Plaidoyer Ou Requisitoire

la thèse adverse est valide, pour ensuite, réfuter le reste de la thèse. C'est un bon moyen de convaincre dans la mesure où la concession permet d'entrer dans le raisonnement de l'adversaire pour mieux le dépasser. Un réquisitoire : discours prononcé pour accuser Un plaidoyer : discours visant à défendre Implicite = ce qui est sous-entendu, présupposé L'ironie : du grec « eironeia » qui signifie « interrogation ». Le terme doit son sens précis à la méthode de Socrate qui feignait l'ignorance

maris » I – Un violent réquisitoire qui proteste contre la soumission de la femme A – Le rejet d’une thèse adverse : une citation de Saint Paul B – Une contestation catégorique de la soumission de la femme C – Un discours véhément qui exprime un sentiment de révolte contre la condition des femmes II – Un discours efficace en faveur des femmes, qui a recours à tous les ressorts de l’argumentation A – Un raisonnement qui tente de convaincre B – Un plaidoyer en faveur des femmes, qui

œuvre une dénonciation ou défendre une cause » ? En d’autres termes, dès lors qu’il s’agit de brasser, revendiquer, vitupérer ou étayer thèses et concepts, l’apologue mérite-t-il la palme du genre le plus apte à élaborer un réquisitoire virulent aussi bien qu’un vibrant plaidoyer ? Afin de tâcher de répondre à cette question, nous montrerons dans un premier temps que l’apologue est doté de qualités propres à servir toute volonté de contestation, toute velléité de littérature engagée. Nous n’omettrons

mécontentement et expose sa vision de la femme, qu’elle défend contre les hommes. [Annonce du plan] La maréchale révèle une personnalité particulièrement vive et libérée. C’est une avocate et une oratrice habile, dont le plaidoyer en faveur des femmes, qui est aussi un réquisitoire contre les hommes, reflète bien les idées novatrices du siècle des Lumières. I. Une femme pétulante à la forte personnalité La maréchale est une femme vive et libérée, bien représentative du siècle des Lumières. 1. Une

lecteur éprouve de la compassion pour cette mère victime de ses propres enfants. Mais à travers ce tableau émouvant, on entend surtout la voix du poète qui pousse un cri de révolte contre les guerres de religion.Agrippa d’Aubigné signe un émouvant plaidoyer. Il éveille la pitié du lecteur à l’aide des registres pathétique et tragique. L’isotopie de la douleur « affligée », « éplorée », « soupirs », « pleurs », évoque la figure d’une mère attristée. Notre compassion est accentuée car cette mère est aussi

l’Aurore avec l’article de Zola, Bnf, Paris 1. Qualifiez l’impression générale que produit cet extrait ? Quelles en sont les visées ? 2. Dans quelle mesure retrouve-t-on les caractéristiques de la lettre ouverte ? 3. Un réquisitoire et un plaidoyer : A quoi tient la force du réquisitoire ? Etudiez la mise en œuvre du registre polémique. Comment Zola s’y prend-il pour défendre les partisans de Dreyfus ? 4. Comment l’engagement de l’auteur se manifeste-t-il ? F.-T. Richards, « Zola and Goliath »,

volonté de mobilisation du récepteur : impératifs ou infinitifs, apostrophes, interrogations oratoires qui suggèrent les réponses. le registre injonctif peut s'allier au registre oratoire dans la volonté de mobilisation d'un auditoire (harangue, réquisitoire). POSITION DU LECTEUR   Docilité ou esprit critique.   .convaincre persuader TEXTE ARGUMENTATIF EXEMPLES Essais, articles, discours, pamphlets. Polémistes et sermonnaires du XVII° siècle (Pascal, Bossuet). Philosophes du XVIII° siècle (Montesquieu

étudions, Voltaire veut prouver l’innocence de Jean Calas ; il met également en lumière le manque de rigueur de la justice pour ce procès. Nous montrerons que ce texte est à la fois un plaidoyer en faveur de Jean Calas et un réquisitoire contre les failles de la justice rendue à son égard. I Cet extrait est un plaidoyer en faveur de Jean Calas A) Portrait physique de l’accusé Voltaire commence par faire le portrait physique de Jean Calas. C’est un vieil homme faible de 68 ans qui n’aurait pas pu

personnages officiels de la pièce : Figaro, Bartholo et Marceline mais aussi Brid’oison et le comte. Marceline qui est une femme de caractère se lance dans un réquisitoire enflammé pour défendre la discrimination dont sont victimes les femmes à cette époque. Tout d’abord, nous étudierons les caractéristiques de cette comédie puis le plaidoyer engagé de Marceline. Tous les personnages de cet extrait correspondent à des figures classiques de la comédie. Tout d’abord, Figaro, le personnage éponyme

la partie II, on a le début du procès avec d’abord l’audition des témoins, puis au chapitre 4, le réquisitoire du procureur suivie de la plaidoirie de l’avocat de la défense. C’est ce passage que nous allons étudier. Comment le plaidoyer de son avocat provoque-t-il le détachement de Meursault? Pour répondre à cette question, nous verrons la mise en place du procédé du regard étranger. I- Un plaidoyer caricatural Le Soleil est pour ainsi dire le troisième personnage de cet extrait, il domine le texte