Plaidoyer Britannicus

excès : jalousie, avidité, haine, cruauté. Elle les conduit à une déchéance lucide et sans rémission. Dès le lever du rideau, ils sont « en sursis », face à des conflits insolubles qui les mènent à la mort ou à la folie. 1667 : Andromaque./ 1669 : Britannicus./ 1670 : Bérénice./ 1672 : Bajazet./ 1677 : Phèdre./ 1691 : Athalie. La problématique Comment ce récit soutient-il l'attention de l'auditeur pour mieux souligner la valeur du narrateur luimême ? 14 Les mouvements littéraires L'A rt

berlinois ») ? A. Au lendemain de la Première Guerre mondiale B. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale C. Au lendemain de la construction du mur de Berlin D. Au lendemain de la chute du mur de Berlin 35. Néron, personnage de la tragédie de Racine Britannicus, a réellement existé. Qui était-il ? A. Un citoyen grec B. Un esclave romain C. Un sénateur romain D. Un empereur romain 36. Quel est le chef de file du mouvement artistique né après la Seconde Guerre mondiale appelé le « Pop Art » ? A. Jackson

un pisaller : « Ils ont pris le théâtre en cette extrémité » (v. 20), un pis-aller pour échapper à « un père » et un « prévôt » (v.  18), et à la « nécessité » (v.  19). Cette démystification débouche néanmoins sur un éloge du théâtre. Un plaidoyer pour le théâtre L’illusion détruite, il semble qu’Alcandre puisse sereinement parler de ce qu’est en réalité le théâtre à un Pridamant dont les yeux se sont dessillés. Nous pouvons relever, dans la deuxième tirade d’Alcandre, que c’est un art

Il faut être Molière ou faire comme lui. - Autre riposte : un auteur inconnu : Philippe de la Croix : probablement un pseudo, publie en mars 1664, un dialogue en prose intitulé : La guerre comique ou la défense de « L’école des femmes » : «  plaidoyer sincère, fort complet et fort adroit.. » En tout cas l’ampleur de cette querelle montre la passion du public pour le théâtre au 17è, et la place qu’occupe désormais Molière dans l’univers théâtral. En 1665, Sa troupe de vient : « La troupe du roi »

n’est pas mentionné, mais où, pour nous, s’annonce évidemment l’engagement fulgurant de Zola en sa faveur. À vrai dire, toute son œuvre antérieure l’annonçait, l’appelait. Les Rougon-Macquart déroulent une immense fresque qui est forcément un plaidoyer pour la justice sociale, puisque c’est la misère qui engendre les iniquités et la violence. Après avoir accompli cette œuvre, Zola entreprend de l’élargir dans le temps et l’espace par une radiographie des pouvoirs. Lourdes d’abord, vaste enquête

Dreyfus n’est pas mentionné, mais où, pour nous, s’annonce évidemment l’engagement fulgurant de Zola en sa faveur. À vrai dire, toute son œuvre antérieure l’annonçait, l’appelait. Les Rougon-Macquart déroulent une immense fresque qui est forcément un plaidoyer pour la justice sociale, puisque c’est la misère qui engendre les iniquités et la violence. Après avoir accompli cette œuvre, Zola entreprend de l’élargir dans le temps et l’espace par une radiographie des pouvoirs. Lourdes d’abord, vaste enquête

n’est pas mentionné, mais où, pour nous, s’annonce évidemment l’engagement fulgurant de Zola en sa faveur. À vrai dire, toute son œuvre antérieure l’annonçait, l’appelait. Les Rougon-Macquart déroulent une immense fresque qui est forcément un plaidoyer pour la justice sociale, puisque c’est la misère qui engendre les iniquités et la violence. Après avoir accompli cette œuvre, Zola entreprend de l’élargir dans le temps et l’espace par une radiographie des pouvoirs. Lourdes d’abord, vaste enquête

les limites du voyage. En effet, comme dans les contes voltairiens, Candide et La princesse de Babylone en tête, l’itinéraire suit la visée démonstrative de l’auteur. Le tour du monde étant trop souvent improbable, les contrées pouvant servir le plaidoyer de l’auteur sont souvent visitées au préalable par d’autres personnages qui en font ensuite le récit au héros. C’est le cas de Georg, compagnon d’infortune rencontré par Baldassare lors de la fuite de Londres. L’existence narrative de ce personnage

Parmi ces témoignages, on peut isoler un témoignage historique, celui de l’historien Thucydide sur la Guerre Péloponnèse , l’œuvre politique de Xénophon, l’œuvre institutionnelle d’Aristote. Enfin, des œuvres comme les comédies d’Aristophane ou les plaidoyers des avocats comme Demostel qui donnent une image quotidienne du droit et des institutions. C’est la seule démocratie grecque antique sur laquelle on puisse faire une étude correcte. On se pose alors une question : est-ce le hasard de la conservation

les dilemmes dont les héros sont tourmentés, pris entre code d’honneur personnel, allégeance ou trahison : voir les héros cornéliens ou Lorenzaccio (p. 178 sq.). c) Les rois de Racine sont aussi tyranniques, mais par amour : voir Néron dans Britannicus où le conflit vis-à-vis du pouvoir se double d’une rivalité amoureuse, voir aussi l’extrait d’Andromaque (p. 603). 2) Le conflit tragique contre soi-même Le héros du théâtre classique ou romantique est davantage aux prises avec ses passions