a du présent d’énonciation ce qui donne au récit l’impression d’être témoin de la scène. Ça donne aussi un effet de didascalie. - au point de théâtraliser, de mettre en scène ce meurtre comme un coup de théâtre. En effet rappelons que Britannicus s’est rendu au Banquet de Néron pur se réconcilier mais Narcisse l’y a empoisonné, les gens présents au banquet était comme un public «on se tait ce coup frappe tous les esprits  La moitié s'épouvante et sort avec des cris »  III] mais une