Planche Maçonnique Sur La Liberté

comportement,… ce qui rejaillirait dans l’attitude des membres dans l’atelier, ou même dans le monde profane. Ceci interviendrait en contradiction avec les principes même de la Franc maçonnerie : tolérance mutuelle, respect des autres et de soi-même, liberté absolue de conscience ; D’autre part, nous ne serions plus dans un ordre initiatique et nous renoncerions à notre méthode de recherche de la vérité et d’étude de la morale. Rappelons que tous les esprits ne sont pas fait de la même matière, chaque

vivre dignement, perfectionner ses aptitudes et apprendre à se discipliner. » Présentée par Barthélemy GOTO A la gloire du Grand Architecte De l’Univers et au Progrès de l’Humanité, V.M et vous, Frères et Sœurs en vos grades et qualités. La planche que le deuxième maillet de notre atelier m’a demandée de tracer ce jour s’intitule « Le travail est une nécessité ; le F.M sait l’accepter et le faire contribuer à son amélioration. En travaillant, il peut acquérir les moyens de vivre dignement, perfectionner

mon initiation. Je vais axer mes propos dans deux directions, la première plus générique abordera le sujet sous l’angle de la définition et de l’interprétation des mots, la seconde tentera de placer la parabole de l’énoncé de cette planche dans l’univers maçonnique. C’est étonnant d’ailleurs de remarquer qu’étymologiquement le mot parole est tiré du latin parabola qui veut dire faculté naturelle de parler, que le mot silence vient du latin silentium se taire, s’abstenir de parler et que le mot

sortir de l’ignorance, l’évolution et par conséquent l’aboutissement aux germes nouveaux que l’on doit puiser dans la Franc-maçonnerie. Le respect de la loi de notre ordre, de la solidarité entre les Frères, de la discrétion, de la garde du secret maçonnique et de la tolérance doivent être les devoirs primordiaux du Franc-maçon.   Le Franc-maçon doit se dépouiller de toute vanité et de toute agressivité, conformément à son éducation. Que signifie se dépouiller de toute vanité ? C’est l’harmonie aussi

l'essentiel, est la forme moderne et adaptée à nos mœurs de l'antique cabane initiatique.Cette planche propose quelques éléments de réflexion sur les symboles et leur usage dans une perspective initiatique. Nous posons l'initiation comme une démarche qui engage la totalité des facultés intellectuelles et affectives et dont le but est de construire la paix en soi. Cela implique la conquête de la liberté, donc une transformation individuelle qualitative. II s'agit en d'autres termes de découvrir l'union

Lilith J’avais écrit cette planche alors que j’étais dans mon ancienne Loge. Ce travail faisait écho à un autre au sujet de la place de la femme dans Le Coran. Il est apparu que la place subalterne de tout ce qui est féminin, soulignée dans les trois grandes religions monothéistes, vient du fait que la femme fait peur, notamment par sa capacité à donner la vie, source de questionnements et de mystère depuis la nuit des temps. Or, la peur a pour conséquence

 Mon sujet : Le silence de l’Apprenti Vénérable Maître et vous tous mes Frères en vos degrés et qualités, Ne sachant encore ni lire ni écrire, l’idée m’a effleuré de traiter le sujet particulier de cette planche en vous distribuant une page blanche que chacun d’entre vous prendrait le temps de lire. Mais au-delà de l’exercice de style, j’ai considéré que ce serait manquer de discernement quant au chemin initiatique sur lequel je me suis engagé depuis un an. Je résiste également au fait

par le frère Jean-Pierre Schnetzler lors du premier colloque et qui figure in extenso dans le livre que l’on vous a présenté. Je vais décrire l’historique, la genèse, de la franc-maçonnerie moderne. J’insisterai sur ce qui l’anime, sur l’esprit maçonnique et ce qui fait son originalité. Pour définir la franc-maçonnerie, je vais reprendre les termes du programme du colloque. La franc-maçonnerie est un ordre initiatique, traditionnel, d’origine artisanale, fondée sur le symbolisme de la construction

objectif de se concentrer sur les valeurs sur lesquelles tous les hommes s’accordent, laissant à chacun ses propres opinions, ou croyances religieuses. Au titre de ces valeurs sont mentionnées : la tolérance, l’universalisme, les vertus morales, la liberté d’opinion, la fraternité et ce qui est noté comme une valeur essentielle : la Bienfaisance.La franc-maçonnerie naissante adhère à la philosophie des Lumières, prône le système représentatif et la Raison, et pratique dès le XVIIIe siècle la bienfaisance

encore loin ? La seule solution a été de revenir dans le rituel pour répondre à toutes ces questions et d’essayer d’y trouver des réponses, une réponse, sachant bien sûr que j’avais également quelques réponses dont je vous ferai part au fil de cette planche J’ai donc relu dans le rituel les points qui me paraissait répondre à ces questions lors de la séance de réception d’un impétrant, futur initié, le VM pose la question « qu’est ce que la vertu ? » attend que l’impétrant réponse puis apporte une réponse