Planche Maçonnique Sur La Liberté

La tolérance Vénérable Maîtresse et vous toutes mes sœurs, en vos grades et qualités, j’ai l’honneur de vous présenter ma planche sur le thème « la tolérance ». Les questions portant sur la tolérance préoccupent les esprits depuis qu’il y a des hommes qui pensent. En effet, John Locke, philosophe anglais du XVIIè siècle, dans sa « Lettre sur la tolérance » présente déjà cette qualité comme un élément central de la philosophie et la propose comme une réponse aux problèmes politiques posés par

possible qui permet d’affronter et d’éroder, petit à petit, la part perçue comme impossible.Le sociologue Edgar Morin distingue 2 types d’utopies. Celle qu’il nomme la bonne, c’est celle qui veut construire une société avec plus de fraternité, plus de liberté. Une société qui fait en sorte que ses membres accèdent plus aisément aux conditions du bonheur. Cette conception est la nôtre.La mauvaise utopie, en revanche, prévoit, selon lui, l’élimination radicale et définitive des conflits et de la douleur

cours de mes investigations, j’ai eu la surprise de découvrir un ensemble de manuscrits et documents provenant en droite ligne des collections du magistrat et historien liégeois Georges de Froidcourt 7. Ils ont trait pour la plupart à l’histoire maçonnique, un domaine auquel l’ancien Avocat Général a consacré la meilleure part de ses travaux. En 1959, Georges de Froidcourt a offert aux Archives de l’État sa collection de documents historiques liégeois. Elle a été inventoriée par Madame Juliette Rouhart-Chabot8

travail dans une « colonne d'apprenti » ou une « colonne des symboles » Sous la surveillance du 2°surveillant, nommé par le VM, a pour tâche de faire régner la perpendiculaire dans la colonne des apprentis, avec son fil à plomb, encore un symbole maçonnique et qui se résume avec cette célèbre formule « V.I.T.R.I.O.L » qui signifie « Visita Intériora Terrae Recticando Invenie Operae Lapidem », soit plus simplement ou plus significativement « visite l'intérieur de la terre, en rectifiant, tu découvriras

universel est un ressenti, une énergie collective, c’est se sentir en osmose avec le monde et les personnes qui nous entourent. Cet état de bien être où je sens que l’énergie circule, nous le connaissons lors de l’égrégore. Car si notre démarche maçonnique est une démarche spirituelle, elle est aussi une démarche du cœur : toutefois pour donner de l’amour, il est important de s’aimer soi même, de se comprendre pour comprendre les autres, d’ être tolérant envers soi même, d’ arrêter de se juger pour

l'avenir et celui de le révéler. Le parallèle avec mon sujet me saute aux yeux, même si je n'ai pas formellement trouver de lien entre l'organe et ce dieu. Beaucoup plus tard, au XVII ème et XVIII ème siècle apparaissent les libertins. En quête de liberté individuelle, ils se détournent de la religion et du principal objectif qu'avait tout chrétien de l'époque : se consacrer à son salut. Comportement peu acceptable pour l'église qui dans son catéchisme enseignait "Dieu voit tout". Comme par réaction

Après l’apprentissage qui se fait dans le silence et l’introspection, le grade de C est une invitation au voyage. Le C en effet a cinq ans. Cinq : la symbolique de ce chiffre est celle de la vie, de la liberté, des nouveaux départs et des nouveaux horizons ; bref, des voyages. Dès l’élévation, le C quitte le temple pour aller découvrir le vaste monde qui l’entoure. Tel Ulysse qui, lui aussi voyageait avec ses compagnons, je suis allé de découverte en découverte : SS et FF naturellement,

affaires judiciaires (Voltaire défend entre autres Calas, un protestant injustement accusé d'avoir tué son fils) et militent pour l'abolition des peines infamantes, de la torture et de l'esclavage. Diffusées dans les salons, les cafés et les loges maçonniques, les idées des Lumières sont consacrées par les œuvres des philosophes, des écrivains et des savants. Les principaux représentants des Lumières sont, en Grande-Bretagne, J. Locke, D. Hume, I. Newton ; en Allemagne, C. Wolff, Lessing, Herder ; en

Quelle est la limite du développement durable de l’homme ? Introduction Voici donc le sujet de la planche de société que j'ai choisi. Ce choix a été orienté par l'actualité bien sûr mais aussi par une interrogation personnelle notamment par rapport égoïstement et en particulier à mon avenir dans un premier temps, celui de mes enfants, de mes descendants éventuels de rang multiple, et également en général celui de la société et de l'humanité. Pour reformuler par soucis de compréhension, le

l’absolutisme par la liberté, les préjugés et la superstition par l’expérience et la connaissance scientifique , le dogmatisme par la tolérance, c’est grosso modo le résumé des idées nouvelles. Elles sont extraordinairement puissantes par leur signification, et dont les conséquences furent uniques par leur ampleur. C’est elles qui ont forgé l’ordre qui régit le monde moderne. Si nous convenons que cet ordre est fondé sur un ensemble de droits également partagés – la liberté individuelle, la démocratie